Dans la nuit, France 24 annonçait que le leader du Hezbollah était « indemne ».
Ce samedi matin, le Hezbollah démentait la mort de son chef.
Le Liban devrait être défendu par la France. Macron, complètement perdu, n’a plus aucune influence sur les événements. Soumise à l’axe israélo-américain, la France ne pèse plus rien, et le Liban est abandonné. En voyage de noces chez Trudeau, minable jusqu’au bout, Macron se fait harceler par les personnes présentes.
FLASH | Gaza – Liban : « Vous avez du sang sur les mains ! J’ai perdu ma fille. Si vous ne pouvez pas agir, vous devez démissionner. Vous êtes l’alliée d’Israël », a lancé une femme à Emmanuel Macron en déplacement au Canada. (TF1 / LCI)
— Cerfia (@CerfiaFR) September 27, 2024
La Rédaction d’E&R
10h26 – Le chef de l’armée israélienne promet d’« atteindre » toute personne menaçant Israël après la mort annoncée de Nasrallah
Le chef d’état-major de l’armée israélienne, le général Herzi Halevi, a promis ce samedi d’« atteindre » toute personne menaçant Israël, peu après l’annonce par l’armée de la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué dans une frappe israélienne vendredi à Beyrouth.
« Nous n’avons pas épuisé tous les moyens dont nous disposons. Le message est simple : quiconque menace les citoyens d’Israël, nous saurons comment l’atteindre », a déclaré le général Halevi dans un communiqué.
10h14 – « Contact perdu » avec Nasrallah depuis vendredi soir
Le « contact est perdu » avec le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, a indiqué samedi à l’AFP une source proche du mouvement, sans confirmer sa mort annoncée par Israël.
« Le contact avec Hassan Nasrallah est perdu depuis vendredi soir », a déclaré cette source sous couvert de l’anonymat, alors qu’Israël a affirmé avoir tué le chef du Hezbollah dans une frappe massive vendredi sur la banlieue sud de Beyrouth.
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09h08 – Dans la banlieue sud de Beyrouth, des dizaines d’immeubles effondrés
Des dizaines d’immeubles de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah pilonné sans relâche par l’aviation israélienne durant la nuit de vendredi à samedi, se sont effondrés, a constaté un photographe de l’AFP. Certains immeubles continuaient de brûler ce samedi matin et de la fumée s’en dégageait, alors que les gravats obstruaient certaines rues, a-t-il ajouté.
Même des postes de contrôle de l’armée libanaise aux entrées de la banlieue étaient déserts. L’aviation israélienne a pilonné intensément toute la nuit la banlieue sud, dans les raids les plus violents depuis la guerre dévastatrice qui a opposé pendant 33 jours le Hezbollah pro-iranien à Israël en 2006.
Le colonel Avichai Adraee, porte-parole de l’armée israélienne pour le public arabophone, avait publié sur X des appels à évacuer plusieurs quartiers, affirmant qu’ils abritaient des dépôts d’armes du Hezbollah dans des immeubles résidentiels.
Le Hezbollah a démenti la présence de dépôts d’armes dans des immeubles résidentiels. Vendredi après-midi, Israël avait indiqué avoir bombardé dans la banlieue sud le « quartier général » du Hezbollah. Le sort de son chef, Hassan Nasrallah, est toujours inconnu.
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08h46 – L’armée israélienne affirme avoir éliminé le chef du Hamas dans le sud de la Syrie
L’armée israélienne a annoncé avoir éliminé dans la nuit de vendredi à samedi le chef du Hamas dans le sud de la Syrie, Ahmad Muhammad Fahd.
08h42 – Dans les rues de Beyrouth, des déplacés hébétés par une nuit de cauchemar
Des familles entières poussées à évacuer leurs maisons en pleine nuit ont dormi dans les rues de Beyrouth, qui s’est réveillée hébétée ce samedi après une nuit de frappes israéliennes incessantes sur la banlieue sud, fief du Hezbollah. Au petit matin, la capitale libanaise semble inhabituellement calme. Les frappes, qui ont duré toute la nuit, se sont arrêtées avec le lever du soleil. Plusieurs immeubles brûlent toujours et le ciel est recouvert d’épaisses volutes de fumées, a constaté un photographe de l’AFP.
« Ils nous ont demandé de quitter notre maison pendant la nuit », raconte Rihab Nassif, une habitante d’un quartier populaire de la banlieue sud et originaire du sud du Liban, avant d’éclater en sanglots. « Ma voisine et moi sommes descendues et nous avons commencé à marcher » vers Beyrouth, a-t-elle ajouté. « Dès que nous sommes arrivées près de l’aéroport, les bombardements ont commencé », poursuit-elle.
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