Monsieur le Président-légitime des États-Unis
M. Donald J. Trump,
<< Un mensonge répété mille fois devient une vérité. >> Joseph Goebbels (ministre de la Propagande d’Adolf Hitler)
En lisant le livre intitulé Les ingénieurs du chaos, me vient à l’esprit, comme tant d’autres fois, l’Internationale Socialiste(1), reconstituée en 1951 est devenue un réseau des mafias politiques englobant presque tous les États du monde et leurs institutions internationales. Par cette définition mafieuse de mainmise idéologique politico-socialo-communiste ainsi que des saccages de fonds publics s’avérant un fait constatable en analysant le contrôle exercé antérieurement évoqué(2). De plus, il faut rappeler que cette organisation du chaos, dont le siège social se trouve dans la City de Londres, l’un des grands paradis fiscaux du monde, est celle vouée à imposer par des stratagèmes électoraux et financiers frauduleux des gouvernements socialo-communistes, les cas des États-Unis, France, Espagne, Portugal, Venezuela, Cuba…, ne sont que des exemples les plus manifestes par leur dérive nationale et les saccages organisés de fonds publics.
L’autre stratagème de la mouvance mondialiste de l’Internationale Socialiste, l’infiltration dans les institutions juridiques, judiciaires, médiatiques et bureaucratiques des États et leurs organisations internationales. Cette infiltration se réalise par la promotion d’une << élite politico-idéologique–mercenariat >> formée dans des << universités ad hocs >> étant contrôlées par leurs mentors liés aux partis membres de ladite organisation mafieuse.
Le cas des politiciens du Parti Démocrate est le summum de cette stratagème politico-judiciaire pour arriver à contrôler le maximum de juridictions de Justice dans les 50 États et au niveau fédéral. La mainmise de ce contrôle se réalise par la nomination des << universitaires présélectionnés idéologiquement >> finissant leurs études de << droit >> (presque tous ces politiciens sont diplômés en droit (sic) sans avoir créé un seul emploi dans le secteur privé) exerçant le pouvoir comme gouverneurs, sénateurs, congressistes, juges, procureurs… ont provoqué depuis l’élection de Barack Hussein Obama (2008-2016), le président-apostat, le chaos actuel amplifié(3). C’est-à-dire, une Administration fédérale avec un fardeau abyssale d’endettement de 35 000 milliards de US$ pour 2024 (30% de cet endettement est détenu par la Chine, suivi par le Japon 20%)(4) ; des millions de votes captifs provoquant l’entrée de plus de 12 millions d’immigrants illégaux ; mettre sur pied une bureaucratie au service du Parti Démocrate coûtant environ 4 000 milliards US$ par année ; un corps de Justice constitué par des mercenaires politico-judiciaires assurant l’impunité à la mafia du Parti Démocrate de ses actes criminels tel s’est avéré depuis la présidence de Bill Clinton (1993-2001), Barack Hussein Obama (2008-2016) Joe Biden (2020-2024) ; l’arnaque du réchauffement climatique pour imposer des surtaxes sur les carburants ; utiliser la pandémie de l’arme bactériologique du coronavirus chinois (Covid-19) pour faciliter la fraude de l’élection présidentielle de 2020 ; mettre sur pied une censure inquisitoriale contraignant les adversaires de la mafia politique du Parti Démocrate par des lois favorisant ses complices des mass médias ; négliger (sic) la sécurité du Président Donald J. Trump afin qu’un << loup solitaire >> puise arriver à commettre un magnicide…
Dans ce contexte de chaos institutionnalisé induit par ladite mafia politique de l’alliance socialo-communiste anti-USA-Trump dénoncée antérieurement fait couronner l’imposture de la mercenaire judiciaire Kamala Harris lors des primaires du Parti Démocrate empêchant d’autres candidats à postuler à ces primaires. Par cette argutie antidémocratique les stratèges de ce parti ont misé sur le parcours du mythe familier-politico-judiciaire de Kamala Harris à partir d’un récit des demi-vérités et mensonges afin de poursuivre la destruction des États-Unis.
