Black lives matter ? Diddy, l’Epstein noir, risque perpète à New York

C’est pas parce que les Noirs ont été persécutés aux USA que ce sont tous des anges comme George Floyd. Non, pardon, mauvais exemple : c’était bien une ordure, transformée en parangon de vertu par la gauchosphère américaine, aussi aveuglée que la nôtre. L’affaire Diddy, du pseudo du rappeur et homme d’affaires Sean Combs, ex-Puff Daddy (ils ont tous des surnoms à la con), défraye la chronique au moment où les démocrates n’ont pas besoin de ça : Sean est leur soutien numéro un chez les Blacks. Mais c’est peut-être pour s’acheter une impunité… Avec son incarcération en attendant le procès, un des symboles de la réussite noire éclabousse people et politiques bien-pensants.

Cela nous rappelle l’affaire OJ Simpson. Mais là où The Juice, coupable d’un double meurtre nié par l’armada antiraciste du lobby médiatico-people américain, et soutenu par un public communautaire en mal de héros, n’était qu’un « simple » criminel dans une affaire tristement banale de jalousie, Diddy est lui mouillé dans un énorme scandale de violences sexuelles, de chantage et de prostitution. Exactement l’affaire Epstein, mais un cran hiérarchique en dessous.

En gros, les fêtes – des orgies (1 000 bouteilles de lubrifiant en permanence en stock, 789 godes) – chez la star du rap en costard blanc consistaient en l’invitation de people friands de chair fraîche. Selon toute vraisemblance, mais lui n’en a pas parlé ouvertement, le chanteur Justin Bieber est passé entre les mains et les pattes de Diddy et sa bande de fornicateurs. Sur certaines vidéos, il ne se cache même pas de faire « baiser » des Blancs. Dur pour le BLM et l’antiracisme, devenu un racisme antiblanc.

L’affaire est si trouble, si complexe, avec déjà une masse de faux témoignages ou de témoignages exagérés qui se mêlent aux vrais, qu’on préfère laisser la parole à ceux qui connaissent ces rouages, et qui sont de là-bas. Un bon connaisseur de la planète rap a suivi le DiddyGate depuis le début. Ce spécialiste de Diddy a fait une vidéo juste après l’emprisonnement de la star à New York sur trois chefs d’inculpation : racket et conspiration, trafic sexuel par force, et fraude ou coercition en vue de prostitution.

Pour avoir un idée de la gravité des faits ou de la galère dans laquelle Diddy végète, son clan a proposé une caution de 50 millions de dollars pour une remise en liberté en attendant le procès, ce qui lui a été refusé.

La deuxième vidéo nous vient de Candace qui analyse les industries du porno et du divertissement qui servent à faire du contrôle social, le tout appliqué au cas Diddy-Bieber :

« Voici donc ma théorie du complot. Je pense que les sites pornographiques ontété délibérément créés comme des outils de piégeage. Je pense qu’ils créent un journal complet de qui est chacun (…) puis ils ont tous ces sites porno que vous avez visités. (…) En particulier les personnes qui pensent que leurs données sont sécurisées et qui sont constamment en ligne, vous pouvez voir comment ces sites web comme Pornhub encouragent les gens à regarder des types de pornographie plus fréquents et également plus dérangeants. En gros ils existent pour pervertir vos goûts, et je pense que les gens deviennent de plus en plus pervers, ils cliquent sur des liens bizarres, et puis en arrière-plan, vous avez des gens qui collectent ces données pour que si jamais vous réussissez dans la vie ils puissent dire, oh, nous vous avons surpris en train de regarder ce genre de porno, maintenant nous vous contrôlons. (…) La pornographie est une arme de contrôle spirituel et politique de masse. (…) Vous pouvez littéralement devenir esclave de votre péché. Un homme a autant de maîtres qu’il a de vices. (…) Elle vient de Saint Augustin dans son livre La Cité de Dieu. Il a écrit, je cite, qu’un homme bon, bien qu’esclave, est libre, mais qu’un homme méchant, bien qu’il soit roi, est un esclave, car il a autant de maîtres qu’il a de vices. »

Les prolongements de l’affaire

Ceux qui ont formé Diddy ne risquent rien, car il s’agit du système profond de l’industrie musicale, qui est tenue, comme l’industrie cinématographique. Dans ce schéma, les Noirs ne sont que des pions, vendeurs, mais des pions, puisque, comme Diddy, ils finissent par être sacrifiés.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation