Je me sens obligé de réviser votre point de vue. D’abord la défaite de Stalingrad, c’est février 1943 et non pas février 1942. WEIGAND et PETAIN étaient entièrement d’accord et bien évidemment souhaitaient la défaite de l’Allemagne, seulement, le Maréchal, était en France, il ne pouvait donc pas le dire ouvertement. C’est d’ailleurs à l’instigation du Maréchal que le général WEIGAND a réorganisé l’armée d’Afrique. Pour le récompenser de cette initiative, de GAULLE lui a fait goûter aux geôles de le République pendant près d’une année. On peut le remercier pour cette bonne action. C’est vrai que certain français souhaitaient la victoire de l’Allemagne et s’étaient engagés à ses cotés dans la guerre. Faut il les blâmer d’avoir mis leur peau au bout de leurs idées pour combattre un régime aussi abominable que le communisme stalinien ? Pour conclure, je rappellerais qu’aucune information sur les camps de concentration allemands n’a filtré avant la fin de la guerre. C’est tout de même un peu pénible que vous critiquiez toujours celui qui a assumé les conséquence d’une défaite qui n’était pas la sienne, pour épargner, autant que faire se peut, des souffrances à son peuple, tout en étant très complaisant avec l’histoire de votre nouvelle patrie. Le Maréchal a toujours traité avec respect les militaires alliés ou ennemis. Staline ne peut pas en dire autant, puisqu’à leur retour de captivité, les soldats soviétiques ont été, sous des prétextes fallacieux, envoyés au goulag (la plupart ont pris 10 ans). Et que je sache, aucun criminel communiste n’a jamais payé pour ses crimes, que ce soit dans l’ex URSS ou dans les pays satellites. Si je pouvais vous donner un conseil, c’est de méditer cette réflexion du président POMPIDOU : « il faut oublier ces années où les français ne s’aimaient pas ».
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