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#Pax americana–«C’est reparti pour les bombes. Les six prochains mois vont être effrayants», prédit Trump
« »Larguons des bombes. Tuons tout le monde », c’est ce qu’ils disent», a dénoncé l’ex-président candidat.
Allons-y et tuons tout le monde. A 1 million de dollars la bombe, chaque bombe, c’est en moyenne un million. Bombardons ces pays qui ne veulent pas être bombardés.
Avec le plus gros budget de tous les temps, 842 milliards de dollars, le Pentagone se prépare à la guerre nucléaire.
Avec dans le collimateur la Russie, l’Iran et la Chine, officiellement désignée dans la «doctrine de sécurité» US comme «menace numéro un».
Le Pentagone se réserve le droit de frappes nucléaires contre la Chine
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Trump promet d’arrêter Biden , qui a essentiellement plongé le monde dans la Troisième Guerre mondiale :
Je refuse d’accepter une nouvelle série de guerres sans fin en Ukraine. J’ai besoin de paix, mais eux [les démocrates] ont besoin d’argent et de conflits. Quitte à nous pousser au bord d’une Troisième Guerre mondiale, qui, pour être honnête, est déjà en train de se produire et très rapidement.
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L’équipe de Trump prépare des listes pour un tribunal militaire
L’équipe de transition de Donald Trump envisage de tenir les officiers américains actuels et anciens responsables du retrait des troupes d’Afghanistan. Selon NBC News, des listes de militaires susceptibles d’être impliqués dans une éventuelle enquête sont déjà en cours d’élaboration.
Trump considère le retrait des troupes comme une « humiliation » et impute l’échec de l’opération aux dirigeants du Pentagone. Les experts proches de l’ex-président insistent sur la nécessité de revoir les décisions clés en matière de personnel au sein du commandement militaire.
Les mesures que prendra l’administration de transition Trump restent floues, mais l’initiative a déjà fait sensation dans les cercles politiques et militaires américains.
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Piéger Trump en Ukraine: malgré le départ de Biden, l’Etat profond ne renonce pas à son agenda de guerre–Ex-analyste du Pentagone
Biden prépare Trump à l’échec», résume Michael Maloof, ancien analyste principal de la politique de sécurité au Pentagone.
La raison pour laquelle l’administration Biden» a donné son accord à des frappes en Russie,Pour donner la perception que l’administration Trump est responsable de l’échec de la politique en Ukraine et de la défaite de l’Ukraine.
«Cela ne reflète pas vraiment l’impératif primordial de l’intérêt de la sécurité nationale», souligne-t-il.
Mais sûrement les intérêts de l’Etat profond et des néoconservateurs, dont Biden n’est que la tête de gondole.
Déjà 60 millions de morts, mais les Etats-Unis doivent diriger le «Nouvel Ordre mondial»–Biden
Maria Zakharova : «La réponse à l’utilisation de systèmes à longue portée sur notre territoire sera inévitable et dévastatrice»
«Nous considérerions cela comme l’entrée effective des pays de l’OTAN dans un conflit armé direct avec la Russie. Cela changerait l’essence du conflit, sa nature, avec toutes les conséquences qui en découlent».
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Nouvelle doctrine nucléaire russe: «Les stratèges anglo-saxons veulent entraîner l’Europe au suicide»–Lavrov
«Ils ne cachent pas même pas leurs plans», a encore prévenu le ministre russe des Affaires étrangères.
«Si l’Occident ne s’arrête pas, tout le monde devra faire face à de lourdes conséquences»
La mise à jour de la doctrine nucléaire russe a été finalisée et suit actuellement les procédures pour devenir loi, a annoncé Kremlin.
Poutine a proposé comme nouveau cas de figure «une agression contre la Russie par tout Etat non nucléaire, mais avec la participation ou le soutien d’un Etat nucléaire».
Pour l’Ukraine, on en compte 3, dont la France.
L’Ukraine n’est pas une puissance nucléaire, mais son principal sponsor occidental, les Etats-Unis, se classent au deuxième rang avec environ 5.000 ogives, a rappelé Lavrov.
Poutine annonce le changement de la doctrine nucléaire russe
https://t.me/infodefenseFRreserve/8916 :
DU CÔTÉ DE LA 3ème GUERRE MONDIALE
Hier, la décision prise par un pouvoir mondialiste tirant les ficelles de la marionnette Biden d’autoriser les tirs de missiles de l’OTAN contre la Russie intérieure n’est pas une surprise tout en constituant une des escalades les plus importantes et dangereuses connues depuis 2014.
Cette autorisation concerne pour le moment les missiles longues portée ATACMS étasuniens terrestres et SCALP-EG et Storm Shadow franco-britanniques. Concernant les missiles TAURUS allemands, ces derniers sont, pour le moment toujours bloqués par le chancelier Sholtz malgré des pressions de plus en plus importantes pour leur livraison à Kiev (à noter que Merz, le successeur pressenti de Sholtz à déjà déclaré qu’il l’autoriserait)
Les régions russes menacées aujourd’hui par les ATACMS étasuniens sont celles de
Voronej, Belgorod, Orel, Koursk, Lipetsk, Briansk et Rostov, sachant que les Storm Shadow / SCALP-EG ont des portées supérieures allant jusqu’à 560 km environ, soit une portée allant potentiellement jusqu’à Moscou (depuis la frontière de la région de Tchernigov).
Si les régions frontalières russes non contestées (Belgorod et Koursk notamment) sont déjà bombardées depuis 2 ans par les forces ukro-atlantistes ou que leurs drones aériens et maritimes attaquent des régions russes plus lointaines, il convient ici de noter la différence essentielle entre une roquette ou missile ou drone standard appartenant à l’arsenal conventionnel et un missile balistique tactique.
Car si le lanceur de L’ATACMS reste le même système M142 HIMARS qui depuis l’été 2023 tire sur le front des roquettes tactiques (dans la zone tactique des 30 km et opérationnelle des 80 km du front) depuis des paniers multiples amovibles, le missile ATACMS en revanche appartient à l’arsenal des missiles balistiques capable d’atteindre avec une précision identique et une puissance augmentée la profondeur stratégique de l’adversaire (bien au delà des 100 km).
Cela radicalise le conflit, tant sur le plan militaire que sur le plan diplomatique, car avec les missiles ATACMS and Co, ce sont désormais des installation stratégiques russes qui dont désormais menacées et surtout par des armes et des ressources directes non ukrainiennes appartenant à l’OTAN. Car rappelons le encore ici ce type d’armes guidées à besoin pour sa mise en œuvre de systèmes occidentaux géolocalisant et guidant le missile programmé par des spécialistes de l’OTAN.
Si jusqu’à présent la participation de facto des ressources de l’OTAN au conflit russo-ukrainien restait dans la zone enfumée du front, un tir stratégique ukro-atlantiste sur une installation militaire ou civile dans la profondeur russe enlèverait immédiatement l’implication de l’OTAN dans la responsabilité juridique internationale, ce qui activera une riposte russe différente (à définir dans sa nature et son delai) car la nature du conflit aura alors radicalement changé.
La réaction satisfaite de Zelensky ne s’est pas faite attendre :
« Le plan de renforcement de l’Ukraine est un plan de victoire que j’ai présenté à mes partenaires. L’un des points principaux est la capacité de notre armée à long terme. Aujourd’hui, de nombreux médias affirment que nous avons reçu l’autorisation de riposter. Mais les frappes ne se font pas par des mots. De telles choses ne sont pas annoncées. Les missiles parleront d’eux-mêmes. Ils le feront. »
Quant à Trump, il condamne cette décision, jugeant que « le lobby des armes tente d’entraîner le monde dans la Troisième Guerre mondiale ».
La question est de savoir si Trump une fois investi pourra contrer le lobby de l’armement en annulant cette décision ou invoquer hypocritement un fait accompli imputable à son prédécesseur.
Moscou attendra certainement patiemment cette investiture avant de réagir.
En attendant la boite de Pandore est ouverte par ceux qui contrôlent la Maison Blanche et ses laquais français et britanniques, car avec des missiles balistiques l’OTAN ouvre le conflit vers un horizon nucléaire.
pour InfoDefenseFRANCE1
et InfoDefenseFRANCE2
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