Le grand plaisir des grands de ce monde, c’est non seulement de martyriser les petits (et encore plus les lanceurs d’alerte des petits), mais aussi de se foutre de leur gueule. Ce double plaisir sadique est constitutif de la pensée mondialiste, celle des Schwab, Soros et autres Gates. Un cran en dessous, à la tête des États-larbins occidentaux, on avale le narratif et on le recrache sur les peuples.
Comme le niveau de conscience politique général n’est pas encore au top, 70 à 80 % de ces populations tombent dans le piège : elles ont peur quand on leur dit d’avoir peur, et se rassurent quand on leur dit que tout va bien. Naturellement, tout doit être inversé : il faut non pas avoir peur mais se méfier absolument quand on nous dit qu’il ne faut pas avoir peur, et se foutre complètement des menaces du pouvoir quand il nous dit de qui ou de quoi il faut avoir peur.
Cette petite loi se vérifie partout lors de tous les grands événements qui frappent une nation, généralement pas très positifs. Le pouvoir nous a dit que les islamistes tuaient des Français, alors que les attentats ont été préparés par des services et exécutés par des pigeons ; le pouvoir nous a dit que les Gilets jaunes s’en prenaient à la République, alors qu’il s’en prenaient juste à l’oligarchie qui les sacrifie socialement ; enfin, le pouvoir nous a dit que la pandémie de Covid-19 était due à un pangolin qui s’était mal essuyé le popo, quelque part en Chine, au pays sans libertés.
Ce dernier narratif, auquel nous n’avons pas cru dès le départ, a mis quatre ans à s’écrouler dans les médias mainstream, qui ont évidemment tout fait pour intoxiquer les Français, les confiner, leur faire porter un masque, et les pousser à se faire injecter un faux vaccin qui ne protégeait de rien, ni de la contamination ni de la maladie.
N’oublions pas non plus l’ineffable Christophe Barbier qui préconisait d’utiliser les fichiers de l’administration pour repérer les non-vaccinés afin d’envoyer des brigades à leurs domiciles… Alors qu’il se gobergeait dans des restaurants clandestins en plein confinement !… pic.twitter.com/nS3xGPQgUd
— Iva Masson (@IvaMasson) September 16, 2024
‼️ Incroyable j’avais presque oublié ces deux là.. je vous laisse écouter et vous me dites ce que vous en pensez hein..
Je précise que si cette vidéo est ancienne elle ne date pas non plus, et c’est à s’y méprendre, du régime de Vichy ou la délation était un sport national.. on… pic.twitter.com/OzPfPyF5Yr— Dr MARLON (@leDrMarlon) September 15, 2024
Aux dernières nouvelles, Calvi est toujours en poste et Cymes régulièrement invité en radio-télé.
Désormais, au vu des taux désastreux des dernières campagnes de vaccination, le rapport conscients/inconscients s’est inversé, passant de 20/80 à 80/20. Non pas que les Français seraient devenus subitement lucides sur Big Pharma et ses intentions, mais ils sentent que quelque chose cloche, et qu’il y a beaucoup trop de morts et de malades du « vaccin ». Mêmes les octogénaires, pourtant grands croyants et grands consommateurs de médecine allopathique, se méfient.
Pourtant, en 2024, et précisément le 20 septembre, les autorités mondialistes, qui gouvernent notre presse officielle via notre gouvernement, totalement soumis à leurs décisions, remettent le couvert avec la civette et le chien viverrin. On dirait une blague en mondovision. Mais c’est sûrement pour préparer la prochaine pandémie et la prochaine vague d’injections, qui nous a quand même coûté en France 200 milliards en 2020 – en pertes d’activité –, dette que nous remboursons encore en hausses de prix de toutes sortes, sans oublier les 71 milliards volés par Leyen aux 447 millions d’Européens.
Salauds d’animaux
« Il serait le deuxième animal responsable de la pandémie », écrit ce reportage très scientifique du Parisien en février 2020. Le premier, selon nous, serait le mondialiste Bill Gates. C’est le pangolin lui-même qui a choisi la musique d’ambiance anxiogène. Après quatre ans d’accusations qui ont détruit sa famille et son travail (il a été viré), le pangolin alpha a été blanchi.
Après le pangolin, le coup de la civette signifie que le prochain virus arrive, et que les pseudo-vaccins sont déjà prêts. Il faudra que ce virus soit plus convaincant que le précédent, qui ne fait plus peur à grand-monde. En revanche, le « vaccin » fait peur.
On attend donc le nouveau nom de ce produit sorti des labos P4 occidentaux avec fuite en Chine, l’OMS au lancement et le combo médias-gouvernements à la psychose.
Pour exemple, on a ciblé les titres de presse qui ont besoin de subventions et qui sont prêts à désinformer, quelles qu’en soient les conséquences sur la santé publique. Ah, le profit meurtrier, on y revient toujours !
Le tir groupé de la presse mainstream qui accuse la pauvre civette
C’est bien sûr LCI, La Chaîne idiote, qui a lancé la psychose en janvier 2024. On écoute la gonzesse déguisée en journaliste :
L’idiote : « C’est bien la Chine qui joue avec le feu, un virus mortel, on va aller avec vous à Pékin, c’est une information qui inquiète beaucoup les milieux scientifiques depuis quelques jours, des Chinois auraient développé en laboratoire un virus [sa voix se brise entre rire et panique, NDLR] qui paraît extrêmement dangereux, et les résultats sont sidérants, 100 % de mortalité, c’est ça ? »
Le sachant : « Oui, et vous avez utilisé le conditionnel, mais en fait on peut parler à l’indicatif, c’est pas un fantasme, c’est pas une supposition. »
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation