Dans un entretien révélateur, l’expert militaire Douglas MacGregor dresse un tableau alarmant de la situation au Proche-Orient, prévoyant une possible guerre régionale impliquant de multiples acteurs.
Le colonel Douglas MacGregor, analyste militaire de renom, a partagé ses inquiétudes concernant l’évolution de la situation au Proche-Orient lors d’une discussion avec le juge Andrew Napolitano. Il considère que la récente attaque de l’Iran contre Israël, malgré son impact limité, pourrait être l
Il considère que la récente attaque de l’Iran contre Israël, malgré son impact limité, pourrait être le prélude à une escalade majeure dans la région.
Selon MacGregor, une riposte musclée d’Israël contre l’Iran est à prévoir, ce qui risque d’entraîner d’autres pays comme la Turquie, la Jordanie et l’Égypte dans le conflit. L’expert critique vivement la stratégie offensive d’Israël et le soutien sans faille des États-Unis, estimant que ces deux nations se dirigent vers une situation périlleuse.
L’analyste s’interroge également sur l’influence de la Russie et de la Chine dans cette crise, soulignant les objectifs parfois contradictoires de ces puissances. En parallèle, il évoque la situation en Ukraine, qu’il juge désespérée pour les forces de Kiev.
Pour conclure, MacGregor insiste sur l’importance cruciale de savoir mettre un terme à un conflit au bon moment, une sagesse qu’il ne perçoit ni à Washington, ni à Kiev, ni à Jérusalem. Cette analyse peu optimiste laisse présager un avenir incertain et potentiellement explosif pour l’ensemble de la région.
Mots-clés : Proche-Orient, conflit régional, Israël, Iran, MacGregor, expertise militaire, Juge Napolitano
COL Douglas Macgregor, L’Iran frappe très fort Israël, que va-t-il se passer ?
Le colonel Douglas MacGregor discute de la situation au Moyen-Orient avec le juge Andrew Napolitano. Ils abordent l’attaque iranienne contre Israël, jugée inefficace par le président Biden. MacGregor estime qu’Israël va riposter durement contre l’Iran. Il évoque la possibilité d’une guerre régionale impliquant la Turquie, la Jordanie et l’Égypte. La situation en Ukraine est également mentionnée, MacGregor la considérant comme perdue. L’assassinat du chef du Hezbollah Nasrallah est discuté, MacGregor jugeant que cela ne changera rien fondamentalement. Il critique la politique d’Israël et des États-Unis, estimant qu’ils sont au bord du gouffre. MacGregor conclut en soulignant l’importance de savoir quand s’arrêter, une qualité qu’il ne trouve ni à Washington, ni à Kiev, ni à Jérusalem.
Source : La Voix de la Louisiane
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