Les promesses de vaccins « sûrs et efficace » de Véran et consorts étaient en réalité des prières « Adolphines », auxquelles ils ne croyaient même pas, selon l’expression imagée du curé en chaire joué par Henry Vilbert dans Manon des sources de Marcel Pagnol et l’innocent pangolin est devenu célèbre malgré lui.
La Vérité sur les Injections Pangolines est là !
Une étude choc a conclu que les Données d’Autopsie prouvent que les « Injections » à ARNm contre le Covid auraient tué des millions de personnes !
Les données d’autopsie prouvent que les « vaccins » contre le Covid ont tué des millions de personnes !
L’étude a été menée par un groupe de médecins, de scientifiques et de chercheurs renommés, parmi lesquels : Peter A. McCullough, Nicolas Hulscher, Paul E. Alexander, Richard Amerling, Heather Gessling, Roger Hodkinson, William Makis, Harvey A. Risch, Marc Trozzi…
Les résultats de leur étude évaluée par des pairs ont été publiés dans la revue Science, Public Health Policy and the Law.
Les données de l’autopsie révèlent que les « vaccins » à ARNm contre le Covid ont provoqué une énorme augmentation des décès.
Dans la section « Conclusions » du document de l’étude, les chercheurs écrivent :
« La cohérence observée entre les cas de cette revue et les mécanismes connus de blessures et de décès liés aux vaccins contre la COVID-19, associée à la confirmation de l’autopsie par un médecin, suggère qu’il existe une forte probabilité d’un lien de causalité entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès.
« Une enquête plus approfondie est nécessaire de toute urgence afin de clarifier nos conclusions ! »
Au cours de leur étude, les chercheurs ont analysé les bases de données médicales à la recherche de rapports d’autopsie relatifs à la vaccination contre le Covid.
L’étude a utilisé 44 documents contenant 325 cas d’autopsie.
Dans la section « Méthodes », les chercheurs écrivent :
« Nous avons recherché dans PubMed et ScienceDirect tous les rapports d’autopsie et d’autopsie restreinte d’organes publiés concernant la vaccination contre la COVID-19 jusqu’au 18 mai 2023.
« Toutes les études d’autopsie et d’autopsie restreinte aux organes qui incluaient la vaccination contre la COVID-19 comme exposition antérieure ont été incluses.
« Étant donné que l’état des connaissances a progressé depuis l’époque des publications originales, trois médecins ont examiné chaque cas de manière indépendante et ont déterminé si la vaccination contre la COVID-19 était la cause directe ou avait contribué de manière significative au décès. »
Dans l’étude, les chercheurs ont noté qu’au 31 mai 2023, environ 69% de la population mondiale avait reçu au moins une injection de Covid.
Dans la section « Introduction », ils écrivent :
« Certaines des plateformes de vaccins COVID-19 utilisées comprennent le virus inactivé (Sinovac – CoronaVac), la sous-unité protéique (Novavax – NVX-CoV2373), le vecteur viral (AstraZeneca – ChAdOx1 nCoV-19, Johnson & Johnson – Ad26.COV2.S) et l’ARN messager (Pfizer-BioNTech – BNT162b2, Moderna – mRNA-1273).
« Tous utilisent des mécanismes qui peuvent provoquer des effets indésirables graves ; la plupart impliquent la synthèse incontrôlée de la glycoprotéine Spike comme base de la réponse immunologique. »
Les chercheurs expliquent comment la protéine Spike des « Injections » provoque une longue liste d’effets physiologiques délétères.
Ils notent dans la section « Introduction » :
• La protéine Spike circulante est probablement le mécanisme délétère par lequel les vaccins contre la COVID-19 produisent des effets indésirables.
• La protéine Spike et/ou les sous-unités/fragments peptidiques peuvent déclencher la dégradation du récepteur ACE2 et la déstabilisation du système rénine-angiotensine (SRA), entraînant une thrombose sévère.
• La protéine Spike active les plaquettes, provoque des lésions endothéliales et favorise directement la thrombose.
• De plus, les cellules du système immunitaire qui absorbent les nanoparticules lipidiques (LNP) des vaccins contre la COVID-19 peuvent ensuite distribuer de manière systémique la protéine Spike et les microARN via des exosomes, ce qui peut entraîner de graves conséquences inflammatoires.
• De plus, le contrôle du cancer à long terme peut être compromis chez les personnes injectées avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 en raison de la dysrégulation du facteur de régulation de l’interféron (IRF) et du gène suppresseur de tumeur.
• De plus, un lien de cause à effet possible entre les vaccins contre la COVID-19 et diverses maladies a été établi, notamment les troubles neurologiques, la myocardite, les déficits en plaquettes sanguines, les maladies du foie, l’affaiblissement de l’adaptabilité immunitaire et le développement du cancer.
• Les effets neurotoxiques de la protéine Spike peuvent provoquer ou contribuer au syndrome post-COVID, notamment des maux de tête, des acouphènes, un dysfonctionnement autonome et une neuropathie des petites fibres. »
L’épidémiologiste de la Fondation McCullough, Nicolas Hulscher, l’un des principaux chercheurs à l’origine de l’étude, appelle désormais à l’interdiction des « vaccins ».
Hulscher soutient que « l’étude prouve que les injections de COVID-19 provoquent la mort et répondent à la définition d’un rappel de classe I de la FDA ».
Lors d’une nouvelle interview , Hulscher a tiré la sonnette d’alarme sur les conclusions de son étude.
Il a également noté que d’innombrables autres études ont également confirmé que les « vaccins » ont été liés à des augmentations mondiales de décès.
https://slaynews.com/news/autopsy-data-proves-covid-vaccines-killed-millions/
Source : Changera 5
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