2 mondes parallèles sur des trajectoires divergentes
Tout ira tellement mieux une fois séparés pour de bon
Partez visiter le Canada en touriste, et revenez-en indépendantiste québécois convaincu.
C’est la réaction au retour d’un grand nombre de Québécois qui entreprennent de visiter les autres provinces canadiennes.
On s’aperçoit rapidement que les deux nations n’ont pas grand-chose en commun, et qu’à peu près rien nous unit ou nous rapproche. C’est une question de deux identités collectives très distinctes, de mentalité, de priorités, de vision de la vie en société, de quelle façon aborder les situations problématiques et comment les régler.
À lire: Ce Québec des Québécois de souche qui doit rester le nôtre
Être canadien, c’est bien différent que d’être québécois. Et on sent qu’on n’est pas comme eux. Et c’est très bien comme ça.
À lire: La diversité, un mal non nécessaire
Ce n’est même pas la question qu’ils soient gentils ou non envers nous, bien que parfois, dans certaines provinces ou villes, on puisse sentir une réelle animosité. Non, c’est simplement qu’on réalise vite qu’on a affaire à des gens autres que nous en tant qu’entité. Et que cela ne peut causer que des frictions inutiles et empêcher que règne l’harmonie, le bien-vivre ensemble.
À lire: Diversitaire ou identitaire? Mais, identitaire, voyons!
Alors, pourquoi rester associés de force à un groupe de gens qui nous seront toujours étrangers et qui chercheront toujours à tirer la couverture de leur côté? Devoir vivre dans le compromis, céder sa place, être parfois même dénigrés, tout ça ne rime à rien et n’apporte rien de bien constructif.
À lire: Accentuons la spécificité québécoise par des lois différentes du Canada pour s’en démarquer
Chaque fois que nous faisons des demandes nécessaires à notre bon fonctionnement différent du leur, on ne récolte que des miettes ou des refus, des promesses jamais tenues.
À lire: La diversité à la canadienne est nocive pour le Québec
Nous sommes 2 mondes parallèles lancés sur des trajectoires différentes qui s’écartent l’un de l’autre, de plus en plus séparés.
À lire: Les Québécois forment une nation homogène
Ci-dessus: HENRI BEAU L’Arrivée de Champlain à Québec (tableau de 1903)
Les Canadiens et les Québécois veulent rarement aller dans la même direction. C’est le meilleur argument pour préférer faire cavalier seul, chacun de son bord, sans se nuire l’un à l’autre, afin de pouvoir voguer sans entrave, de mener sa propre barque, et de mettre le cap vers notre brillant avenir.
À lire: Le Québec n’a jamais appartenu aux Amérindiens
Le Québec se sentira beaucoup mieux lorsqu’il sera délesté du poids du reste du Canada.
La liberté donne des ailes. Envolons-nous par l’entremise de l’indépendance.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec