Les incroyables aveux du tueur Barack Hussein Obama

Le tueur Barack Hussein Obama

En arrière-plan : Barack Hussein Obama à Las Vegas le 20 octobre 2024 et son ex-cuisinier Tarafic Campbell. Le corps de Tarafic Campbell fut retrouvé le 24 juillet 2023 à proximité de la résidence des Obama à Martha’s Vineyard. Obama était présent lorsque Tarafic Campbell se serait noyé « accidentellement ». La question de savoir si Obama a lui-même provoqué la noyade de Campbell se pose toujours dans certains cercles de Washington, d’autant qu’il a été photographié avec des plaies aux doigts et à la tête le lendemain de la mort de Campbell. Obama n’aurait jamais été interrogé par la police à ce sujet et aucun prélèvement biologique n’aurait été réalisé sur son corps.

« Lors de ma dernière année de présidence, nous avons élaboré un manuel consacré aux mesures à prendre à l’occasion d’une éventuelle pandémie »

« En lisant dans le marc de café, dans des viscères de poulet ou dans de la bave de crapaud ? »

   Naturellement, Obama ne nous dit pas qui sont ces « scientifiques », dont on peut légitimement penser qu’ils sont tous, à un titre ou à un autre, également payés par Bill Gates et George Soros.

   Il ne nous dit rien à leur sujet, pas plus qu’il ne nous explique comment « ces scientifiques » pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une nouvelle pandémie dans le futur ? En consultant les astres ? En lisant dans le marc de café ? En examinant des viscères de poulet ou de la bave de crapaud ?

   On ne saura pas, mais en fait c’est inutile, car la réalité de ces « prédictions » est consubstantielle à l’Agenda 2030 : terroriser les populations afin de leur faire accepter, en tout domaine, l’inacceptable.

La suite est du même acabit :

   « Alors j’ai dit à mon équipe, « ‘nous devons avoir un plan’, comme vous faites pour les ouragans ou les tornades, pour les catastrophes naturelles [là encore, l’incise n’est pas innocente], donc, nous avons élaboré ce manuel. »

   « Donald Trump a ignoré notre manuel »

   « Et partout [dans toutes les structures de l’administration fédérale des États-Unis] nous avons appliqué ce manuel, nous avons reçu toutes les agences gouvernementales : ‘ce sont les réponses qu’il faut apporter’, ‘c’est ainsi qu’il faut que les systèmes de santé publique fonctionnent dans tous les États’, ‘voici comment nous allons faire avec les écoles’…

   » Et quand Donald Trump est arrivé, nous leur avons donné ce manuel, et il l’a ignoré ! Et trois ans plus tard, une pandémie arrive.

   » Maintenant, je veux vraiment être honnête sur ce point, et je veux que tout le monde fasse attention : peu importe qui était président à l’époque, car c’était un problème, c’était une pandémie générale [rappelons que d’après toutes les données sur la mortalité mondiale, il n’y a pas eu de pandémie], les gens allaient mourir, nous n’avions pas de vaccins dans l’immédiat, les entreprises devaient s’arrêter pour un moment, les voyages allaient être restreints… »

Obama accuse Trump d’être responsable de la mort de 400 000 personnes

   « Mais si vous regardez un pays comme le Canada, leur taux de mortalité par habitant était de 40 % moins élevé que celui des États-Unis.

   » Donc, faites juste le calcul, c’est plus de 400 000 personnes, des grand-mères, des pères, des mères, qui auraient été en vie si Donald Trump avait juste fait attention et qu’il avait essayé de suivre le plan que nous lui avions donné.

   » Il y aurait peut-être eu quelqu’un dans votre famille qui aurait été impacté [qui ne serait pas mort de la fausse pandémie de ‘C19’].

   » Donc, si quelqu’un vous dit que cela ne fait pas de différence d’avoir quelqu’un de compétent, quelqu’un qui s’inquiète pour vous, qui écoute les gens ordinaires, qui écoute ceux qui sont experts dans ces domaines [nouvelle incise qui n’est pas innocente], si vous entendez quelqu’un dire que cela n’est pas important : c’est important ! À un moment donné, cela fera une différence pour eux. »

   En dehors de la grotesque tentative d’Obama d’attribuer 400 000 morts dus à la fausse pandémie de « C19 » à Donald Trump, en se basant sur des chiffres totalement farfelus, ce qu’il faut retenir du discours du tueur Obama : c’est que toutes les criminelles mesures qu’il a décrites et qui sont censées être dans un manuel dont il serait à l’origine, ont bel et bien été appliquées par la majorité des États et des grandes villes, New York City en tête.

Fauci avait vendu la mèche en janvier 2017 : « No doubt, Trump will face surprise infectious disease outbreak »

   Pour en revenir aux mesures qui ont effectivement été appliquées dans les pays occidentaux sous la coupe des adeptes de la dépopulation de la Planète, et dont Obama vient de revendiquer la copaternité avec les « scientifiques », il n’est pas inutile de se rappeler certaines déclarations d’Antony Fauci.

   Le 10 janvier 2017, quelques jours après le départ d’Obama de la Présidence des États-Unis et l’arrivée de Donald J. Trump à la Maison-Blanche, Fauci déclara qu’une épidémie surprise de maladie infectieuse se produirait pendant le mandat de Donald J. Trump : « No doubt, Trump will face surprise infectious disease outbreak » (« Sans aucun doute, Trump devra faire face à une épidémie surprise de maladies infectieuses. »

   Ces propos n’avaient rien à voir avec l’art divinatoire, ils dévoilaient simplement une partie de l’agenda des milliardaires mondialonazis adeptes de la dépopulation de la Terre et de leurs sbires du Parti démocrate, l’Agenda 2030 : « Déclencher une fausse pandémie mondiale afin de précipiter la survenue du ‘Nouvel Ordre Mondial’ et d’éliminer une partie de la population occidentale ».

   Précisons que cette étape « fausse pandémie » de l’Agenda 2030 se serait déroulée avant 2020 si Hillary Clinton avait gagné l’élection présidentielle des États-Unis face à Trump en 2016.

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   N’oubliez pas, leurs propos ne sont pas seulement des slogans politiques, ce sont aussi des objectifs politiques inscrits dans l’Agenda 2030.

   Et quand ils vous disent « vous n’aurez rien, mais vous serez heureux », il faut les prendre au pied de la lettre, ce n’est pas de la poésie, c’est une partie de leur programme politique.

   Et lorsque ceux qui racontent à longueur de conférences privées ou à Davos, que nous sommes vraiment trop nombreux sur Terre, et qu’il faut que la population mondiale descende en dessous d’1 milliard d’individus, vous disent qu’il faut se « va xi ner » pour sauver papi et mamie, demandez-vous sérieusement s’ils veulent vraiment les sauver…

   Et ne faites pas comme si ce conseil n’avait rien à voir avec leur volonté de faire descendre la population en dessous des 1 milliard d’êtres humains grâce aux « va x ins ».

   Et quel que soit le « va x in ».

Source : Libre consentement éclairé

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