Même le gouvernement québécois veut que ça cesse
et qu’on n’en laisse plus entrer un seul de plus
Le premier ministre Legault, avec l’appui des Québécois, a rencontré Justin Trudeau avec l’intention de revendiquer plus de pouvoir en immigration, et afin que ce dernier prenne des mesures pour contrer la surimmigration, les temporaires, et les prétendus demandeurs d’asile abuseurs du système. Certains observateurs considèrent qu’il n’a obtenu que des pinottes. Seule l’indépendance nous donnera les pleins pouvoirs en matière d’immigration, une nécessité absolue pour préserver notre précieuse identité collective historique québécoise d’une lente dissolution.
Notre premier ministre François Legault persiste et signe face au gouvernement fédéral refuseur
De son côté, l’Union européenne n’est pas en reste. Aux plus récentes élections, un nombre record de la population de ces pays a voté pour des mesures anti-immigration. C’est une tendance généralisée salutaire. L’infiltration forcée passive a assez duré. La cave est pleine d’eau. Et dessus flottent les boat people.
La population en a ras-le-bol de cet afflux incontrôlé et non désiré de prétendus demandeurs d’asile en pleine illégalité qui siphonnent toutes nos ressources sociales à leur avantage, et qui se mettent à rôder dans nos rues comme des loups dans la bergerie, créant de l’insécurité publique généralisée.
2 mesures à prendre
Conséquemment,
1- il faut non seulement bloquer l’entrée à tout nouvel arrivage,
2- mais il faut aussi renvoyer tous ceux qui ont réussi à se faufiler illégalement entre les mailles du filet.
On n’a pas à « rester pognés » avec tout ce surplus d’indésirables. Il ne faut pas dire: « maintenant qu’ils ont réussi à entrer, on est pris avec eux à jamais ». Non, ces bandes de profiteurs du système n’ont pas d’affaire ici. Ils doivent tous être renvoyés.
Suite à sa rencontre avec Justin Trudeau, même le premier ministre Legault a affirmé qu’il fallait expulser (c’est le terme utilisé) sans tarder tous ceux qui étaient refusés. Selon moi, je considère qu’ils méritent tous de l’être, du simple fait d’avoir cherché à nous frauder.
Il faut comprendre que pratiquement aucun de ces étrangers n’aurait été accepté par les voies officielles et légales. Ils détournent malicieusement les principes de l’entente internationale sur le droit d’asile à leur profit personnel.
On s’aperçoit très vite que ces bandes d’escroqueurs à grande échelle sont sans instruction, sans diplômes, infectés de maladies contagieuses qu’ils mettent à répandre dès leur arrivée (recrudescence ici de maladies contagieuses dangereuses qui avaient disparu). Ils sont généralement de caractère violent et impulsif, d’intelligence inférieure à la moyenne, ne parlent pas un mot de français et se montrent incapables de l’apprendre; ils sont tout à fait inaptes à la vie en société moderne. Et combien d’entre eux ont un passé criminel actif, des casiers judiciaires bien garnis? Bref, ces tiers-mondistes sous-civilisés à la mentalité tribale sont parmi les moins reluisants de la planète, et ils trouvent le moyen d’entrer illégalement par centaines de milliers par nos simulacres de frontières poreuses. Leur simple présence, leur surnombre, ensauvage et décivilise; elle nous coûtent des milliards, elle nous appauvrit. Pas surprenant que le sentiment d’insécurité de la population atteigne de nouveaux sommets.
Le gouvernement québécois répète que les immigrants ont fait atteindre le point de rupture de sa capacité à fournir les services sociaux requis à notre propre population, étant monopolisés par tous ces hordes dépareillées d’étrangers non voulus. Il explique que sont eux qui sont la cause de la pénurie de logements, des attentes dans les hôpitaux débordés par leur présence, dans les écoles débordées par leurs enfants, dans tous les autres services d’état qui les concernent. Ils sont en train de nous ruiner.
Le point de rupture des services est maintenant atteint, au détriment de la population qui en pâtit.
Le premier ministre Legault bénéficie de l’appui des Québécois qui en ont assez.
Nous n’avons pas à endurer cela une minute de plus.
Qu’ils soient tous renvoyés à jamais d’où ils viennent et d’où on n’aurait jamais dû les laisser sortir. On ne leur doit rien.
Protégeons les avancées de la civilisation occidentale de l’effet de recul du tiers-monde envahisseur.
Ils sont des milliards de miséreux à vouloir venir se faire prendre en charge. La réponse est non. On s’occupe de notre monde, c’est tout, pas du reste de la planète.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec