Le sénateur Malcom Robert, après avoir dénoncé la plandémie, en rajoute une louche avec l’escroquerie climatique en citant les institutions et personnes responsables à la manœuvre.
A nouveau, on aimerait entendre ce type d’intervention à notre assemblée nationale ou au sénat français ; mais pas de risques !
Le changement climatique est une escroquerie dirigée par des politiciens mondialistes.
Malcolm Roberts, sénateur au Parlement australien, affirme que l’escroquerie du changement climatique n’est pas fondée sur la science, mais sur des intérêts. Le secteur agricole australien, les communautés rurales, 100 milliards de dollars de production agricole et des centaines de milliers d’emplois sont sur le point d’être sacrifiés sur l’autel de la fraude climatique. Cette fraude est menée par des politiciens mondialistes et dirigée par des milliardaires parasites qui tirent profit de cette opération criminelle.
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