Une séquence d’une émission en ligne israélienne intitulée « Deux gentils garçons juifs » fait l’objet de vives critiques pour ses propos extrêmes envers les habitants de Gaza.
Une polémique est née suite à la diffusion d’un extrait d’une émission en ligne israélienne. Dans cette séquence, les animateurs de « Deux gentils garçons juifs » expriment des opinions très controversées concernant les habitants de Gaza, allant jusqu’à évoquer leur élimination sans remords.
Ces déclarations ont provoqué de nombreuses réactions indignées. Des observateurs y voient le signe d’une société profondément affectée par un conflit prolongé, où la perception de l’autre s’est considérablement dégradée. Certains analystes pointent du doigt un phénomène de conditionnement à grande échelle qui pousse à considérer l’adversaire comme une menace existentielle qu’il faut éradiquer.
L’affaire soulève également des interrogations sur la responsabilité des plateformes de diffusion comme YouTube. Ces dernières sont accusées de double standard, tolérant ce type de contenu tout en restreignant les critiques envers l’État hébreu.
Au-delà de l’indignation initiale, cet épisode invite à une réflexion plus approfondie sur l’impact psychologique du conflit israélo-palestinien et sur la façon dont des idées extrêmes peuvent se banaliser au sein d’une communauté.
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La Voix de la Louisiane« Nous sommes HEUREUX de savoir que les Palestiniens souffrent » déclarent des podcasteurs israéliens
L’émission présente une discussion sur un podcast israélien controversé intitulé « Deux gentils garçons juifs ». Les hôtes du podcast expriment des opinions extrêmes et violentes envers les Palestiniens, affirmant qu’ils appuieraient sur un bouton pour effacer Gaza si on leur en donnait l’opportunité. Ils déclarent également ne pas se soucier de la souffrance des enfants palestiniens. Ces propos sont vivement critiqués par les commentateurs qui analysent l’extrait, les qualifiant de « dégoûtants » et « nazis ». Les commentateurs soulignent que ces opinions ne sont malheureusement pas marginales en Israël, citant des sondages montrant un large soutien à des actions violentes contre les Palestiniens. Ils expliquent cette mentalité par un endoctrinement et un lavage de cerveau qui déshumanise les Palestiniens. Les commentateurs critiquent également l’hypocrisie des plateformes comme YouTube qui censurent les critiques d’Israël mais permettent ce type de contenu haineux. Ils concluent que ces propos reflètent une société israélienne « brisée » psychologiquement, projetant sur les Palestiniens la violence subie par leurs ancêtres.
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