L’oeuvre de Pierre Palmade : un enfant presque à terme, arraché in utero à la vie. Un père de famille en invalidité permanente. Une femme enceinte contrainte d’expulser, par voie basse, le cadavre de son bébé. Un pré-adolescent à la mâchoire broyée, tenue par des plaques en métal, qui s’alimente à la paille, et souffrant de terreur sociale.
Tout ce gâchis est l’oeuvre d’un déchet inverti à la dérive, qui se fait poétiquement passer un homme-enfant.
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