L’approche nationaliste : les nôtres avant les autres

On ne doit jamais reculer en rien

À Rome, fais comme les Romains

L’élément de base qui définit chaque nation, c’est son identité collective historique qui lui procure un sentiment d’appartenance inscrit dans la durée, et une âme commune qui fait qu’on se reconnaît entre nous, et qui nous permet de deviner intuitivement vers où on veut s’en aller.

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C’est ce que doit privilégier et promouvoir toute approche nationaliste ; on doit toujours faire passer les nôtres avant les autres. Ce qui devrait toujours aller de soi.

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Et plus une nation est consciente de ce qu’elle est, de son parcours, et de ce qu’elle représente maintenant, plus elle sentira le besoin d’exister dans son propre pays, plus elle saura où elle se situe sur sa terre natale, enracinée à la grandeur de son territoire indivisible. Et plus la nécessité de réaliser l’indépendance se fera sentir comme étant la condition essentielle pour y arriver.

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Aucun territoire est non concédé au Québec, tout est à nous, rien qu’à nous.

L’indépendance est l’outil indispensable pour faire en sorte qu’ici on ne vit que comme chez nous, et non comme ailleurs.

C’est pour cette raison cruciale que seuls ceux qui sont capables de s’adapter parfaitement à nos us et coutumes sont les bienvenus au Québec. Et puisque nous sommes des Occidentaux, cela implique implicitement que l’immigration soit de nature occidentale à 90%. Autrement, la composition démographique même de la nation sera mise en péril d’un effacement graduel, de la substitution d’un natif remplacé par 3 tiers-mondistes.

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En effet, plus l’Autre est différent, divergent et à l’opposé de ce que nous sommes, plus il est une menace directe à notre mode de vie, à nos valeurs, à notre vision des choses, plus il empiète dans des domaines où il ne devrait pas. Sa simple présence ne peut engendrer que conflits et division, insécurité et recul sociétal. Qui veut toujours plus de ça ?

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Et plus on laisse une communauté ethnique étrangère (et qui le reste) augmenter en nombre, moins elle s’intègre, et plus elle devient exigeante et nuisible. On appelle ce type d’invasion sournoise de l’entrisme. Pas besoin de faire un dessin…

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Les critères d’immigration doivent tenir compte de cet élément fondamental de compatibilité foncière, autrement c’est foncer tout droit dans le mur, l’accélérateur au plancher.

Depuis le début de la surimmigration envahissante il y a 25 ans, la plupart des pays occidentaux ont commis la regrettable erreur d’ouvrir leurs frontières aux pires peuplades, tribus, ethnies du tiers-monde sous-développé et arriéré avec les lamentables résultats que l’on connaît.

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Mais par bonheur, les populations occidentales se réveillent et remplacent chaque gouvernement inconséquent par un nouveau plus lucide qui accepte de les représenter en remédiant aux excès de cette surimmigration débridée et effrénée. Il était plus que temps. Les ravages rétrogrades s’amplifient.

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Même le Canada fédéral centralisateur de Justin Trudeau est maintenant forcé de reconnaître ses torts  -et ils sont énormes, encore pires que dans les autres pays, et nous ayant rapproché du bord du gouffre comme jamais auparavant.

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La seule approche valable au Québec pour la préservation du peuple québécois fondateur est l’approche nationaliste identitaire : toujours faire passer les intérêts des nôtres avant ceux des autres, ces autres qui doivent garder la place que nous leur accordons, sans plus. On ne doit jamais reculer en rien, ni sur quoi que ce soit. Et pour paraphraser le premier ministre Jean Lesage : rester maître chez soi.

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Le Québec indépendant sera celui des Québécois d’abord, qui affirmeront par ce grand geste libérateur la volonté de conserver leur identité collective séculaire hors d’atteinte des envahissements culturels étrangers.

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Au Québec, on fait comme les Québécois. Et c’est très bien comme ça.

Tenons-nous debout; faisons-nous respecter.

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Soyons nationalistes québécois plus que jamais !

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