En effet, l’auto-proclamation d’afro-américaine de Kamala Harris est l’autre supercherie de cette candidate à l’élection présidentielle du 5 novembre prochain avec comme objectif avoué d’inciter la majorité des américaines de race noire à voter pour l’imposture de cette mercenaire au service de la mafia politique du Parti Démocrate << hors la loi >>.
Cet extrait de l’autobiographie de Kamala Harris intitulée Nos vérités – Mon rêve américain fait partie de ces demi-vérités et mensonges afin de forger un autre mythe comme celui du président-apostat et Prix Nobel de la Paix (sic), Barack Hussein Obama :
<< La vice-présidente Kamala Harris, l’une des femmes politiques les plus inspirantes, raconte son parcours, ses combats et ses vérités. Elle fut la première femme noire et la première femme d’origine indienne à concourir pour le poste de vice-présidente. Et à peine élue aux côtés de Joe Biden en novembre dernier, Kamala Harris est déjà pressentie pour prendre la tête des Etats-Unis en 2024. Face au machisme et à l’entre-soi des campagnes présidentielles menées par des hommes blancs de la génération du baby-boom, Kamala Harris (« A fleur de lotus » en indien) incarne une nouvelle génération de femmes politiques. Son charisme, son naturel, sa franchise et sa volonté implacable sont les qualités qui ont fait élire. Fille d’un économiste jamaïcain et d’une chercheuse en oncologie indienne activistes au sein du mouvement pour les droits civiques pendant leurs études à Berkeley, Kamala Harris a de qui tenir sa forte inclination pour la justice sociale. Elle a toujours voulu changer la société, défendre la vérité et l’égalité. A 13 ans, elle manifestait déjà contre l’interdiction de jouer sur la pelouse de son immeuble… Cette passion pour la justice, elle la développe pendant ses études en science politique et en droit. Entre 2011 et 2017, elle est une procureure générale de Californie intraitable, qui apprend à se faire respecter. En 2017, elle prête serment en tant que sénatrice des Etats-Unis, et apparaît comme l’une des opposantes démocrates les plus déterminées contre Trump et son administration. Dans ce livre, Nos Vérités, Kamala Harris raconte sa famille, son éducation, son parcours, ses fiançailles, son mariage, et son besoin de vérités. Elle parle ouvertement de tous ces thèmes qui divisent son pays : le racisme, l’antisémitisme, le sexisme et l’homophobie toujours présents ; les inégalités économiques qui ôtent dignité et décence à des millions de travailleurs ; elle s’insurge contre le coût de la santé, contre les brutalités policières et judiciaires… Et clame son désir, puissant, de refaire de son pays une grande nation, unie, une famille. >>
De plus, ajoutons ces autres informations pour mieux saisir la connivence de ceux qui << pompaient >> les demi-vérités et les vraies vérités concernant l’ex-maire de San Francisco, Californie, de celle qui ne sera pas élue comme 47ème président(e) des États-Unis :
Nos vérités – Mon rêve américain Kamala Harris, la fille de sa mère
Kamala Harris : Sa relation décriée avec un homme qui avait 31 ans de plus qu’elle
La philosophie économique de Donald J. Harris critique l’économie dominante et remettait en question les hypothèses orthodoxes ; il a été décrit une fois[Par qui ?] comme un « savant marxiste » mais « trop charismatique, un joueur de flûte égarant les étudiants de l’économie néoclassique »
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_J._Harris
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En conclusion abrégée : la << saga Obama-Biden-Harris-Walz >> en connivence avec ses complices antipatriotes tant financiers-déprédateurs (parmi eux, les Soros), comme les groupes des mass médias mercenariats (CNN, Washington Post, NYT, META…), que le 3ème pouvoir politico-judiciaire ainsi que la mafia bureaucratique de l’État-profond à Washington D.C., anti-USA-Trump, feront tout leur possible pour que Donald J. Trump, le grand-patriote-humaniste, ne soit pas à la Maison-Blanche à partir du 20 janvier 2025 ou sans cette éventualité, l’empêcher d’exercer son POUVOIR PRÉSIDENTIEL dès cette date jusqu’à 2028 afin que cette alliance antipatriote puisse continuer à poursuivre la destruction des États-Unis(5).
