Gaza par Jean-Marie, Marine et Marion

Contrairement à sa fille et à sa petite-fille, il avait une certaine dignité et était droit dans ses bottes, et c’est moi qui suis d’origine algérienne qui le dis ! Jean-Marie Le Pen a toujours été antisioniste et quand il dénonçait les massacres des Palestiniens il était très sincère.

C’est notre introduction et l’un des 1 200 commentaires sous cette vidéo faite par un musulman français.

L’intervieweuse : « Salam aleykum ! »

Jean-Marie : « Aleykum salam. »

Marine et Marion sur la même ligne : soumission

Le génocide des Palestiniens a un mérite, si l’on peut dire : tout le monde a dévoilé ses batteries, les choses sont sur la table, plus personne n’élude la question. Il y a les génocidaires et les autres.

Les génocidaires sont non seulement invités dans les médias mainstream, mais ils y sont majoritaires. Ainsi, cela donne l’impression que la France est pour le génocide des Palestiniens, alors que la majorité des Français est, au mieux, écœurée par le massacre de dizaines de milliers de femmes et d’enfants, avec quelques combattants du Hamas au milieu. On n’a pas mis terroristes parce que c’est le narratif des génocidaires, qui ont besoin de justifier leur immense crime, qui ne sera jamais pardonné. Oui, ni oubli ni pardon, comme pour tout génocide.

Si le père a toujours été droit sur la question israélienne, ou la question juive, puisque ça revient au même, ses fille et petite-fille ont transigé avec le pouvoir profond pour venir à la table du banquet, celui de l’oligarchie.

C’est humain, qui n’a pas ses faiblesses ? Rester dans l’opposition toute sa vie, sous les coups du pouvoir qui a l’argent, les médias, la justice et la police, peut rendre au mieux déprimé, au pire fou. On ne jugera donc pas ces choix, qui sont ceux, non pas de la raison ou de la justice, mais du calcul. Pout avoir une miette de pouvoir, il faut montrer patte blanche sur Israël, c’est clair, même pour le dernier des couillons.

Le problème, c’est que tous ceux qui ont fait ce calcul sont entrés dans une logique faustienne, celle d’un pacte avec le Diable. En politique, l’alliance avec le Diable rapporte toujours, au début, à court terme. Ensuite, le prix à payer devient tel, que non seulement on ne peut plus sortir de l’emprise, mais qu’on finit ruiné, puis jeté par le Diable.

Le Diable, ce généreux prêteur, se rembourse plusieurs fois avec des intérêts délirants. C’est le roi du crédit revolving : tu ne peux pas payer ? On te coupe un bras, on te prend ta baraque, ta terre (comme en Russie, relire Soljenitsyne). Et c’est alors que, généralement, on redécouvre Dieu, après un petit voyage assez éprouvant…

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation