Les féministes nous rebattent les oreilles avec les tâches féminines, la cuisine, la propreté de la maison, les enfants, et ne parlent jamais des tâches masculines.
Déjà, ce sont les hommes qui bâtissent les maisons, qui sont maçons, charpentiers, terrassiers, plombiers, ce sont les hommes qui extraient les pierres, abattent et scient les arbres, fabriquent les briques et les tuiles, qui sont mineurs, qui font la sidérurgie, ce sont les hommes qui font tout le génie civil, qui goudronnent les routes, taillent et posent les pavés de granit, posent les lignes de chemin de fer, construisent des muts de soutennement, fondent des cloches, bâtissent les ponts, posent les canalisations et les lignes électriques à travers les montagnes, ce sont les hommes qui sont marins-pêcheurs, font marcher les hauts fourneaux, les cimenteries, curent les ports et draguent les rivières, entretiennent les égouts, travaillent dans les abattoirs, font la guerre, etc..
J’étais le seul garçon avec cinq soeurs, mon père était souvent absent parce qu’il était marin, elles me faisaient faire toutes les tâches qu’elles considéraienet comme masculines, c’est moi qui tondais la pelouse, qui coupais et fendais le bois, qui allumais et entretenais le feu, qui changeait les carreaux cassés, remettais du mastic, qui débouchais les wc et réparais la plomberie, qui réparait l’électricité et autres choses cassées, qui peignais les fenêtres et les volets, qui raillaus les haies, qui lavais la voiture, la poubelle et les extérieurs, qui tuais les araignées, qui chassais une souris, qui bêchais les massifs, qui réparais les vélos puis les vélomoteurs, qui les accompagnais quand elles avaient peur, etc.. J’étais très content de faire tout ça.
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