C’est bien la première fois que Jean-Marie nous fait de la peine ; mais enfin notre vie ici-bas n’est qu’un pèlerinage et le jour le plus important de notre vie est le dernier, celui de notre départ d’ici-bas vers la vie éternelle. LE PEN aura marqué son temps, son époque, la France et les Français de manière éternelle. S’il est déjà là-haut, son souvenir restera vivant et vivifiant dans la mémoire nationale et le cœur des Français.
Ce n’est certes pas le Roy de France, mais c’est un grand Français, un héros qui a préparé le terrain et sauvegardé les esprits dans la résistance nationale ; Il a ramassé le drapeau abandonné et piétiné par les traîtres et les lâches ; et les employés de banque à la tête de l’État. Ce drapeau n’est pas celui de la République, mais de la France éternelle, royale et CATHOLIQUE. Si Le PEN ne remettait pas en cause la République, il a dû finir par comprendre que celle-ci était anti française.
Le Pen, ce Chef si grand qu’il effacera tous ces misérables usurpateurs de nos Républiques anti françaises dans les cœurs et les mémoires des Français mais aussi de ceux qui, dans le Monde, aime la fille aînée de l’Église. Alors qu’il n’aura jamais présidé aux destinées de la France, puisque le pouvoir est confisqué par les copains et les coquins, on se souviendra de lui autant que de De Gaulle et Pétain, sans doute moins que du Corse Napoléon Ier mais peut-être davantage que du III.
Pourquoi ? Parce qu’il aura été d’un courage, d’une honnêteté intellectuelle et d’un charisme si extraordinaire que c’est peut-être justement maintenant qu’il va être compris. Des hommes comme lui, notre nation, pourtant aristocratique, ne nous en donne que trop rarement en comparaison du nombre de « mougeons » qui prolifèrent, ce stupide hybride de mouton et de pigeon qui braille « République » sans rien entendre à ce verbiage débile pour se traîner derrière le « camp républicain » avant de s’imaginer héros affalé sur un canapé, « con-finé », piquousé à mort et pressé comme un citron par des prélèvements obligatoires les plus élevés au monde pour un résultat de plus en plus médiocre ; bientôt sous contrôle social, le « mougeon » conduit sa bagnole bientôt interdite flashée par le radar franc-maçon, cette espèce de flic-en métal perché sur sa canne près à te racketter.
Le menhir avait raison sur toute la ligne, que ce soit sur l’invasion migratoire financée par nos impôts, l’islamisation galopante depuis la loi anticatholique de 1905 – en chassant l’Église et la Vérité la République a volontairement promu les erreurs chez NOUS jusqu’au schisme, y compris celle qui revendique de tuer les « koufars » que nous sommes jusqu’à ce que nous nous humilions et payions la dîme conformément à la Sourate 9-29 du Coran (ce que nous faisons d’ailleurs déjà avec des prestations sociales exorbitantes indument versées à des gens qui nous méprisent lorsqu’ils ne nous haïssent pas), sur la perte de notre souveraineté vendue par nos « élus » et pseudo-élites à une technocratie de l’ « Europe » vassalisée aux États-Unis dans un projet mondialiste et otanien belliqueux, tout cela grâce à de la fausse monnaie produite par une dette que nous ne pourrons jamais rembourser, sinon en confisquant l’épargne des Français.
Le PEN avait aussi raison dans tous ses propos jusqu’au moindre détail, et ceux qui comptent passer pour des êtres tolérants et justes en l’insultant finissent par dévoiler finalement leurs coupables lâchetés et lumineuses médiocrités. Interrogé en 1987 sur le sujet spécifique de l’utilisation des chambres à gaz LE PEN répondait : « Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n’ont pas existé. Je n’ai pas pu moi-même en voir. Je n’ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire la Seconde Guerre mondiale » Compte tenu du fait que cette guerre avait fait plus de 40 millions de morts, dont quelques millions de civiles par des privations, dans des camps de concentration nazis inspirés par ceux des Bolcheviks (eux-mêmes rompus aux méthode de la Terreur républicaine anti-française), sous les bombardements, particulièrement anglo-américains pour ce qui concerne la France,…Et ses femmes violées par des soldats des armées alliées comme en France ou en Allemagne ; et ses millions de prisonniers Français en Allemagne que le ministre du Maréchal, l’ancien cagoulard et médaillé de la francisque François Mitterrand, tentait de soulager. Chacun avait sa misère, y compris les victimes d’une épuration communiste encore plus abominable et minable ; et qui se poursuit encore de nos jours sous la forme du wokisme et de la délation la plus hasardeuse dans l’espoir de distraire l’opinion publique de trafics réellement criminels, comme la traite d’êtres humains, parfois d’enfants, pour des raisons économiques, sexuelles, et mafieuses en tous genres, avec la complicité des âmes hypocrites qui profitent directement ou indirectement de ce genre de trafics, que ce soit les associations d’aides aux migrants, particulièrement leurs dirigeants rémunérés de manière exorbitante, les entreprises qui font leur beurre sur les clandos, ces esclaves des temps modernes, les mules qui viennent alimenter le marché des paradis artificiels dans lequel toutes les classes sociales se retrouvent au milieu de magistrats, de politiques et de bobos pas si cool que çà.
On parlait peu de la guerre, on était pudique et on voulait oublier, excepté ceux qui avaient un truc à vendre ou à conserver. Et les vieux partis n’allaient pas se laisser faire ; ils ont joué de tous les leviers en leur possession pour abattre celui qui sur une pente ascendante réveillait une France déjà malade de tous les maux que ces partis avaient provoqués. Le Pen ne s’est jamais excusé, car il n’y avait rien à excuser. Il avait donné l’avis d’un homme de sa génération qui avait lui-même connu de nombreuses guerres en tant que très jeune résistant, en tant qu’officier de la Légion étrangère projeté en Indochine, en Egypte, dans nos anciens départements d’Algérie. Il savait ce qu’était la guerre, ses horreurs, ses risques et pourtant, pupille de la nation, fils unique, il a toujours répondu Présent !
S’excuser de quoi, pourquoi et à qui ? S’excuser auprès de lobbies tel que le CRIF, d’associations politiques sur-financées par nos impôts tel que SOS racisme, auprès des merdias de grand chemin aux ordres… ? S’excuser auprès de ses gens-là c’est un aveu de faiblesse qu’ils ne vous pardonneront jamais ! Il vaut encore mieux avoir raison même lorsque l’on a tort, et LE PEN avait en plus raison. Et comme le souligne Gollnisch : « Si cette phrase de Le Pen n’avait pas été là, on nous aurait inventé autre chose. La preuve, il y a eu ensuite l’histoire de Carpentras. », monstrueuse profanation dans laquelle le FN n’était pour rien si ce n’est que la victime malheureuse avait été une sympathisante du FN justement; et pourtant nombreux dans mon Lycée, y compris des enseignants, s’étaient essayés, malgré eux, à me réclamer des comptes timidement certes; je leur ai versé pour tout acompte des affiches de LE PEN collées devant le Lycée ! Tous avaient bien compris de qui il s’agissait, d’abord parce que j’étais le seul à dire tout haut que j’étais encarté au FNJ, ensuite parce que je les avais en plein jour à la sortie des classes. On laisse généralement tranquille le talonneur de l’équipe de Rugby de son Lycée de Colomiers, particulièrement lorsqu’il en rajoute, à l’image du Chef, plutôt que de s’écraser, à l’image des faux durs qui nous trahissent ! C’est LE PEN qui m’a montré l’exemple. Et lorsque la chose était entendue que le FN n’était évidemment pour rien dans cette histoire, je n’ai alors cessé de soliloquer la chose auprès des perroquets de la propagande « républikhaines » jusqu’à leur écœurement, toujours avec cet humour tantôt gaulois avec des calembours de bistrots enrobés de bonne humeur, tantôt avec des jeux de mots si appréciés des Français, mais semble-t-il pas des, c’est ballot !
Parce qu’il a toujours été loyal à la France, fidèle aux Français et brave face aux adversaires et ennemis, nous nous devons de lui être loyal et fidèle ; en défendant absolument et totalement sa mémoire c’est la France, les Français que nous défendons.
Nicolas ZAHAR
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