Il existe sur la Terre un vaste éventail de races de chiens, de chats, de chevaux, de singes, d’insectes et de plantes. Pourtant, certains bien-pensants vertueux refusent de reconnaître qu’il existe des races humaines bien distinctes, tout simplement parce que l’idée leur déplaît et ne correspond pas à leur vision édulcorée des choses. Ils nient ce que leurs yeux voient, même si c’est ce qu’à peu près tout le reste des gens sentent intuitivement. Cherchez l’erreur.
Cela fait penser aux créationnistes qui refusent l’explication du Big Bang parce que la Bible enseigne que Dieu a créé la Terre en 7 jours il y a 4 400 ans, et que ce serait sacrilège de croire autre chose.
On dirait que les négationnistes ne peuvent tout simplement pas accepter les différences innombrables et notables entre les races et ethnies humaines, parce qu’ils tiennent à prétendre que tous naissent avec plus ou moins les mêmes capacités intellectuelles, le même degré de conscience claire, les mêmes capacités physiques, la même acuité sensorielle, les mêmes prédispositions génétiques, le même tempérament, le même sens moral, le même potentiel de développement. Nous allons démontrer à quel point cette notion, cette vision préférentielle, peut être erronée et falsifier la réalité des choses.
C’est comme vouloir nier qu’il y ait des races de chiens plus intelligents que les autres, d’autres qui savent gérer les troupeaux, certains qui font d’excellents chiens d’aveugle, d’autres très agressifs, certains meilleurs coureurs, d’autres meilleurs rapporteurs, et de chercher à les mettre tous sur un pied d’égalité forcée -et de conclure qu’au fond, ce sont tous des loups.
Ci-dessus: les races évoluent selon leur emplacement géographique. C’est la grande loi de la nature, confirmée par la théorie de Charles Darwin
L’un des grands principes darwiniens de la théorie de l’évolution des espèces nous enseigne que chaque espèce doit s’adapter continuellement à tout nouveau milieu de vie, à chaque changement dans son environnement pour survivre. La nature est même incapable de ne produire qu’une sorte de créature standard. Elle essaie toujours de nouvelles combinaisons, de nouvelles versions, dès que l’occasion se présente.
Par exemple, on a recensé plus de 15 000 espèces de fourmis, allant de la minuscule fourmi rouge à la gigantesque fourmi noire. Toutes différentes! Et elles ne se mélangent pas entre elles.
Les plantes, les insectes, les poissons, tout se diversifie sans cesse. Tout sauf l’Homme? La nature aurait fait une entorse à son grand principe moteur, juste pour faire plaisir à une poignée de biaisés idéologiques?
Conséquemment, l’idée que l’évolution de l’espèce humaine aurait finit par ne produire qu’une seule sorte d’être humain uniforme d’après un même moule toujours réutilisé est tout simplement contre nature.
Rappelons que les différences étaient déjà considérables entre les différents hominidés, même entre ceux vivant à la même époque: pithécanthrope, homo erectus, homo habilis, homme de Néandertal, homme de Cro-Magnon. Le rythme de développement et de changement de chaque espèce est variable, tout dépendant de ses conditions de vie.
Il est à remarquer que les races-ethnies dont les conditions environnementales de vie n’ont pas changé n’évoluent à peu près pas, puisqu’il n’y a pas de nécessité de survie qui l’exige. Elles restent donc les mêmes. L’évolution d’une espèce ne se fait pas pour rien, sans nécessité, juste pour le plaisir. Non, il faut qu’il y ait de nouveaux obstacles à affronter, qui forcent l’être vivant à développer de nouvelles façons de les solutionner, de nouvelles aptitudes adaptatives.
Ci-dessus: quelques-uns des nombreux essais de la nature pour différencier les espèces d’hominidés, un processus constant et immuable qui ne peut être arrêté. La nature va toujours vers plus de différences.
En revanche, les races-ethnies qui ont dû affronter de nouveaux défis face à de nouveaux environnements n’ont pas eu le choix de développer davantage leur intelligence pour en triompher. Des écarts significatifs s’installent alors entre les groupes humains, dont certains ont su s’adapter à de nouvelles situations en affinant, ou même développant certaines de leurs facultés intellectuelles ou capacités physiques.
Tout comme le corps développe des couleurs de peau différentes afin de s’adapter aux changements de rayonnement UV à travers les régions climatiques du monde, de même le cerveau évolue et se développe selon les conditions d’un environnement nouveau auquel il faut se mesurer.
La nature ne saurait produire un modèle définitif de créature qui ne changera plus d’un poil. Et ce ne serait d’ailleurs pas dans son intérêt. Elle n’est pas une chaîne de montage robotisée qui ne sait faire que du pareil au même, du clonage. Le propre de la nature est d’expérimenter, juste pour voir si ce ne serait pas mieux autrement.
Quand bien même les êtres humains actuels répartis sur les 5 continents possèderaient un pool génétique commun identique à 99%, c’est le 1% restant qui fait toute la différence du monde, tout comme on sait que l’Homme possède à 94% la même génétique que les primates, ce qui ne fait pas de nous des singes pour autant. Dans le monde de la génétique, 1% d’ADN différent peut avoir des conséquences considérables, qui font une énorme différence.
Rappelons-nous que l’être humain moderne possède toujours la séquence génétique de la queue de singe, et celle qui donne l’aspect velu, mais que ces gènes sont inactivés par d’autres gènes qui se sont développés plus tard. Mais qui aurait l’idée saugrenue de placer les singes sur le même pied que nous? Ce qui importe, c’est tout ce qui nous sépare d’eux et nous rend unique et mieux adapté aux conditions de l’existence, ce qui nous a éloigné peu à peu du reste des primates.
Le généticien Craig Venter a démontré qu’environ 99,7 % du génome est identique entre les êtres humains. Mais ce qu’il est important de retenir, c’est que ce 0,3 % restants correspond à une quinzaine de millions de variations, sur plus de 3,3 milliards de paires de bases de notre ADN, ce qui est assez pour entraîner d’innombrables différences. Ce sont ces millions de variations qui font que les humains finissent par se séparer en races distinctes puis en ethnies, chacune ayant développé sa morphologie propre, son degré d’intelligence, ses capacités mentales, ses traits psychologiques communs, ses comportements innés et appris, et son caractère collectif.
Premier exemple: on explique qu’environ 144 gènes feront que le singe possède une queue et que le blocage de ce gène par quelques autres gènes apparus ultérieurement chez l’homme fait que ce dernier n’en a plus. Chez les humains, cet organe disparaît vers la 8è semaine de gestation —considérée comme la fin de la phase dite embryonnaire -mais elle est toujours dans le « plan ». On voit ce qu’une différence de quelques gènes peut avoir comme conséquence radicale, imaginez maintenant les changements apportés par la combinaison de 15 millions d’entre eux qui peuvent se combiner et modifier tant de choses en profondeur.
Second exemple: l’intolérance au lactose est bien souvent génétique. Elle toucherait 70/100 de la population maghrébine et 90/100 de la population asiatique.
Les différences génétiques entre les races et ethnies se vérifient à tous les niveaux, autant physiques, mentaux ou comportementaux. Comme on l’a vu, ce ne sont pas les ressemblances qui comptent, ce sont les différences qui établissent des populations ayant des modes de vie distincts, leur choix des priorités, leurs types de personnalité, leurs attitudes fondamentales face aux obstacles de la vie, leur aptitude naturelle au bonheur, leur sens de la justice, leur dynamisme inhérent, les différences d’agressivité, la propension aux conflits, la conception de l’égalité et de la justice, le code moral, etc.
Ce serait ridicule d’affirmer: comme tous les humains ont 2 yeux, 2 bras, 2 jambes, 1 nez, 1 bouche, 1 tête, 4 membres, cela prouve qu’ils sont tous semblables et qu’ils ne forment qu’une seule et même race indivisible. Ce n’est pas à ce niveau que cela se joue.
Chaque race-ethnie est un résultat en soi obtenu au bout d’un certain temps et de l’isolement géographique, ayant dû relever de nouveaux besoins d’adaptation d’importance vitale, puis s’étant détaché peu à peu des points communs qui la relie aux autres pour en acquérir de nouveaux.
Ci-dessus: ce tableau ramifie les races humaines en 10 catégories ou sous-groupes. Chaque approche scientifique établit un nombre de catégories variables.
Les différences sont si nombreuses et marquées qu’elles ont pour conséquence directe de produire des types de sociétés avec des modes de vie totalement opposés, voire incompatibles, tant l’écart entre elles est infranchissable, et qui ferait en sorte que toute tentative de rapprochement serait indésirable et néfaste pour les sociétés plus avancées. C’est ce qui explique l’écart considérable du degré de civilisation atteint qui les caractérise lorsqu’on les compare.
C’est pourquoi certains groupes humains vivent toujours comme à l’ère tribale (Afrique) ou d’autres comme dans le temps de Jésus (pays islamiques), bien que nous mettons à leur disposition tous les outils permettant d’accéder à la modernité.
Répétons-le: dès qu’elle le peut, la nature crée de nouvelles races, espèces et sous-espèces. Il n’y a jamais rien de définitif et d’immuable, rien de coulé dans le béton. La nature aime plus que tout expérimenter, essayer du nouveau, juste pour voir ce que ça donne, juste au cas où le résultat serait plus avantageux.
Exemples de quelques races-ethnies peuplant la Terre
Ce qu’on observe aux quatre coins du monde, c’est une large variété de races-ethnies qui possèdent des différences marquées sous plusieurs aspects constitutifs. Ce n’est pas juste sur le plan de l’apparence physique, mais tout autant sur le plan du fonctionnement mental, de la réactivité aux situations et événements.
Au fil des années, les chercheurs ont établi un nombre de races et d’ethnies très variable selon la vision de chaque époque.
Identifions-en quelques-unes parmi plusieurs autres (énumération non exhaustive):
- La race-ethnie hindoue, sikhe, pakistanaise, du Bangla Desh, et autres issus de la même région géographique
- La race-ethnie latino partant du Mexique, se continuant en Amérique centrale et du sud
- On distingue 2 races-ethnies asiatiques: celle du nord (Chine, Taiwan, Hong-Kong, Corée, Japon) et celle du sud, au teint plus foncé
- La race-ethnie arabe prédisposée aux perpétuels conflits intentionnellement renouvelés
- La race-ethnie africaine demeurée au niveau tribal en état d’instabilité implosive permanente (lorsqu’elle est déplacée comme à Haïti, le même scénario se reproduit)
- Aux États-Unis, on ajoute les Amérindiens (bien qu’ils soient tous issus de la Mongolie) pour les distinguer des autres races en présence
- Certains généticiens ajoutent la race-ethnie des aborigènes australiens, considérée comme la plus primitive dans l’échelle de l’évolution humaine des espèces actuellement vivantes, dont le quotient intellectuel moyen ne dépasse que rarement 65 points (le standard étant 100)
- Les Occidentaux ayant produit les civilisations avancées qui sont les nôtres, une réussite éclatante et unique dont nous sommes les seuls à pouvoir s’attribuer le mérite; c’est donc signe que nous faisons quelque chose de bien et de valable quelque part grâce à un ensemble d’intelligence, d’habiletés et d’aptitudes particulières que nous avons su développer en devant nous adapter aux changements de l’environnement
Quelques caractéristiques qui différencient les races-ethnies
Les multiples races-ethnies existantes possèdent tant de caractéristiques intrinsèques, de prédispositions naturelles, de traits de caractères, de particularités physiques et mentales, qui les distinguent les unes des autres, qu’on pourrait en remplir des volumes entiers. Il suffit de voyager un peu pour que la chose apparaisse avec évidence. Contentons-nous de quelques éléments différenciateurs des ethnies qui illustreront le propos.
- L’intelligence moyenne nationale, pouvant être mesurée par des tests précisant le quotient intellectuel. Capacité à raisonner, à apprendre, à comprendre, à innover, à inventer, à créer, à atteindre ses objectifs
- La capacité collective à créer les conditions d’une société harmonieuse qui permet le bonheur individuel, familial et collectif
- La capacité à s’adapter rapidement à de nouvelles situations, réalités, technologies, bref, à accueillir le changement en l’intégrant rapidement au bon fonctionnement quotidien
- Capacités et aptitudes physiques visibles ou constitutives
- Chez certains groupes, plus grande propension à céder à la violence, à agir de manière impulsive, à provoquer le chaos social; moins de maîtrise de soi personnelle observable sur une grande échelle
- Un plus haut taux de criminalité affiché chez certaines races-ethnies spécifiques, comme les statistiques sur les Noirs et les autochtones l’attestent, ou dans le cas des maghrébins musulmans qui insécurisent la France dès l’adolescence
- Tempérament, caractère général. La race-ethnie arabe est querelleuse par nature et sait attiser les conflits qu’elle entretient volontairement. En revanche, les Québécois ont un caractère de bons vivants et entendent à rire. Les slaves pour leur part sont plutôt d’humeur sombre; ils sont taciturnes, rudes et bourrus. Les asiatiques sont besogneux.
- Présence de tares héréditaires: prédispositions à certaines maladies, à l’alcoolisme, la dépendance aux drogues, la compulsion aux jeux de hasard (trait particulièrement élevé chez les asiatiques)
- Mentalité collective innée. Exemple: les asiatiques partagent une mentalité de fourmilière/termitière: l’intérêt collectif supérieur prime sur l’individu considéré comme un simple pion remplaçable. Cela entraîne que tout échec est perçu comme un déshonneur impardonnable méritant d’être auto-puni par le hara-kiri. La prévalence de ces 2 traits est particulièrement frappante pour tout observateur extérieur. Cela explique pourquoi toutes les sociétés asiatiques acceptent le fonctionnement totalitaire, autoritaire, comme façon de gérer leur société, ce qui semble convenir parfaitement à leur psyché. Ils ne peuvent concevoir comment il pourrait en être autrement. S’il le voulait, le milliard de Chinois pourrait faire sauter facilement le gouvernement et les quelques milliers de soldats. Mais ils ne le font pas.
- Être sujet à la superstition, être atteint de religiosité extrême (intolérance fanatique envers toute critique de sa religion provoquant une réaction de fureur homicidaire); refuser l’empirisme, la méthode expérimentale, l’évidence scientifique démontrable
- Facilité, inclination, à céder à la corruption, associée à un sens de la justice et un code moral malléables et déficients
- Certaines races-ethnies sont paresseuses, indolentes, sans ambition; d’autres sont dynamiques, travaillantes et voient grand. Qui veut aller sur Mars?
Comme on vient de le voir, il est aisé d’établir des listes détaillées énumérant des différences facilement observables entre les race-ethnies humaines. On aurait pu poursuivre l’énumération d’exemples encore plus. Vous en trouverez plusieurs en fin d’article.
Le phénomène de l’immigration massive actuelle permet de confirmer la validité et la présence de ces traits innés, et d’en observer les effets négatifs quantifiables quand ils jurent avec les nôtres. C’est ce qui fait que nos sociétés assaillies sont en train de se déciviliser comme nous sommes à même de le constater, de le déplorer, de le regretter. Tout cela se traduit par une hausse notable de la criminalité, de l’insécurité publique et du chaos social.
À cause de la surimmigration galopante, les Occidentaux subissent à leur corps défendant un choc des cultures et des mentalités constant et déstabilisant, un signe on ne peut plus clair que quelque chose ne tourne vraiment pas rond dans cet afflux submersif d’étrangers aux allures d’envahissement territorial. Cela produit l’effet d’un choc des civilisations frontal et nocif qui a un effet déstabilisant et rétrogradateur sur nos sociétés évoluées et bien établies, qu’aucune autre n’a jamais pu égaler ni dépasser. C’est pourquoi il faut s’en protéger.
Quel est l’usage constructif qu’on peut faire de toutes ces classifications?
1- L’utilité première d’utiliser les données scientifiques établissant les différences entres les races-ethnies, c’est de permettre d’élaborer de meilleurs critères de sélection des immigrants dans le but de s’assurer qu’ils ne seront pas des agents actifs de recul sociétal, surtout lorsque regroupés en communautés obéissant à leurs autorités sur place, comme les asiatiques/Chinois devenus majoritaires à Brossard, contrôlés par la menace par leurs postes de police chinois locaux, les associations islamistes fondamentalistes qui font venir des imams possédés au discours anti-occidental visant à les radicaliser, ou les représentants religieux sikhs qui dictent aux leurs pour qui voter. En un mot, éloigner les incompatibles, les antagonistes.
Qui voudrait en son âme et conscience que l’Occident descende au niveau des pays du tiers-monde sous-évolué qui ne font que stagner ou empirer avec le temps?
On chasse les Occidentaux de l’Afrique du Sud. Résultat: le pays se déstabilise et s’ensauvage dans la violence, et est en train de descendre au niveau des autres pays africains. Haïti est en train d’imploser.
En immigration, il faut viser la compatibilité, la capacité d’intégration rapide, et posséder une majorité de points communs. Dans le cas du Québec, cela nécessite de se limiter aux Occidentaux les plus proches de ce que nous sommes pour atteindre cet objectif.
2- Une seconde utilité de bien distinguer qui est quoi, c’est de permettre de bien identifier ce que nous sommes en tant que peuple, c’est de nous donner les outils de reconnaissance si on veut préserver tous les éléments de notre précieuse identité collective québécoise, qui est à la base du sentiment d’appartenance à sa nation, le liant qui nous relie et qui nous permet de se sentir bien chez nous et pas ailleurs.
À lire pour bien le comprendre: L’identité culturelle québécoise en 400 éléments
3- Les classements de population et de pays sont très utiles pour déterminer quel type de société est la meilleure, celles qui ont adopté le meilleur système, celles qui doivent servir de modèle, d’exemple, d’idéal aux autres pour qu’elles s’améliorent et progressent à leur tour.
En conclusion: toutes ces classifications servent à aider à bâtir un monde meilleur.
Consultez quelques-unes de ces listes ici:
Liste des 200 pays classés par ordre d’intelligence, de développement humain et de corruption
Liste des différences d’intelligence selon les nations
Corrélation entre basse intelligence et obéissance fanatique à une religion
LISTE COMPLÈTE DES PAYS SELON L’INDICE DE CORRUPTION
Liste des pays classés par ordre d’instabilité et de risque d’implosion
Les nations les plus intelligentes performent mieux
Liste des pays classés selon l’égalité homme/femme
Liste des pays violents au plus haut taux d’homicides volontaires
Liste des pays les plus heureux de la planète
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec