6 déc. 2024 #Macron#Zakharova#Russia Dans cet entretien exclusif à Saint-Pétersbourg, Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, analyse les récentes déclarations du président français Emmanuel Macron et les tensions croissantes entre la Russie et l’Occident. Elle aborde également les relations historiques de la Russie avec l’Afrique et les enjeux économiques liés aux sanctions. Découvrez un point de vue tranché sur la politique mondiale, l’ambition de Macron, et l’avenir de la Russie sur la scène internationale.
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Pas de démission. Macron dans le déni total de son rejet après la chute de Barnier. Destitution vite
6 déc. 2024 Jeudi 5 décembre, 20 heures. Les merdias propagandistes sont en ébullition. Le maître va parler, après la chute du gouvernement Barnier, qu’il a nommé seulement trois mois plus tôt (le mandat de Premier ministre le plus court de la 5ème république). Les moutons de panurge, vissés à leur lucarne débilitante, sont en extase. Leur Dieu Jupiter apparaît dans toute sa magnificence. D’emblée, pathétique, il donne le ton, fais la leçon aux ignares opposants : J’y suis j’y reste, vous prenez vos désirs pour la réalité. C’est vous qui êtes responsables du désastre passé, présent et à venir… La messe est dite. Sans surprise. Quelques jours avant, en Arabie Saoudite il avait prédit l’échec de la motion de censure, affirmant que le RN ne la voterait pas. Le foutriquet a dû déchanter. Le démenti s’est avéré cinglant. Il n’a pas vu venir le séisme politique. Totalement hors sol, ce jeudi soir, le mythomane autocentré n’a évidemment pas pris la mesure de l’événement historique qui lui a signifié, en cette soirée mémorable, du 4 décembre, son discrédit total. Peu lui chaut, l’hypertrophié du moi fait son cinéma habituel, devant ses serviles merdiateux, prosternés, autour de son auguste personne. Le freluquet, pourtant cloué au pilori la veille par une large majorité de la représentation nationale, niant son cuisant échec, comme si de rien n’était, continue à se voiler la face, engoncé dans le déni de cette réalité implacable : les Français le jugent comme le pire des présidents de la république. Ils n’ont qu’une hâte, c’est de le virer, en le destituant, puisqu’il refuse de démissionner.
Une allocution creuse, durant laquelle le poudré n’a cessé de se payer de mots, de formules spécieuses et autres incantations éculées, faussement empathiques, tentant de minimiser l’impact de la censure, tout en cherchant à dramatiser les 30 mois qui lui restent à la tête du pays. Oubliant que le drame de la France, depuis 2017, c’est lui et les mondialistes européistes, dont il est le servile pantin.
Quelle dichotomie entre ses assertions mensongères et le dur ressenti d’une grande majorité de Français, face aux difficultés, perturbations, intimidations, menaces dont il est coutumier à leur égard. Aucun des masques qu’il porte n’est capable de dissimuler sa profonde misanthropie et un mépris chevillé au corps pour les gens les plus modestes, qu’il pense ingénument pouvoir toujours et encore abuser, tromper, niquer, avec ses boniments de potache attardé. Personne n’est dupe.
Après ce revers cinglant, Il va chercher à temporiser, restant flou, vague, sur la date de nomination du prochain Premier ministre. Comble de l’ironie, son cynisme va jusqu’à renier ceux qui lui ont sauvé la mise, en les accusant, à présent, d’anti-front républicain, alors que ses sauveurs se sont sacrifiés électoralement au nom, précisément, du front républicain insensé, supposé faire barrage à l’ogre RN. LFI et ses alliés du NFP apprécieront son ingratitude, son manque de reconnaissance. LFI qui, crédule, croit encore à l’intégrité morale de Macron et s’illusionne en pensant qu’il va choisir un Premier ministre dans les rangs du NFP. Quelle méprise ! Si reconnaissance il y a de sa part, il la manifestera sans doute aux socialistes, auxquels il ne cesse de faire les yeux doux. Ségolène Royal lui a déjà proposé ses services.
Niant obstinément le choix des Français, aux élections législatives de juin 2024, il appelle le PS à le soutenir dans une coalition centrale, excluant, selon son expression, les extrêmes, devenues persona non grata au sein de son régime despotique, signifiant à LFI et au RN, qu’ils sont des mouvements politiques infréquentables. Ouf ! Ils échappent encore à la qualification de partis terroristes. Pour combien de temps ???
La destitution ça urge ! Le temps de la procédure, LFI et RN ayez l’intelligence politique d’enterrer la hache de guerre. Entendez vos électeurs. Les gens n’en peuvent plus de cette sordide mascarade macronienne. Ils veulent à nouveau respirer un air sain et retrouver la sérénité, débarrassés des pollutions de ce régime infecte. Macron a la trouille. Il tente de cacher la terreur que lui inspire sa fin de règne. A plus forte raison, une interruption forcée de son mandat, qui serait synonyme de perte de son immunité présidentielle, 30 jours après la fin de ses fonctions, avec l’obligation de faire face à une avalanche de procédures judiciaires, dont certaines très lourdes. Qui lui a demandé d’euthanasier des dizaines de vieux dans les maisons de retraites pour augmenter artificiellement la mortalité d’un faux rhume érigé en fausse pandémie très lucrative pour ses amis des grands labos ?
Aveuglé par sa folie, il refuse de voir sa fin, une fin voulue, y compris par ses amis, une fin attendue avec impatience par la France entière, une fin qui s’approche à grands pas pour le psychopathe, lequel, à nouveau, a menacé en termes à peine voilés tous les résistants et autres réfractaires à son régime infâme.
Verdi
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