Cordiales salutations,
Jean-Louis Pérez-Martel
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*. Kamala Harris now remembered for her Vanier roots
La contre-vérité :
(…).
Notons que plusieurs rumeurs mentionnent que Mme Harris aurait fréquenté le Collège Vanier après la fin de ses études à l’école de Westmount, ce que l’établissement ne peut confirmer pour le moment.
«Rien au secrétariat ne prouve qu’elle était inscrite ici dans les années 80. On a essayé de trouver, mais il n’y a pas de preuve», a confirmé au Journal Marguerite Corriveau du Collège Vanier.
(…).
Kamala Harris, la pionnière de l’Amérique
https://booknode.com/kamala_harris_la_pionniere_de_lamerique_03409401
Cette biographie a été écrite par l’avocat Olivier Piton représentant des Français aux États-Unis et faisant partie de la mouvance médiatique anti-USA-Trump. Voici sa prise de position sur l’<< affaire bidon >> inculpant Donald J. Trump :
Olivier Piton : « Le choix du jury a une influence essentielle dans le déroulement d’un procès »
**. Comme exemples, parmi tant d’autres, ces << biographies > >>> citées ici-bas révélant une présence constante d’auto-évaluation du parcours personnel afin de prendre en otage la majorité électorale de la population de race noire en promouvant l’apologie de la discrimination, de la pauvreté, du racisme, contre les forces policières…, en se servant de l’appareil juridique, politico-judiciaire (3ème pouvoir),*** médiatique, civique institutionnels et privés << ad doc >> faisant que ce soit le Parti Démocrate et ses mercenaires philanthropes antiaméricains qui les finançaient pour qu’ils soient sous leur tutelle :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_J._Harris
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kamala_Harris
https://en.wikipedia.org/wiki/Maya_Harris#Politics
https://fr.wikipedia.org/wiki/Barack_Obama
***. Pourquoi le 3ème Pouvoir politico-judiciaire est l’arme totalitaire de la néo-aristocratie mondialiste antipatriote financée par le spéculateur-prédateur George Soros et ses complices(*)
1. Internationale socialiste https://fr.wikipedia.org/wiki/Internationale_socialiste
2. Comment la mafia politico-bureaucratique de l’ONU, de ses organismes et agences en connivence avec des responsables gouvernementaux antipatriotes et corrompus des pays membres spolient des dizaines de milliards $US provenant de fonds publics depuis sa création en 1948…
3. Lors des deux mandats présidentiels de Barack Hussein Obama (2008-2016), la dette publique des États-Unis avait doublé passant de 10 025 milliards à 20 000 milliards US$ :
Dette publique des États-Unis
Voracité budgétaire
Depuis le début du mandat de Barack Obama, la dette a augmenté de près de 4,8 milliards de dollars par jour, soit 3 millions de dollars par minute…
Record battu : Barack Obama, président le plus dépensier de l’histoire des Etats-Unis
Guillaume Debré montre, chiffres à l’appui, que sous le mandat d’Obama, l’Amérique s’est endettée chaque année d’un montant égal ou supérieur… à la totalité de la dette publique de la France. Du jamais vu. Extraits de « Obama face au pouvoir » (2/2).
Pour davantage d’information, veuillez consulter :
4. Dette publique des États-Unis
Le livre intitulé La Chine et le Nouveau Désordre Mondial est une autre synthèse de ce que le régime communiste de Xi Jinping, l’alliance socialo-communiste du Parti Démocrate et les satellites idéologiques de l’Internationale Socialiste veulent réaliser afin de pouvoir supplanter la Première Puissance Globale Mondiale : les ÉTATS-UNIS.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec
