La lettre de la LNPLV Dec 27, 2024
L’année 2024 n’est pas encore écoulée, mais les préparatifs pour la sur-vaccination de 2025 sont déjà en cours. Nous tirons la sonnette d’alarme et nous nous interrogeons : comment éviter toute cette folle et dangereuse frénésie ?
L’année prochaine, dès le 1er janvier 2025, de nouvelles obligations vaccinales pour les bébés vont être annoncées, et seront donc ajoutées aux 11 vaccins pédiatriques obligatoires.
Mais il faut bien faire la différence entre nombre de vaccins et nombre de valences et aussi nombre d’injections.
En effet, pour un seul vaccin, on peut avoir plusieurs valences (plusieurs antigènes ou virus différents) et plusieurs injections (avec les rappels).
Donc, quand on dit par exemple qu’un enfant reçoit un vaccin DTCoqPolio, il y a en tout 4 vaccins (diphtérie, Tétanos, Coqueluche et Polio).
Mais il y aura plusieurs doses injectées. Et il y aura plusieurs valences (par exemple pour le vaccin polio qui cible les 3 types de virus polio).
Ainsi, nous avons calculé qu’avec les 11 vaccins déjà obligatoires pour les bébés, il y a en tout 10 injections et plusieurs dizaines de stimulations antigéniques différentes (par exemple le vaccin pneumocoque concerne 13 souches différentes) et avec les nouvelles obligations de 2025, on passera à 13 injections.
Dessin de Philippe Radault
1) CE QUI ARRIVE DEBUT 2025 :
Ces nouvelles obligations porteront sur le vaccin tétravalent ciblant les méningocoques de groupes A, C, W et Y, alors que jusqu’ici, seule la vaccination contre le groupe B était obligatoire.
Le bébé recevra 2 doses à 6 et 12 mois, cela fera donc 8 valences pour 1 vaccin !
Puis le vaccin méningocoque ciblant la souche B avec 3 doses, ce qui portera le nombre de valences à 11.
Ce tétravalent méningocoque A, C, W et Y remplacera l’obligation déjà en vigueur contre la souche C, qui comportait 1 dose à l’âge de 5 mois et 1 dose à l’âge de 12 mois, ce qui ne représentait “que ” 2 valences, en comparaison des 11 (prochainement).
On va donc ajouter en tout 9 valences (ou stimulations antigéniques supplémentaires).
Ce nouveau vaccin méningocoques A, C, W et Y est aussi recommandé par la HAS (Haute Autorité de Santé) pour les adolescents de 11 à 14 ans.
Le prix de ce tétravalent est de 50 € et n’est pas remboursé.
Mais beaucoup de mamans sont incitées à devancer l’obligation actuelle qui ne concerne que les méningocoques C avec 2 doses à 5 mois 12 mois.
De même pour le méningocoque B, (pour le moment recommandé à 2 doses), mais dont la HAS préconise 3 doses entre 3 et 12 mois…
Calculons :
- Le vaccin méningocoque souche C sera remplacé le méningocoque souches A, C, W et Y : x 2 doses ( 6 mois et 12 mois) = 8 valences
- Et on ajoutera le méningocoque souche B : x 3 doses (3 mois, 5 mois et 12 mois) = 3 valencesSoit un total de 11 valences… * alors qu’aujourd’hui le vaccin méningocoque C représente 2 valences.
Donc au total seulement 1 vaccin supplémentaire (mais avec 4 souches supplémentaires) et qui nécessitera 3 injections en plus et fera passer le nombre de vaccins obligatoires à 12.
Décret du 24/12/2024 en cliquant ici
Aucune étude sur la co-administration n’a jamais été menée...
De plus, il y a sur le marché pharmaceutique une nouvelle spécialité pour les pneumocoques qui vise 15 souches : le “ Vaxneuvance “.
Le texte de loi disant juste que le vaccin pneumocoque est obligatoire, sans parler du nombre de souches à injecter, nombre de médecins commencent à le prescrire.
“ Vaxneuvance “ est une alternative à “ Prévenar13 “ contre 15 sérotypes de Streptococcus pneumoniae, avec une primo-vaccination à 2 doses, à l’âge de 2 mois et 4 mois, puis 1 dose de rappel à 11 mois.
L’obéissance des médecins à Big pharma fera que l’un sera plus prescrit que l’autre, surtout avec les moyens colossaux que cet empire pharmaceutique a pour fourvoyer les professionnels de santé : visiteurs médicaux, publicités professionnelles ciblées, tension ou arrêt de commercialisation, effet de nouveauté, etc…
Les parents, même faisant confiance en leur médecin, seront en droit de demander et de justifier leur choix pour ces différents vaccins, sinon les bébés auront encore davantage de valences que par la future obligation.
- Vaccination contre les méningocoques : ce que changent les nouvelles recommandations – Le Parisien 01/04/2024 en cliquant ici
- Vaxneuvance – Site du Vidal – 07/05/2024 – en cliquant ici
La vaccination sera obligatoire pour l’entrée en collectivité d’enfants à partir du 1er janvier 2025.
En d’autres termes, tous les nourrissons devront être vaccinés contre les méningocoques A, C, W, Y et B, y compris ceux nés dès juillet 2023. Cependant, le décret d’application ne précise pas que les enfants nés après cette date sont concernés.
Il s’agit donc d’un règlement de la DGS, et non d’un décret ou d’une loi, qui s’applique aux enfants nés avant le 1er janvier 2025, ce qui soulève une question de rétroactivité. Il convient également de rappeler que le méningocoque du groupe C a disparu, mais que la vaccination continue d’être pratiquée. (voir image ci-dessous).
Alertez les bébés
Pic de mortalité de bébés entre l’âge de 2x jours et 6 jours révolus de vie.
2 pics significatifs en septembre-octobre 2023 et décembre 2023-janvier 2024.
Pourquoi ? Que s’est-il passé entre septembre 2023 et janvier 2024 ?
Ces données de la statisticienne Christine Mackoi ont été publiées par le Dr Hélène Banoun dans une revue internationale à comité de lecture (voir ci-dessous).
Bébés décédés entre l’âge de deux jours et six jours révolus
Site Web de Christine Mackoi suivant données de l’INSEE : en cliquant ici
2) ANTICORPS MONOCLONAL BEYFORTUS
Analyse de la campagne d’immunisation au Beyfortus® (nirsevimab) : Efficacité, biais et risques d’ADE (Antibody-dependent enhancement – aggravation dépendante des anticorps) dans la prévention du VRS
Suite à la publication récente de l’article du Dr Hélène Banoun (docteure en pharmacie & biologie à la retraite, ex-chargée de recherche à l’INSERM, chercheuse indépendante), dans la revue « Current issues in molecular biology » sur l’anticorps monoclonal Beyfortus, destiné à la prévention de la bronchiolite à VRS du nouveau-né, l’AIMSIB vous propose d’en prendre connaissance dans sa version intégrale, avec une traduction et un résumé.
Pour rappel : Le Beyfortus est un anticorps monoclonal (laboratoire Astra-Zeneca), commercialisé par Sanofi dans tous les pays à haut revenu).
C’est un produit cher (compris entre 282 € en Espagne et 1 350 € en Allemagne – renégocié à 454 € actuellement ; pour la France, la dose est à 402 €).
Article du Dr Hélène Banoun – Par l’AIMSIB du 29/09/2024 en cliquant ici
Analyse de la campagne de vaccination Beyfortus ® (Nirsevimab) : efficacité, biais et risques d’effets indésirables dans la prévention du VRS en cliquant ici
Conseil Scientifique Indépendant : Analyse du rapport ANSM sur le Beyfortus paru le 30 septembre 2024 en cliquant ici
Danger de l’injection vs bronchiolite du nourrisson
À partir des taux de mortalité et d’hospitalisation, le Dr Hélène BANOUN démontre le danger de cette injection et rappelle que la bronchiolite se soigne autrement. Partagez et alertez les futurs parents.
BAM TV – 14/12/2024 en cliquant ici
- 0:33 Les raisons de refuser l’injection du Beyfortus ;
- 4:11 Bronchiolite : maladie grave seulement dans de rares cas, des traitementsexistent ;
- 4:56 Comparaison n°1 avec Covid : injections favorisées, traitements invisibilisés ;
- 6:04 Comparaison n°2 avec Covid : l’injection peut aggraver la maladie via les ADE (anticorps facilitants) ;
- 8:37 Rapport de l’ANSM décrivant les cas d’effets indésirables ;
- 9:48 À qui profite le Beyfortus ? ;
- 12:11 Comment refuser cette injection.
Dr Hélène Banoun : “ J’alerte les futures mamans sur le Beyfortus. Produit injecté dès la naissance et non testé sur les nouveau-nés ! “
- Interview du Dr Hélène Banoun par Clémence Houdiakova sur la chaîne Tocsin – 08 octobre 2024 en cliquant ici
- Rappel du témoignage édifiant lors de l’interview de Hélène Banoun du 20 décembre 2023 par Clémence Houdiakova sur la chaîne Tocsin en cliquant ici
(Publiée que sur Twitter pour éviter la censure).
Alexandra Henrion-Caude :
« Comment peut-on penser raisonnablement qu’on fait du bien à un enfant quand on l’inocule 70 fois avant l’âge de 2 ans ? »
Scientifique, chercheuse, spécialiste de l’ARN, fondatrice de l’Institut de Recherche SimplissimA, auteure de : “ Les Apprentis sorciers, tout ce que l’on vous cache sur l’ARN Messager ” (éditions Albin Michel), Directrice de l’Inserm retraitée.
Interview de Alexandra Henrion-Caude par Clémence Houdiakova de Tocsin en cliquant ici ou ici (lien youtube)
Télégram de Alexandra Henrion-Caude :
“ Finalement, c’est presque eux qui en parlent le mieux : » Il est exact que CERTAINS BÉBÉS parmi les milliers inscrits aux essais cliniques du médicament SONT MORTS.”
Il s’agit d’injections d’anticorps #Beyfortus contre la bronchiolite et de décès imputables au FDA/CDC. Merci au Dr Banoun Hélène pour le travail qu’elle aura fait depuis plus d’1 an pour mettre en garde les futurs parents sur ce produit et ainsi protéger les petits bébés.”
Rejoindre : https://t.me/alexandrahenrioncaude
Source : AP (The Associated Press) en cliquant ici
Pemphigoïde bulleuse le lendemain de la vaccination d’un bébé de 3 mois
La pemphigoïde bulleuse (PB) est une maladie auto-immune acquise, qui se manifeste par des vésicules, peu fréquente pendant l’enfance. La PB infantile a généralement un bon pronostic avec de rares récidives et les déclencheurs suspectés sont les vaccins ou les virus.
Un bébé de 3 mois a développé une pemphigoïde bulleuse le lendemain de la vaccination contre la polio, la diphtérie, le tétanos, l’Haemophilus B, l’hépatite et le pneumocoque. Il avait été vacciné alors qu’il était malade, ayant présenté de la fièvre deux jours avant les injections et une PCR positive au SARS-CoV-2.
Aucune autre cause de cette fièvre n’a été explorée, et cette PCR positive ne permet pas d’établir un lien de causalité direct.
Le bébé a reçu un traitement par corticoïde, ce qui a permis un rétablissement. Cependant, la seconde dose du vaccin, bien que retardée de dix jours, a entraîné une réapparition des lésions cutanées. En revanche, la troisième dose n’a pas provoqué de nouvelles lésions.
Que peut-on en conclure ? D’une part, il est essentiel de ne jamais vacciner un enfant qui est malade.
Les auteurs soulignent que la pemphigoïde bulleuse peut survenir après une vaccination, dans un délai allant de 5 heures à 3 semaines, probablement en raison d’un mimétisme moléculaire entraînant une réaction immunitaire croisée avec les composants du vaccin et certaines protéines humaines.
Dans ce cas, la répétition de la réaction après la seconde dose de vaccin indique un lien avec la vaccination.
Cependant, il est difficile d’identifier le vaccin responsable, car le bébé a reçu simultanément 7 vaccins, impliquant un grand nombre d’antigènes : 3 virus polio inactivés, l’anatoxine tétanique, l’anatoxine diphtérique, plusieurs fragments de la bactérie Haemophilus influenzae, l’antigène HBs du virus de l’hépatite B, ainsi que 13 (ou 15) antigènes du pneumocoque.
Il est à noter que, malgré la responsabilité apparente des vaccins pédiatriques dans ce cas, cette maladie est souvent associée de manière insidieuse à une infection à Covid-19 qui n’est pas prouvée.
Avis de PubMed – 08/2024 en cliquant ici
Rappel des lettres précédentes sur les obligations vaccinales pédiatriques :
Rentrée scolaire et vaccination : un chantage vaccinal ? Aide et conseils
3 nouveaux vaccins supplémentaires obligatoires dès 2025 pour les bébés
10 des 11 vaccins obligatoires ajoutés sur la liste des substances vénéneuses par l’ANSM !
Beyfortus… fait couler de l’encre…
Vaccin Beyfortus pour les nouveau-nés à la maternité, comment refuser ?
Dr Hélène Banoun : “La Science face au Pouvoir – Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle” (éditions Talma)
Me Jean-Pierre Joseph : “ Vaccins, on nous aurait menti ? “
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Source : LNPLV
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme