C’est l’affaire qui va faire mal aux féministes, qui hurlent au féminicide dès qu’une femme meurt, même de vieillesse, même en tombant de l’escalier. Ce fait divers, aussi caricatural que dramatique, résume parfaitement l’état d’esprit de nombreuses filles d’aujourd’hui, fait de matérialisme, d’individualisme et de féminisme déviant, un mélange qui peut aller jusqu’à la folie.
Avec froideur, Camille Anguenot a livré ce mardi son témoignage sur le meurtre de Théo Decouchant. Le jeune homme de 23 ans avait été tué chez elle en 2021 par la jeune femme, qui avait caché son corps dans un placard. pic.twitter.com/8ZLNKKGlxX
— LEGEND (@legendmediafr) September 12, 2024
Le 6 décembre 2021, les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon débarquent à Oiselay-et-Grachaux, un modeste village de Haute-Saône bordé de champs et traversé par une départementale. Les policiers se rendent dans l’appartement de Camille Anguenot, une jeune fille de 18 ans qui vit seule. En ouvrant un placard dans le séjour, un policier découvre l’impensable : un corps enveloppé dans des sacs-poubelle scotchés. Le cadavre porte encore un t-shirt déchiré et taché de sang. La victime est rapidement identifiée : il s’agit de Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans qui n’avait plus donné signe de vie depuis le 30 novembre. (Le Figaro)
Les rapports humains sont désormais une source potentielle de revenus, les hommes de vulgaires distributeurs de billets, les sentiments inutiles, voire, dérangeants, le calcul minable, et le résultat terrible. C’est l’ultralibéralisme appliqué aux rapports hommes-femmes, ou filles-garçons, vu le degré d’immaturité. Le féminisme, qui se justifie et qui justifie tout – même l’injustice ! – par la violence présupposée des hommes, donne alors le droit de tuer, moralement ou physiquement.
Le féminisme a fourni à la femme une arme, son sexe, qui lui permet de jouer avec ses faveurs et d’obtenir des faveurs. Le féminisme autorise et encourage les femmes à se servir de cette arme contre les hommes. L’amour et les sentiments s’effacent alors pour laisser place à des rapports de pouvoir, avec un système de chantage récompense-punition. La manipulation du désir du mâle faisait partie du jeu de l’amour, elle est aujourd’hui érigée en système de domination destructeur de l’amour, du couple, et de la famille.
Narcissisme pervers (NP) ou la dérive des filles Insta
Sur les réseaux sociaux et dans la rue, les filles qui ont compris ce programme se changent en putes, non pas pour faire couple ou trouver l’amour, la fin (trouver l’homme idéal) justifiant les moyens (la séduction), mais pour ferrer le pigeon idéal qui leur donnera tout sans rien exiger en retour. Obtenir le maximum de faveurs en donnant le minimum de son sexe. Dans ce schéma, le pigeon idéal c’est le garçon solvable gentil, timide, sans expérience, prêt à tout pour plaire à sa pseudo-princesse (Camille faisait du cheval), qui va utiliser ses charmes comme une araignée sa toile.
Face aux enquêteurs, la jeune fille assure avoir tué Théo par peur et par colère à la suite des agressions sexuelles qu’elle aurait subies. C’était « la seule solution pour que cela s’arrête », justifie-t-elle en garde à vue, décrivant Théo comme « insistant » avec les filles. Interrogée dans le cadre de l’instruction, l’ex-petite amie de Théo dépeint une toute autre personne. Elle déclare qu’il a toujours respecté son choix de ne pas avoir de relation sexuelle et qu’il n’a « jamais tenté de la toucher » quand ils ont dormi ensemble. La meilleure amie de la victime, de son côté, décrit Théo comme « timide, attentionné et respectueux avec les filles ».
C’est ce qui est arrivé à ce pauvre Théo Decouchant, la mouche confiante qui finira dévorée par l’araignée. La pétasse est bien un monstre, malade de cette perversion narcissique qui est la conséquence du féminisme sur les jeunes filles fragiles, ou déstructurées. Les enfants sordides de la crise économique, de la crise des valeurs et de la tentation capitaliste du profit rapide.
Camille, qui aurait voulu être belle et riche, n’était qu’un pauvre boudin sans âme : il ne lui restait plus que son sexe et sa haine pour se hisser socialement d’un petit cran. Là, elle va chuter lourdement, dévisser de plusieurs crans.
On comprend que le féminisme est la branche sexuée du libéralisme et qu’il est aussi destructeur pour les hommes que pour les femmes. Camille est le produit de la promotion des antivaleurs – les valeurs antichrétiennes – par les médias et le politique, tous deux sous influence de forces occultes.
La cérémonie d’ouverture des JO a donné le ton et envoyé un message universel, bien capté par les perdants du jeu social : n’importe qui a droit au plaisir, quelles qu’en soient les conséquences sur les autres, dans le pur esprit du marquis de Sade. « Je chie sur les autres » est la devise de cette nouvelle espèce (in)humaine. Les autres ne sont que les objets de mon plaisir, perdant leur statut de sujet, d’égal à respecter.
Profiter de la faiblesse des hommes : c’est tout bonnement une culture du viol que le féminisme promeut et ne veut pas voir. Dans l’esprit des filles fragilisées par une éducation défaillante et une instruction minimaliste, cette culture a pourtant des conséquence directes, violentes, ignobles.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation