Crise des temps modernes
Non à l’immigration dénaturante, défigurante, insécurisante
Les populations occidentales commencent à s’alarmer à juste titre et à protester devant l’afflux immodéré d’immigrants issus des pays les plus sous-évolués de la planète. Sous-évolués et retardés tant sur le plan individuel, collectif, social, économique, culturel, intellectuel, que celui de l’application des droits humains ou des principes moraux élevés.
Tous ces immigrés disparates et mal sélectionnés représentent un appauvrissement des sociétés occidentales, un vecteur de recul, un facteur d’ensauvagement, de violence et de criminalité accrue.
Les bonnes gens d’ici et d’un peu partout en Occident sont en train de prendre conscience qu’il est temps que cela cesse, et pas dans 5, 10 ou 15 ans. Non, dès maintenant. Leurs gouvernements respectifs n’ont pas le choix d’accéder à leurs demandes.
Par bonheur, les pressions exercées par la population commencent à porter fruit. Même le gouvernement fédéral immigrationiste de Justin Trudeau doit rectifier le tir et revoir à la baisse les cotas annuels. Il était temps.
La meilleure mesure de l’altérisation néfaste de notre société résultant d’une surimmigration inadéquate se vérifie par le sentiment malaisant ressenti au plus profond de soi qui fait qu’on en vient à ne plus se sentir chez soi, qu’on se sent presque comme à l’étranger, dès qu’on met le nez dehors. On a l’impression d’être entouré, voire encerclé, par des individus tellement à l’opposé de ce que nous sommes foncièrement, de ce que nous représentons et visons comme société, qu’on ne veut même pas avoir à entrer en contact avec eux; on ne veut même pas qu’ils nous approchent tellement on sent de différences: différences irréconciliables, incompatibilité fondamentale, totale et antagonisante.
Voici 25 signes révélateurs qui ne mentent pas dont l’effet direct et cumulatif fait qu’on ne se sent plus chez nous, démontrant la nécessité d’un solide coup de barre, si on veut que les choses redeviennent stables et vivables comme avant.
- Dans un quartier où il n’y avait naguère que des Québécois de souche, il y maintenant des ethnies spécifiques en grand nombre qui se regroupent et vivent à part en évitant de se mêler à nous. Ex.: musulmans et femmes voilées, africains ou haïtiens, hindous (l’ethnie qui s’engouffre maintenant en plus grand nombre au Canada), asiatiques (À Brossard, la majorité qui s’y agglutine est de provenance asiatique, donc anglophone, incluant les postes de police chinois).
- Dans une ville jusqu’à tout récemment 100% francophone, on se met à entendre d’autres langues sur la rue, dont certaines écorchent les oreilles parce qu’elles ressemblent plus à des raclements de gorge avant de cracher
- Divers centres communautaires subventionnés ouvrent leurs portes mais se voient réservés à des catégories bien précises dont nous sommes exclus
- Construction de mosquées, de synagogues, de lieux de culte hindous et sikhs, avec une circulation dérangeante aux abords de ces lieux de gens qui affichent ostentatoirement leur appartenance religieuse avec mépris
- La criminalité d’origine ethnique fait des bonds. Taux beaucoup plus élevé qu’au prorata, degré de violence accru, division de la ville en secteurs et territoires, quartiers entiers dangereux qu’il faut éviter, gangs de rue multiethniques
- Voir sur la rue des gens continuer à porter obstinément des vêtements ethniques traditionnels de leurs pays par refus de s’adapter à nos codes vestimentaires
- Voir au quotidien des femmes musulmanes s’abaisser au port du voile avilissant, s’inférioriser devant le mâle dominant musulman, et condamner les femmes québécoises qui se sont libérées des entraves à leur épanouissement
- Être intimidé par des bandes de jeunes multiethniques arrogants et agressifs
- Prendre les transports en commun et être visiblement entouré par plus de non-Québécois que de natifs
- À Montréal, se faire aborder en anglais; aborder soi-même quelqu’un en français et se faire répondre en anglais ou pas du tout par refus de parler français
- Circuler en ville et croiser à répétition des individus à la mine renfrognée et avec cet air inquiétant propre aux pays de misère, des individus provenant d’endroits où on ne voudrait jamais mettre les pieds de toute notre vie
- Sentir de moins en moins la présence de la culture québécoise dans la métropole
- Nette augmentation de la dangerosité des rues à cause du surnombre de pseudo-demandeurs d’asile, faux-réfugiés et migrants illégaux qu’on voit rôder, et qui seraient à peu près tous refusés net par les voies régulières de l’immigration pour non-qualification
- Multiplication de campements d’itinérants composés maintenant de pseudo-demandeurs d’asile, faux-réfugiés et migrants illégaux
- Augmentation du sentiment d’insécurité au point de craindre de sortir le soir, de devoir éviter certains quartiers, de sortir seule dans le cas d’une femme
- Augmentation du degré de barbarie et de sauvagerie des actes violents dus à des multiethniques issus de pays primitifs
- Augmentation de la criminalité de jeunes étrangers mineurs, pouvant se montrer encore plus violents et amoraux que les adultes
- Augmentation de la menace terroriste qui plane au-dessus de nous. Il y avait trois fois plus de policiers que d’athlètes au JO de Paris.
- Stratégie d’extrémistes radicaux multiethniques cherchant à créer un climat de peur et de terreur en manifestant pour les causes de leur pays qui ne nous concernent pas (incluant les campements illégaux). Toutes ces manifestations sont à haut risque de dérapage, d’émeutes et de pillage, ce qui est l’effet recherché au fond. Ils cherchent à détruire la paix sociale, la tranquillité de la vie, et à attiser le conflit et accentuer la polarisation sous toutes leurs formes.
- Dans les bulletins de nouvelles locaux, on s’aperçoit que les crimes les plus graves, sordides et sanglants sont commis par des non-nés au pays, ou par la seconde génération qui suit leurs traces
- Lorsque le gouvernement fédéral lui-même finit par admettre l’existence de nombreuses organisations terroristes bien incrustées et actives au pays
- Avoir la nette impression qu’on est en train de nous remplacer 1 par 1, qu’on nous noie dans le nombre, que la nation fondatrice se minorise
- Lorsque l’intégration au français langue d’usage ne se fait plus. C’est bien beau d’apprendre le français, mais si la personne ne s’en sert pas couramment, c’est peine perdue.
- Lorsqu’on constate que les immigrés n’adhèrent pas à notre culture et n’en connaissent rien. L’autre jour, j’ai parlé à une Anglo-ontarienne établie à Québec depuis 40 ans, et qui n’avait qu’une vague idée de qui était Hubert Reeves. Elle ne savait rien de lui après 40 ans de vie au Québec. Deux mondes mutuellement exclusifs à jamais séparés. Imaginez lorsque ce sont des immigrés maintenant.
- Lorsque des étrangers immigrés se mettent à contester en cour les lois désirées et approuvées par la population (ex.: les lois 21 et 96)
Lorsqu’une société avancée comme la nôtre en arrive à faire le triste constat d’une telle détérioration de sa qualité de vie en 25 points, d’un tel débalancement, c’est qu’il est grand temps de prendre les mesures nécessaires pour que cela redevienne comme avant.
Cela implique entre autres choses la fermeture rigoureuse des frontières aux ethnies problématiques, ainsi que le renvoi de ceux déjà entrés qui causent du grabuge et dégradent nos standards élevés du bien-vivre ensemble. Il ne faut plus subir passivement cette situation délétère qui empire au rythme accru des arrivées des paquets de n’importe qui de n’importe où.
Il n’en tient qu’à nous de retrouver et rétablir la société idéale telle que nous l’avons connue et à laquelle nous tenons plus que jamais, telle qu’elle était avant le début de l’immigration massive mal balisée, une regrettable erreur qu’il faut s’empresser de corriger au nom de la sauvegarde des grands principes de la civilisation occidentale.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec