La vieillesse n’est pas toujours garante de sagesse. C’est tristement un constat que nous devons tous aborder avec sérénité autant que cela puisse être possible; car la sénilité est aussi un danger qui nous guette. Entre deux maux, il faut toujours choisir le moindre; personnellement, je choisis le Canada faute de pouvoir choisir le Québec.
Parce qu’il est président d’un pays, Donald Trump doit recevoir de l’aide à la gestion si ce n’est pas une aide à sa santé. Sinon, le risque qu’il sombre d’ici peu de temps va grandissant.
Donal Trump est souffrant. Donald Trump souffre. Sa maladie n’est pas apparente, mais sa figure parle beaucoup : les symptômes montrent qu’il souffre.
Il souffre d’une fixation psychologique apparue il y a un certain temps et qui s’amplifie de plus en plus avec sa seconde accession à la présidence des États-Unis. Cette fixation le rend inapte à aimer; cet homme, ce mâle humain est actuellement en train de devenir incapable d’aimer, centré sur sa fixation MAGA. Celle-ci devient MAGA-Canada, deviendra MAGA AMERICA, MAGA WORLD. Déjà, ce 7 janvier 2025, nous l’avons entendu! Donald Trump en perd tous ses moyens de dialogue. Il faut l’aider, sinon il sombrera en pleine télévision. Il sombrera comme avant lui, ces Hitler et compagnie qui souffraient aussi d’une fixation psychologique, mentale, ces immensités pharaoniques qui les ont rendus graduellement incapables d’assumer les trop lourdes fonctions et responsabilités politiques envers les peuples qui les avaient désignés.
La folie des grandeurs dont souffre manifestement le président des États-Unis est dangereuse pour la paix des nations; trop de pays et leur population souffrent actuellement de ces fixations politiques démentielles. Donald Trump est trop souffrant pour poursuivre ses fonctions; sa maladie le rend inapte à gouverner et il faut l’aider à se retirer pour tenter de se soigner avant de périr définitivement.
C’est le peuple du Canada qui demande respectueusement au peuple américain de sauver les pays de l’Amérique du Nord en destituant Donald Trump pour raison de déséquilibre mental affectif grave qui le rend incapable d’aimer son peuple qui l’a majoritairement élu. Cette victoire a imprégné au cerveau du vainqueur une atteinte sérieuse à son équilibre émotif; Donald Trump n’arrive plus à aimer comme il le faut : il est trop axé sur son amour-propre; celui-ci fait une ombre sur tout autre qui mérite son attention et son respect. Pour être le premier de tous, il faut savoir être au service de tous.
L’amour meurt si le soi devient trop prioritaire; l’amour ne peut être à sens unique, ou il est corrosif, morbide, pathologique.
Donald Trump doit servir d’exemple à l’humanité entière, pour toutes les chaumières du monde : l’amour de Trump n’est pas celui à suivre comme exemple.
C’est le peuple du Canada qui demande au peuple américain d’aider à soigner son président élu, actuellement en déficit cognitif et affectif grave, inapte à remplir adéquatement ses importantes fonctions. L’équilibre affectif est rompu et doit si possible être rétabli, sinon tout dégénérera et ce sera la chute économique et politique. Un président d’un pays puissant qui utilise la force d’une guerre économique comme soumission à l’autre, et qui en est inconscient, ne peut gouverner pour la paix des nations, ni même pour la sienne. Toutes les guerres sont économiques.
Le peuple du Canada demande des soins appropriés au président Trump rapidement, car l’évolution de sa maladie est actuellement rapide et grave. Il n’y a pas pire malade que celui qui refuse de reconnaître qu’il a besoin d’aide, qui refuse de reconnaître ses lacunes, ses menaces. Des liaisons neurologiques semblent s’être brisées dans le cerveau de Donald Trump depuis sa seconde accession au titre de président des États-Unis d’Amérique; pour oser croire réaliste l’annexion du Canada aux États-Unis, il faut démontrer là une cassure avec la réalité.
Le peuple du Canada demande l’aide du peuple américain pour aider à rétablir le respect des nations, rétablir ces liaisons neurologiques et donc économiques et politiques; rétablir le respect, l’art d’aimer l’autre. C’est l’intérêt de tous, sinon ce sera un infarctus qui rendra tout le monde impuissant, vulnérable à une mort prématurée et dégénérative de nos corps politiques et économiques mutuels. Plus que jamais la raison et l’affection doivent se marier sinon ce sera la séparation, un vide existentiel.
Aujourd’hui, les papes démissionnent lorsque la maladie le commande.
Donald Trump a besoin d’aide et le plus tôt sera le mieux pour tout le monde.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec
