C’est bien une première mondiale que la démonstration réalisée par Antonio Impellizzeri. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est bien cet entrepreneur, expert-comptable de formation, qui vient démontrer incontestablement la théorie de la domination et de la prédation.
Il confirme, avec un cas pratique, le sien, le théorème posé par Maurice Allais (1), prix Nobel d’Économie et de Physique en 1988 : « la mondialisation est la destruction de la croissance et de l’emploi ». Fort de cette démonstration, Antonio Impellizzeri conteste non seulement le système qui tente de le broyer mais il décide de venir en aide à ces milliers de chefs d’entreprises victimes de l’arnaque du PGE (Prêt Garanti par l’État). Il crée le CSIERP ( Collectif Syndical Interprofessionnel des entrepreneurs Résilients et Proactifs) et écrit un livre.
Ce livre est un manifeste, une véritable profession de foi en l’intelligence, la force et la puissance des chefs d’entreprises qui sont le poumon économique de la France. Ce livre est aussi le témoignage de son combat, qu’il veut mener pour tous contre ce Goliath qu’est la Finance prédatrice incarnée par la collusion entre l’État, les banques et les grands groupes.
Ce livre offre le kit de sauvetage qui permettra aux entrepreneurs de ne pas se laisser « assassiner », le mot n’est pas trop fort, et de pouvoir préserver et leur entreprise et leurs salariés ; il est la clef juridique de la prison financière dans laquelle les chefs d’entreprises ont été enfermés. Comme l’analyse Arnaud Upinsky, ce livre est « le dévoilement initiatique visionnaire de la mystification et de l’inversion totale de toutes nos valeurs qui vise à concentrer les richesses dans les mains de prédateurs par un processus d’aliénation entrepreneuriale ».
Enfin, ce livre est un combat, auquel chacun de nous devrait adhérer car les conséquences nous concernent absolument tous.
Arnaud Upinsky a préfacé ce livre et a participé à cette toute première réunion du CSIERP. Il salue ce syndicat patronal qui est « une convocation des intelligences à agir » mais aussi une réparation de la « haine de soi », ce complexe d’infériorité distillé depuis l’école par ce système prédateur et destructeur. Il souligne la nécessité de remettre à l’endroit l’économie politique. Ce livre est, dit-il, « une révision de la pratique du droit, de la représentation du modèle de l’économie politique actuelle et la vision de l’intelligence globale à adopter ». Le droit ne représente plus la justice mais est « celui du plus fort ».
Antonio Impellizzeri est un homme simple, bon et sincère. Arnaud Upinsky démontre ce en quoi il est aussi un homme exceptionnel. Il a eu l’innocence nécessaire pour voir la réalité tel l’enfant regardant le roi nu (2). Il a mis en œuvre son expertise pour analyser la situation et démontrer le double langage qui dissimule la prédation en bande organisée en affichant l’État comme « protecteur quoi qu’il en coûte ». Cette analyse est emblématique du problème général auquel nous sommes tous confrontés. Il reste humble tout en réalisant une toute première mondiale dans la démonstration qu’il fait du principe et de la logique de prédation. Son humour dans l’appellation « PGE de cons » permet de lever la sidération des entrepreneurs, tout comme La Fontaine à travers ses fables faisaient passer des messages, des morales, des leçons. Enfin, il puise sa force dans la foi qu’il a en la vérité, la justice et le bien commun qu’il veut pour le bien de tous. Il salue l’intelligence d’Antonio Impellizzeri qui revendique l’article 1240 du code civil (anciennement article 1382) « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ».
Le droit doit triompher, la finance doit être au service de la création de richesses et non l’inverse, d’autant plus que cela est favorable à tous. « Il convient de remplacer ceux qui ont l’art de mentir par ceux qui ont le droit de commander ». Ce combat doit être mené jusqu’à la victoire par tous les moyens (presse, justice, opinion publique…).
Antonio Impellizzeri prend la parole avec sincérité. Il n’a pas l’éloquence des grands orateurs et c’est rassurant car ces derniers maîtrisent la sophistique, ce talent qui impressionne, manipule et convainc au détriment de ceux qui l’écoutent (« cette leçon vaut bien un fromage sans doute »). C’est cette sophistique délétère qu’Antonio Impellizzeri dévoile dans son analyse des PGE : « remplacer du chiffre d’affaires par une dette, quelle ineptie ! ». « C’est du vol ».
Les banques ont démarché les entreprises que l’État avait contraintes à cesser leur activité sous le prétexte d’une pandémie et en totale contradiction avec les recommandations étudiées de longue date en épistémologie. Ces démarchages pour vendre de l’argent empoisonné était un « piège à cons » ayant pour but la spoliation des entreprises que les entrepreneurs fragilisés seraient contraints, à terme, de céder pour un euro symbolique. Le piège sémantique se situe dans l’appellation même de ces prêts dits garantis par l’État. La garantie était au profit de la banque, pas de l’entrepreneur. Les prêts ont généré pour les banques 1.600 milliards d’euros de refinancement auprès de la banque centrale européenne en leur permettant au passage de réaliser de conséquents bonus compte tenu des taux négatifs en vigueur. Ce qu’Antonio Impellizzeri et une avocate du CSIERP ont découvert ensuite, c’est qu’au premier défaut de paiement par l’emprunteur, la banque est immédiatement remboursée de 90% du prêt ! Mais ces banques vont ensuite mettre les entreprises en défaut et exigent alors le remboursement de l’intégralité du prêt sous 8 jours ! Vous souvenez-vous de la crise des subprimes avec ces crédits donnés aux américains les incitant insidieusement à devenir propriétaires en sachant qu’ils ne pourraient pas rembourser ? et bien le PGE de cons c’est pareil !
Le droit doit sanctionner cette escroquerie en bande organisée, les solutions se trouvent dans son kit de sauvetage et dans la mise en commun des forces vives au sein du syndicat. La moralité doit être ramenée dans l’économie en faveur des créateurs d’emploi, que ne sont pas les grosses entreprises prédatrices mais les PME qui, en France, font la moitié du PIB, représentent la moitié des emplois et sont la vigueur locale. Elles sont le poumon économique de la France et la force que redoutent les prédateurs.
Enfin et c’est là que l’hallucination collective doit cesser, il prouve l’escroquerie en démontrant que si la dette générée par ces PGE de cons était effacée, les banques seraient gagnantes de 28 milliards (refinancement de leurs créances), l’État n’aurait pas un manque à gagner de 50 milliards (faillites des entreprises), que la population ne devrait pas payer pour 500 000 chômeurs, que les contribuables seraient gagnants car ne devant pas compenser le manque à gagner et que les indépendants survivraient. Les seuls perdants seraient les grands groupes prédateurs ! Pascal Lespinasse, industriel adhérent du CSIERP attire l’attention sur le fait que ces grands groupes économiques et politiques savaient pertinemment que l’économie ne se remettrait pas debout de sitôt et que les augmentations de coûts liées à l’énergie étaient dans les tuyaux, aggravant encore la situation des entreprises au sortir de la plandémie Covid.
Gérard Faure-Kapper, expert dans le domaine de la banque et auxiliaire de justice expose l’escroquerie des « commissions d’intervention » qui rapportent 6 milliards aux banques chaque année et sont prélevées en toute illégalité. Toutes les procédures engagées ont été gagnées et il a toutes les preuves du trucage des logiciels bancaires qui n’intègrent pas ces frais dans les taux de crédit car alors, le taux pratiqué serait bien supérieur au taux légal maximum autorisé. Ce scandale équivaut à l’affaire du Volkswagen gate dira-t-il. Les juges condamnent les banques systématiquement mais la prescription est figée à 5 ans. Si nous parvenons à faire condamner les banques pour trucage dans la pratique commerciale au pénal, il n’y aura plus de prescription. Il souligne toutefois que l’État pourrait absoudre les banques comme il l’a déjà fait lors du scandale des tableaux d’amortissement. Gérard Faure-Kapper a écrit plusieurs livres Le livre noir de la banque et Voyage au bout de l’arnaque préfacé par Katia Debay, avocate spécialisée. On notera qu’il signale l’omerta sur le sujet, aucun média ou association de consommateur ne veut s’emparer du sujet.
Claire Tourneret de Haas a vécu cette prédation avec son entreprise du numérique. Elle a subit le vol de sa société, les procédures de l’administration visant à créer des dettes (« quand on cherche on trouve » disent les inspecteurs), les jugements incompréhensibles des tribunaux de commerce. Elle s’est plongé dans des études de droit et a lancé quelques 150 procédures. Elle a crée le Syndicat des Usagers de la Justice (SUJ : https://www.facebook.com/groups/745921296089684/) afin de venir en aide aux victimes de ce « guet-apens » qu’est la justice. Arnaud Upinsky cite d’ailleurs Antoine Gaudino La Mafia des Tribunaux de commerce (3)
Elle soulève une question fort intéressante : « le principe de décision pour autrui ». ces juges, mandataires, etc.. prennent des décisions pour vous ou votre entreprise dont ils ne subissent jamais les conséquences. Elle dénonce la criminalité des mandataires judiciaires, véritables serial killer des entrepreneurs, des curateurs qui abusent des personnes âgées, des placements d’enfants abusifs.. tout cela dans une omerta inimaginable.
Elle confirme, comme le dit Arnaud Upinsky, que les mots sont pervertis et modifiés par détruire et pervertir la justice.
La pierre angulaire se trouve, selon elle, chez le procureur du parquet, véritable commandant de la justice influençant et menaçant les juges. Une justice indépendante ? Quelle mystification du langage ! Elle est en train de créer l’Autorité de Régulation de la justice qui devrait s’imposer plus fortement encore dans les tribunaux que ne le fait déjà le SUJ.
Voilà en quelques mots la substance de cette conférence, que nous vous invitons à écouter, à partager tout comme le livre d’Antonio Impellizzeri dont les 80 pages sont, comme le dit Arnaud Upinsky, une véritable bombe atomique. La force française est celle de ses entrepreneurs. Les soutenir c’est nous soutenir, les sauver c’est nous sauver ! Partagez ces informations autour de vous, qu’elles parviennent à ces milliers d’entrepreneurs en difficulté afin qu’ils rejoignent les rangs des combattants de la vérité.
Source : Dépêches Citoyennes
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