Un seul enjeu derrière l’arrestation sous faux drapeau du wonderboy russe, Pavel Durov

Un seul enjeu derrière l’arrestation sous faux drapeau du wonderboy russe, Pavel Durov

26 août 2024 Sylvia Bourdon

25 août 2024

Sylvia Bourdon

Il y a quelques mois, j’ai écrit 4 articles sur le créateur de VKONTAKTE et de TELEGRAM, ici, sur Résistance Républicaine, Pavel Durov, le wonderboy russe de la high tech !

https://resistancerepublicaine.com/2024/04/30/lhomologue-russe-de-zuckerberg-pavel-durov-le-plus-riche-de-dubai-et-idealiste-de-la-tech-1
https://resistancerepublicaine.com/2024/05/01/les-aventures-nomades-du-milliardaire-pavel-durov-2-qui-lont-mene-a-dubai
https://resistancerepublicaine.com/2024/05/02/tucker-ebahi-le-milliardaire-pavel-durov-ne-possede-rien-et-ne-veut-rien-posseder
https://resistancerepublicaine.com/2024/05/03/pavel-durov-est-optimiste-oui-nous-parviendrons-a-conserver-notre-vie-privee

Avant moi, hier, Christine Tasin a dit l’essentiel sur son arrestation que je viendrai ici compléter.

https://resistancerepublicaine.com/2024/08/25/macron-coffre-pavel-durov-mais-laisse-entrer-tous-les-egorgeurs-qui-le-souhaitent-chez-nous

A qui profite le crime d’arrestation sous faux drapeau de Pavel Durov ?

C’est triste à dire, mais le crime profite à une poignée anonymes d’hommes au pouvoir à Washington. Au sein de l’administration du Pentagone, du ministère des affaires étrangères, de la défense, de la justice et du FBI forcément complice, comme on l’a vu avec James Comey durant la première administration Trump. Dénoncé par les TwitterFiles à la suite de l’achat de Elon.

Des fonctionnaires non élus, au service de ceux qui les dirigeaient depuis les Thénardier de la Maison Blanche, le plus corrompu des couples de pouvoir, les Clinton. Ils se sont tous enrichis grâce à la politique. Clinton inaugurait la gouvernance par la ploutocratie. Toutes les dérives morales toxiques contaminaient les médias qui couvraient systématiquement leurs turpitudes pour en ramasser les grosses miettes en organisant la lobotomisation de l’opinion publique au profit de ces coquins au pouvoir. La toxicité s’est étendue dans tout l’occident collectif dégénéré.

Cet entre soi hégémonique, qui compte bien le rester, œuvrait à l’organisation mondiale des fake news, terme rendu populaire par Donald Trump. Les réseaux sociaux et autres plates formes n’existaient pas encore.

Petit résumé historique pour comprendre la totalité de la puissance mondiale inédite que sont devenues les plates-formes qui viennent de ringardiser tous les mainstream du monde depuis la récente conversation entre Musk et Trump, mais déjà avant, l’interview de Poutine par Tucker. Taux d’audience jamais atteints par les mainstream, qu’ils ne pourront jamais concurrencer en l’état. Le fondateur de la chaîne NEWSMAX, Christopher Rudy, qui a dépassé la FOX, confirme qu’il reste encore une dizaine d’années pour son genre de média par le cable.

Le débat mondial se fait désormais en direct sur les plateformes X et TELEGRAM, ODYSSEE, RUMBLE (interdit en France par Macron et la fée Carabosse von der Leyen), TRUTH SOCIAL de Donald Trump, PARLER et GETTR.

Pour enrager ces criminels de Washington et leurs valets de l’Occident collectif dégénéré, Elon va faire ce qu’il dit, inaugurer un moteur de recherches afin de savonner la planche de Google qui efface toutes les données compromettantes de ces politicards corrompus. Le globe terrestre est devenu rock & roll ! Jubilatoire mais dangereux. Vous avez cependant tous une bouée de sauvetage, vous pouvez vous rendre sur YANDEX russe chercher tout ce que vous voulez, y compris ce qui fut effacé par GOOGLE. Ça fonctionne comme GOOGLE. Vous saisissez en français et c’est parti.

Apparition des premiers réseaux sociaux.

La présidence Clinton s’est étirée de 1993 à 2001, juste pour dire…

Le premier réseau social en ligne a été créé en 1996 et voit le jour en 1997. Celui-ci s’appelait SIX DEGREES.COM. Il fut créé par Andrew Weinreich et la société Macroview à New York pour remplacer les services du bulletin Board System et Internet Relay Chat, qui étaient respectivement des plateformes en ligne. 2004 voit arriver FaceBook ; 2006, Twitter et SlideShare.

Surtout WIKILEAKS de Julian Assange, la première victime du deep state, je n’ai plus besoin d’en narrer les raisons. Champion du journalisme, du vrai. Coupable d’avoir fait fuiter les turpitudes de Washington en particulier. Libéré au bout de nombreuses années de « prison », même au sein d’une ambassade compatissante d’Ecuador, compassion dont le gouvernement britannique a sonné la fin pour l’extrader dans une vraie prison au risque de sa santé et de sa vie pour enfin sortir en plaidant « coupable » au risque de mourir vraiment. Il ne fut libéré qu’en juin de cette année. La France, je le souligne, n’a jamais offert l’asile à Assange, quand elle accorde l’asile à des hordes islamisées.

A partir de 2006, les réseaux sociaux commencent à véritablement se démocratiser et à se multiplier sur la toile.

Le premier moteur de recherche est généralement considéré comme étant ARCHIE, créé en 1990 par Alan Emtage, un étudiant de l’Université McGill à Montréal. Cependant, ARCHIE, ne recherchait que des noms de fichiers et non le contenu réel de fichiers. Le premier annuaire né de l’esprit de deux autres étudiants californiens de l’Université de Stanford, Jerry Yang et David Filo, fut YAHOO qui connut un succès immédiat. Puis arriva GOOGLE en septembre 1998, grâce au financement de Andy Berchtolsheim, l’un des fondateurs de Sun Microsystems et investisseur hors norme, qui avait détecté le potentiel déjà immense du travail de Page et Brin (ex-époux de la colistière de Bobby, Nicole Shanahan).

2016 ; changement du monde médiatique à partir de l’élection de Donald Trump

Personne ne pouvait imaginer que le Gargantua Trump, serait, sans le vouloir, celui qui inaugurerait le changement total de l’utilisation global des plates-formes. A chaque grand rassemblement durant la campagne, le Donald invectivait les médias qui couvraient ses meetings, de « Fake News Media », les montrant du doigt. Les FNM, se firent alors huer par des dizaines de milliers de militants durant ses impressionnantes manifestations.

Les plates formes relayaient abondamment les meetings de Trump, mettant ainsi en exergue, la vérité sur ces réunions imposantes. Pour l’opinion publique, il fut particulièrement intéressant que le candidat Trump dénonça ouvertement les turpitudes de la très corrompue Hillary et promette de la mettre sous les verrous. On se souviendra des foules qui hurlaient : « Lock her up » – mettez là en taule.

Conclusion. Son élection. Le peuple, qui ne s’en est pas laissé dire par les médias de grands chemins, s’est enfin déplacé, fatigué de la fange, enhardi par Trump.

Au grand dam de « l’establishment corrompu de Washington », qui aussitôt élu, lui savonnait la planche pour l’empêcher de gouverner. Il a tout de même réussi ce tour de force de redresser tant bien que mal l’économie américain.

Puis vint la seconde campagne pour sa réélection à la Maison Blanche. Ses ennemis jurés firent tout pour l’empêcher de gagner. Les fraudes organisées furent massives, partout. C’est là que la judiciarisation de l’adversaire fut lancée. Sous l’administration Biden. Bien que le team d’avocats de Trump portât les preuves des fraudes massives devant les tribunaux, aucun tribunal n’accepta de les recevoir. La chanson dans les médias de grands chemins du monde occidental collectif dégénéré était que Trump était un dingue-mythomane-maniaque-vulgaire-psychopathe-vaniteux peroxydé et que l’élection n’avait jamais été truquée. Sans oublier déjà, les appels à son meurtre, y compris dans le si sérieux New York Times.

Trump n’a jamais dérogé et le système a par la suite ruiné le célèbre ex-maire de New York et chef du team d’avocats de Trump, Rudy Giuliani. Ils ont mis en prison, sous de faux prétextes, Roger Stone, consultant politique original et efficace, artisan de la victoire de Reagan et surtout et avant tout, au début de l’administration Trump, le Général Flynn, très menaçant pour le deep state, grand connaisseur de l’islam et du danger qu’il comporte.

Oui, mais tout cela filtrait malgré la collaboration honteuse de Jack Dorsey de Twitter avec le FBI et de Marc Zuckerberg de FaceBook, de Google qui effaçait les traces des turpitudes de Washington…

Arrivée du patron de SPACE X dans la mêlée, ancien démocrate devenu raisonnable.

Elon Musk provoque une bombe en achetant pour 44 milliards Twitter qu’il rebaptise X. Dans le but avoué de défendre la liberté d’expression, qu’il estimait à juste titre en danger de mort. Les vipères globalistes, immigrationnistes de gauche et woke corrompues sortent de leur trou et tombent sur le dos du multi milliardaire, pour prévoir sa prochaine faillite et que son projet X ne fonctionnera jamais, tant ils étaient aveuglés d’arrogance, n’imaginant pas que Elon les ringardiserait en peu de temps.

C’est arrivé avec, pour commencer, l’interview de Tucker Carlson du Président Poutine, 200 millions de vues et enfin, la conversation Elon-Donald, plus d’un milliard de vues.

Là, les dits « mainstreams » s’affolent plus encore et manquent de prudence dans leur contre-attaque.

Pour commencer, Thierry Breton, sur ordre de Washington, envoie il y a quelques jours une lettre de menace à Elon Musk. Devant le tollé mondial, la Commission et son commanditaire se désolidarisent de Breton ….

Leur but, à ces crapules mondialisées, est de maîtriser les plates-formes, afin que la vérité sur leurs nombreuses turpitudes, leurs crimes et crimes contre l’humanité, tout aussi nombreux, soient définitivement effacés pour laisser place à « leur unique vérité ». Ainsi, ils réussirent à faire condamner Scott Ritter, dont j’ai déjà parlé ici, un des plus virulents critiques de la politique de l’administration Biden, à 3 ans de prison ferme pour viol. Une condamnation arbitraire sans jugement véritable. On se souviendra que Julian Assange aussi fut accusé de viol. Leur marotte pour déclencher le « name and shame ». Ils ne laissent aucun répit à Scott, qu’ils ont tenté d’empêcher de se rendre cette année en Russie pour le Forum Économique de Saint Petersburg, lui retirant son passeport, ne déclinant même pas au nom de quelle administration ils étaient mandatés. Dernièrement, le FBI est arrivé sans prévenir à son domicile pour tout mettre par-dessus-dessous en mode d’intimidation.

Dernière bombe qui vient d’exploser, après la tentative d’assassinat de Trump, l’arrestation, en France, de Pavel Durov. Cela n’est qu’un avertissement à Elon, qui ne se laissera jamais intimider, ni menacer.

Ce qui est navrant dans cette affaire mondiale de la défense de la liberté d’expression, est que les peuples ne se lèvent pas pour la défendre cette liberté, la plus chère et le droit fondamental de tout être humain.

La France réduite à peau de chagrin ne fait qu’obéir aux ordres de Washington, via von der Leyen. Voilà où nous sommes tombés ?

Quand l’opinion publique française ne moufte pas, pourquoi être patriote pour un chancre mou destiné à se propager ? Ce que ces tocards criminels n’ont pas encore compris dans leur quête à se maintenir au pouvoir dans cet Occident collectif dégénéré, est que Elon Musk maîtrise l’espace. Qu’à partir de l’espace, il pourra peut-être, dans peu de temps, déjouer toutes leurs turpitudes techniques de surveillance des citoyens du monde, en particulier de ceux qui sont en première ligne et en danger, parce qu’ils combattent pour que la liberté d’expression vive.  Nous, ici, par exemple…

Sylvia Bourdon

25 août 2024

Source : Résistance Républicaine

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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