Je vois l’idée soutenue par Vincent, mais ça n’a pas de sens. En gros il relativise tous les phénomènes sociaux, et valide la dégénérescence. « L’exode rural et la promiscuité que ça a entraîné ont fait que tout le monde fornique avec tout le monde, donc c’est comme ça, les mœurs ont changé, on y peut rien ».
Si ton gosse fait l’idiot, en tant que parent responsable, tu sévit, tu lui apprends les limites, pour qu’il devienne un adulte responsable, capable de vivre en société.
L’Eglise a (avait) le même rôle, mais pour les adultes. L’Eglise impose des limites à ne pas dépasser, pour garantir le maintien du bien commun et une société cohérente. Sans le compas moral imposé par l’Eglise, on a toutes les déviances actuelles, et on se trouve des justifications, comme fait Vincent. On n’est pas naturellement vertueux, on est tous exposés à la tentation, aux péchés. C’est pas une invitation à valider les crimes et déviances, mais à se contrôler. Ca demande de l’auto discipline.
Avant le coup d’état de 1789, on avait l’état (responsable des frontières, de construire des ponts et des routes, etc) et l’Eglise, au même niveau, mais responsable de l’ordre moral de la société.
On peut se chercher des spiritualités diverses et plus ou moins farfelues, à base des pierres d’énergie, de philosophies nordiques avec les druides, mais le contenu des évangiles mis à part, rien ne bats l’Eglise Catholique. On a tout déjà.
Quant à justifier la légalisation de l’avortement, c’est nimp comme réflexion. L’État sait faire de la prévention et de la répression à propos du tabac, de la route, de la drogue. Et ça marche. Il suffit de faire pareil pour l’avortement. Si on montrait aux jeunes filles de 14 ans ce qu’est vraiment un avortement, comme avec les photos sur les paquets de cigarette, ça les marquerait à vie. Les gens qui valident et encouragent l’avortement pour nous ne font pas qu’offir un cadre hygiénique, ils œuvrent bien avec délectation à la destruction de notre pays. Tout comme ceux qui financent l’immigration d’Afrique, les mêmes, ne font pas que valider un nouveau phénomène de société où les femmes blanches seraient éperdues d’hommes africains. Ils œuvrent aussi à la destruction de notre pays.
Que la femme avorte à l’hôpital ou dans les égouts, elle reste affectée à vie par ce qu’elle a fait, car son rôle est d’être une mère. C’est dans les gènes.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation