Le chroniqueur Richard Martineau a dit récemment à la radio qu’il considérait que Télé-Québec était devenu woke. Comme on sait que c’est la pire insulte sociale à faire à quelqu’un, fallait que ce soit évident et démontrable.
Gabriel Dubois-Nadeau de Québec solidaire en sait quelque chose, puisque que le premier ministre François Legault l’a traité de woke en plein Salon bleu pour le remettre à sa place, ce qui l’a laissé pantois devant le coup porté.
L’accusation faite à Télé-Québec d’être devenue woke est tellement facile à vérifier.
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Ci-dessus : l’émission Chef Oli
Désormais, toutes, vous avez bien lu, toutes les émissions présentées produites ici avec notre argent, font l’apologie de la diversité multiethnique et raciale, toutes sans exception, au lieu de ne montrer le peuple fondateur comme cela devrait être, la nation québécoise de souche, qui forme la majorité de la population.
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C’est de la vile propagande diversitaire et multiculturaliste qu’on nous matraque du matin au soir. Télé-Québec est devenue l’équivalent des chaînes des pays autoritaires qui cherchent à reformater leur population selon leurs idéologies mortifères. C’est de la manipulation mentale de toute une population prise en otage. La télé est descendue bien bas.
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Ci-dessus: Passe-Partout, comme si tous les petits Québécois de souche avaient un grand-père noir
Ouvrez la télé à Télé-Québec et remarquez-le bien : peu importe que l’émission soit destinée aux adultes ou aux jeunes, il y a toujours dans le champ visuel un non-Blanc, une minorité quelconque, ou quelqu’un né ailleurs. Les wokes tordus trouvent cela normal et le présentent comme tel, mais pas le vrai bon monde de chez nous, qui voient que ça cloche, et qui voudraient que la télé d’état reflète ce qu’ils sont, pas ce que les élites déconnectées veulent que nous devenions malgré nous, c’est-à-dire des dépossédés de notre identité collective, enlisés dans un sable mouvant d’étrangers, un gros paquet dépareillé de n’importe qui de n’importe où.
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Ci-dessus : Belle et Bum, avec un mulâtre, Normand Brathwaite, et une haïtienne, Fabiola N. Aladin
Et il n’est même pas nécessaire de nommer les émissions coupables, elles le sont toutes sans exception ! Ouvrez la télé à ce poste, et vous êtes certains d’y voir immédiatement des minorités. Les Québécois de souche se voient désormais toujours relégués au second rang.
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Ci-dessus : l’émission Hiveraganza
Si pour les wokes ce qu’est devenue la ville de Montréal déquébécisée doit être le modèle de la société québécoise tout entière, qu’ils se détrompent, nous n’en voulons pas une miette.
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Ci-dessus : l’émission pour ados Luka et Léo, avec toutes les ethnies imaginables, maghrébines, africaines, asiatiques, la diaspora montréalaise mais pas québécoise
Le pire, c’est que ces émissions déforment la réalité en montrant des situations qui n’existent à peu près pas dans la réalité, comme des couples interraciaux, des Blancs qui ont des amis noirs ou maghrébins assis dans leur salon, des équipes de travail au bureau avec des non-Blancs qui ont des postes élevés, toutes des situations qui n’arrivent que dans 1% des cas, mais qu’on présente comme si c’était devenue la norme dans 99% des cas. Autrement dit, on beurre épais sur les supposés rapprochements entre les minorités et nous.
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Ci-dessus : l’émission Comme des têtes pas de poule, avec une large distribution multiethnique, si outrancièrement diversifiée qu’on n’arrive même plus à identifier leur origine, présentant un Québec minorisé chez lui :
Samara Healey (Marie)
Matai Stevens (Manolo)
Adam Moussamih (Lounis)
Emma Bao Linh Tourné (Zoé)
Devi Julia Pelletier (Cindy)
Le pire, c’est que les wokes à grosses lunette roses diront qu’ils font ça pour que les multiethniques regardent notre télé et se sentent concernés et inclus. Mais qu’ils se rendent à l’évidence, les multiethniques ne regardent pas plus notre télévision, ils restent refermés sur eux-mêmes dans leur culture à eux. Donc, on fait tout ça pour rien.
Ci-dessus : la série Qui a poussé Émilie ? avec de nombreux comédiens étrangers
Le pire effet de cette distorsion intentionnelle de la réalité est qu’on ne se sent plus chez nous, à ne voir à l’écran que des étrangers qui ne pensent ni ne réagissent pas comme nous, ou qui cherchent à nous faire voir les choses d’après la mentalité de leur pays sous-civilisé. C’est de l’ingérence mentale condamnable qui ne peut que nous faire reculer. Leur profil psychologique est trop différent du nôtre, le malaise causé par cet écart infranchissable est profond.
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Ci-dessus : l’émission Plaza Plaisir, où la musique sert de prétexte à une surreprésentation de Noirs, dans l’optique d’un Québec multi-africanisé
Pour s’opposer aux innombrables méfaits du wokisme, il y a actuellement et heureusement un soulèvement de rejet et une saine réaction d’indignation contre cette mentalité woke destructrice.
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Ci- dessus : employés de Télé-Québec d’origine étrangère, qu’elle exhibe fièrement dans son rapport annuel. Télé-Québec se soumet à l’idéologie woke ÉDI
Pour répondre aux demandes de la population à cet effet, les autorités en place commencent à s’élever contre ses manifestations outrancières, l’une des plus malfaisantes étant le programme d’embauche Équité, diversité, inclusion (ÉDI), qui cautionne la médiocrité et provoque le malaise fonctionnel dans les équipes de travail. Il doit être aboli et ceux qui l’ont mis sur pied démis de leurs fonctions, ainsi que ceux qui en ont profité.
À lire : Le programme inique Équité, diversité, inclusion
Même que le nouveau président des États-Unis vient de prononcer dans son discours inaugural qu’il en faisait l’une de ses priorités et s’est empressé de signer un décret pour y remédier. Le wokisme a déjà fait trop de mal et de ravages dans la société, il doit être combattu et éradiqué, comme un malin virus des esprits.
Chez nous au Québec, ce sont la CAQ et le Parti québécois qui affichent une position anti-wokes, reflétant correctement le point de vue de la majorité.
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Ci-dessus : l’émission Donner l’goût, se servant de la cuisine multiethnique comme prétexte pour faire étalage de multiethniques
Pour ne pas être dupe de ce matraquage subliminal à Télé-Québec, soyez bien conscient de chaque fois que vous voyez une manifestation wokiste dans les personnages de téléséries ou dans les émissions d’affaires publiques. Faites-le remarquer à votre entourage. Expliquez-leur à chaque fois que ce n’est pas normal, que ce n’est pas réaliste, que ce n’est pas comme ça dans la vraie vie.
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Ci-dessus : l’émission jeunesse Le pacte, présentée sous forme de quotidienne pour accentuer le message diversitaire sur les jeunes influençables.
Ci-dessus : l’émission Le pacte, avec une distribution largement non-québécoise et multiethnique façon montréalaise:
- Famille d’Arnaud : Léokim Beaumier-Lépine (Arnaud), Alexandre Goyette (Jason), Fanny Mallette (Jade)
- Famille de Théo : Marilyn Castonguay (Marianne), Mathéo Piccinin-Savard (Théo)
- Famille d’Aïna : Fayolle Jean Junior (Maxime), Simone Phaneuf (Mali), Sarah-Maxine Racicot (Aïna)
- Les personnages de l’école : Sandrine Carneiro (Laurence), Maïka Ferron (Rosalie), Debbie Lynch-White (Julie, la directrice), Tao Vigneault (Olivier)
Alors, considérant tout cela, à cause de qui Télé-Québec est-elle devenue woke ? On veut des noms, on exige des démissions, on demande des émissions à notre image, pas à celle des étrangers, pas à celle des autres.
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