En dehors des Autrichiens et des minorités germaniques de Pologne, de Russie et de Tchéquie, personne ne peut avoir de nostalgie pour Hitler, et spécialement pas les Français. Il y a certes des admirateurs d’Hitler en Russie et en Israël mais leur admiration relève du syndrome de Stockholm. Sachant le mal que l’Allemagne a fait à la France au XXe siècle (et qu’elle continue de lui faire en 2024), toute admiration pour Hitler ne peut être que l’expression d’un crétinisme absolu.
L’Allemagne et l’Angleterre sont les ennemis géopolitiques de la France depuis toujours, et que ce soit Bismarck, Hitler, von der Leyen ou Sholz au pouvoir, on en revient toujours au même constat : plus l’Allemagne est débilitée et affaiblie, mieux la France se porte.
Donc ce n’est pas Hitler qu’il faut admirer, ce qu’il faut, c’est regretter que la capitulation de l’Allemagne a été signée dans un wagon dans une forêt picarde et non à Berlin. Si la France n’avait qu’une ogive nucléaire à tirer, ce serait sur Berlin.
Il faut revenir aux fondamentaux de l’Histoire de France, revenir à la France. Les juifs n’ont joué qu’un rôle mineur dans l’Histoire de France, un rôle microscopique, malgré ce qu’ils voudraient faire croire. Et si le Kryphe joue aujourd’hui un rôle extravagant, complètement démesuré, dans la vie politique française, cela n’efface pas les réalités historiques et géopolitiques.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation