En vérité il y a deux gauches, la bonne, et la mauvaise. La bonne c’est celle qui s’occupe du social, c’est-à-dire des pauvres, des salaires, de la Sécu et du droit du travail. Elle est pour la justice sociale, au-delà du sexe, de la couleur de peau et autres différences.
La mauvaise, c’est celle qui verse dans le LGBTisme, le féminisme et toute la chaîne de déraison. Vous remarquerez que cette deuxième gauche se fiche des pauvres, elle ne s’en occupe pas, elle les abandonne aux Restos du Cœur, à la Banque alimentaire et autres Secours catholique, ah ah ah, les cathos, ces bouffons ringards.
La deuxième gauche n’a d’yeux que pour les minorités discriminées, mais pour elle, les pauvres ne sont pas discriminés. Il faut être gay, femme, noir ou trans pour avoir le droit d’être défendu par la deuxième gauche. On a donc des socialistes et des sociétalistes.
Quoi de mieux que les zonards antifas qui pataugent dans la boue pour illustrer l’effondrement moral de la gauche et de ses troupes, wokisées à mort ? Quand on en est là, c’est qu’on n’a plus de cerveau en état de marche, on est un robot déconstruit par l’idéologie mondialiste, on est un bon citoyen qui ne possède plus rien, même plus sa propre personne.
Ces créatures ectoplasmiques représentent le citoyen idéal pour Macron, Schwab et Soros. Ils vivent de peu, à l’écologique, se défoncent du matin au soir pour ne pas voir le désastre en eux et autour d’eux, sont improductifs et vivent de l’assistance étatique. Ils ne revendiquent rien à part continuer à toucher leur RSA et leurs ecstas. Ce sont les hippies d’aujourd’hui mais sans l’utopie, le rêve, les couleurs, l’amour et la musique de qualité. Là, on est dans une rythmique d’usine, une syncope pour abrutis syncopés.
Cela a une incidence sur les rapports humains, et surtout hommes-femmes. Ici, la fille aux cheveux bleus incarne la destruction de l’amour voulue par le Système.
Chez les adultes qui ont été flashés et reprogrammés par cette idéologie mortifère, ça ne va pas mieux. On danse pour conjurer le sort, pour abattre un Bolloré qui s’en tape du haut de sa tour d’ivoire. On se trompe de combat, on se bat pour d’autres que soi, on se fait voler son combat.
Quant aux artistes officiels, mieux vaut ne pas en parler : le niveau s’est effondré jusqu’au néant, à la flaque. Ils sont le miroir de l’effondrement du politique.
Y a qu’à voir le Château : quand on y pense, le couple Manu-Brigitte à la tête de l’État, c’est même pas pensable, même en cauchemar. Nous, on ne réalise toujours pas : comment cela a-t-il été Dieu possible ? Qui nous a mis dans une merde pareille ? Qui nous veut du mal à ce point ? Qui veut se venger de nous ? Qu’est-ce qu’on a fait de mal ?
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