On a rigolé avec une certaine cruauté le soir du 7 juillet, quand, après les résultats de deuxième tour, la foule gauchiste a envahi les rues, croyant avoir gagné, alors qu’elle n’a servi que de marchepied au pouvoir macronien déchu, majoritairement déconsidéré.
Une telle naïveté politique dépasse quand même l’entendement. Et là on ne parle pas uniquement des ânons de 18-20 piges qui ont fait la fête de la bière dans les rues, croyant le Grand Soir arrivé ; non, on parle des caciques de la gauche, qui ont sauvé les fesses de Macron en croyant empêcher le fascisme d’arriver enfin au pouvoir dans une France en lambeaux, alors que le pouvoir profond est en tyrannie depuis longtemps.
Quand ça va très mal, ce dernier refile toujours le bateau ivre (qu’il a lui-même déglingué) à l’un des deux extrêmes, ça permet de remonter la pente, d’entrer en guerre et de tout – le pillage – recommencer à zéro.
Suivra la séquence comique Lucie Castets, la reine de la dette de Paris, qui se voyait déjà Premier ministre en nommant tous ses amis LGBT aux postes clés, oubliant que le pouvoir profond n’en a rien à foutre de cette gauche paillassonne, sauf pour limiter la montée du nationalisme. Elle ne sert qu’à ça, la pauvrette.
Le Front populaire 2024 a fait rêver bien des jeunes et des moins jeunes, et c’est ça qui est un peu dégueulasse. Ils ont même produit une chanson, avec la gonzesse qui danse en tête de manifs, chanson qui a été quelque peu malmenée par le malaisologue.
Le malaisologue étudie les producteurs de malaise actuels, et force est de constater qu’ils sont tous à gauche, bien inclusifs, bien médiocres. On n’y peut rien si woke rime avec médiocre, c’est purement logique : quand on nie le réel, on ne peut être intelligent. L’intelligence est la mesure du degré d’adéquation au réel. Il y a plusieurs façons de l’approcher, par les sciences, les arts, le travail, la politique… mais pas par le déni.
Pour ce qui concerne la vidéo drôlatique, certains objecteront que Staline était de gauche, et que donc ça ne colle pas. Erreur, Staline n’était pas un gauchiste, c’est même tout le contraire.
Il était pour le travail, parfois forcé, faut pas se mentir – en plus il est plus là pour nous déporter –, pour la famille, si elle se tenait bien dans la ligne en faisant plein de petits cocos, et pour la patrie, même si dans la constitution politique de l’URSS les nationalités devaient s’effacer devant le communisme. En réalité, Staline était plus proche de Pétain que de Blum.
Nous sommes le 22 septembre 2024, soit exactement 77 jours après le Gland Soir des idiots utiles. La fête est finie, la gauche range Lucie dans le tiroir, elle qui avait outé son homosexualité pour mettre toutes les chances de son côté, et voilà qu’un vieux mâle blanc de plus de 50 ans lui pique la place, mettant aux commandes une bande d’hétéros pas vraiment inclusifs, foutant à la porte les tocards LGBT.
Lucie victime de « haters d’extrême droite »
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