ALERTE : Moderna cherche cobayes pour un pseudo vaccin à ARN anti Mpox (anti-variole du singe)

ALERTE : Moderna cherche cobayes pour un pseudo vaccin à ARN anti Mpox (anti-variole du singe)

Par le Dr G Delépine

La déclaration de l’OMS d’une urgence mondiale pour la variole du singe (Mpox) a permis aux fabricants de vaccins d’engranger de généreuses subventions, des commandes considérables et de belles plus-values boursières.

Et Moderna en profite pour tenter de promouvoir un traitement à ARN qu’elle qualifie à son habitude de vaccin, en osant se vanter des résultats de son produit lors du covid !

Le Mpox est une maladie bénigne, peu contagieuse et facilement évitable.[1]

L’AFP essaie de nous effrayer en insistant sur la contamination des enfants et avançant un taux de mortalité estimé à 3,6 % sans souligner que ce taux n’a été observé qu’en Afrique dans des pays en guerre qui manquent cruellement d’hôpitaux, de soignants, de médicaments, de nourriture, et que la majorité des morts souffraient aussi du sida.

En occident, c’est une maladie bénigne. En Europe et aux USA, lors de l’épidémie de 2022, sur plus de 18500 cas, aucune complication mortelle n’a été signalée. En France, aucun des plus de 5 000 malades recensés au 27 avril 2023 n’est décédé. Cette bénignité contredit totalement l’image de nouvelle peste que l’OMS et les médias tentent d’imposer.

C’est une maladie peu contagieuse. Elle se propage essentiellement (voire exclusivement) par contact direct a peau à peau en touchant les boutons (pustules) d’une personne infectée ou des objets qu’elle a contaminés (linge, couverts, etc.). Le virus pénètre dans l’organisme par des microlésions de la peau. La transmission peut aussi s’effectuer par contact avec des fluides corporels et peut être par les gouttelettes respiratoires après un proche contact prolongé. Les malades sont contagieux tant qu’ils présentent des pustules (près de 3 semaines.

En Europe, elle touche essentiellement les homosexuels mâles surtout multipartenaires ou souffrant du sida comme l’a confirmé l’ONU qui précisait en 2022 que 98% des cas (5996/6099) s’identifiaient comme gays[2].

C’est une maladie facilement évitable par des précautions simples

Les hétérosexuels et les lesbiennes qui ne vivent pas au contact des singes, ni des malades, ont infiniment peu de risque de se contaminer.

En France, comme dans tous les pays riches, les gays et les travailleurs du sexe qui représentent les populations à risque sont généralement bien informés par leurs associations et savent que pour ne pas s’infecter il suffit de respecter les recommandations des autorités sanitaires comme celles de San Francisco en 2022[3] : « éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure » ou celles de New York : « demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Evitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ». [4]

En France les personnes à risque ont été sensibles aux messages de prévention et aux recommandations, notamment celles avec plus de dix partenaires sexuels au cours des trois derniers mois. Leurs comportements sexuels ont ainsi significativement changé avant et après le 9 mai conduisant à une diminution de la proportion de personnes ayant plus de 10 partenaires dans les 3 derniers mois

L’efficacité de ces précautions est confirmée par Heymann, expert de l’OMS [5]

« les mesures individuelles pour atténuer les risques – en faisant attention si les partenaires sexuels ont des lésions génitales, par exemple – sont la meilleure approche ».

Mais très curieusement les déclarations de l’UE et de l’OMS oublient trop souvent de rappeler les modes de contamination, les mesures d’hygiène simples à respecter pour éviter la maladie et les groupes à risque, officiellement pour éviter de les stigmatiser.

Contrairement à ce qu’affirment l’OMS et l’ONU, les vaccins sont peu efficaces Sous l’influence de donateurs comme Bill Gates qui lui assurent l’essentiel de son budget l’OMS, comme l’ONU poussent les populations vers le dépistage et des vaccins dont ni l’innocuité ni l’efficacité n’ont été correctement évaluées. L’absence d’essais randomisés publiés à ce jour, la rareté de la maladie, le faible nombre de personnes vaccinées et suivies et le trop faible recul dont on dispose actuellement ne permettent en effet d’obtenir aucune certitude scientifique.

En France, les avocats du vaccin Ankara s’appuient sur une étude purement observationnelle (non randomisée) ANRS-174-DOXYVAC[6] incluant seulement 472 homosexuels qui compare les taux de contamination sur deux périodes consécutives (avant et après mai 2022). Ils se félicitent de la diminution du taux de contamination qu’ils attribuent à la vaccination sans aucune preuve réelle du fait de l’évolution décroissante spontanée de nombreuses épidémies, et des modifications des pratiques sexuelles adoptées par les personnes à risque.

Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le Strategic National Stockpile (SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de laboratoire et de soins. Mais aucun essai randomisé n’a étudié son efficacité.

Il en est de même du vaccin JYNNEOS qui n’a été autorisé sur le marché que sur une étude cas clinique de valeur très discutable [7]

De plus ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque :

« risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque inconnu de myocardite après JYNNEOS [8] » ; « la prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum [9] et la vaccine évolutive, cette dernière étant un effet indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine entraîne généralement la mort[10] ».

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité  contre ces maladies. Contre le monkeypox, l’efficacité d’imvamune a été démontrée sur des animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Il reste donc expérimental chez l’homme, même si les agences en ont autorisé sa mise sur le marché.

Le rapport de Santé Publique France du 27 avril 2023  [11] permet de douter de l’efficacité de la vaccination en vie réelle, puisque sur un cluster tourangeau de 19 malades, 10 avaient été vaccinés ! Des infections par Mpox peuvent survenir chez des personnes ayant reçu un schéma complet de vaccination, et il est important de penser à ce diagnostic en cas de lésions typiques de mpox, y compris chez des personnes correctement vaccinées.

Un essai randomisé de vaccins contre le Mpox ne fait pas courir de risque aux non vaccinés et est donc parfaitement éthique si les participants sont parfaitement informés des buts de l’essai, de la composition du vaccin et de ses risques. Et c’est précisément ce qui pose un problème aux candidats à l’essai.

L’essai Mpox de moderna n’utilise pas un vaccin, mais un médicament à ARN

MPower, l’essai de Moderna contre le mpox  est en cours de lancement au Royaume-Uni pour obtenir l’autorisation de sa mise sur le marché avec l’appui du National Institute for Health and Care Research, de la West NHS Foundation Trust.

Contrairement à qu’ils prétendent, il ne s’agit pas d’un vaccin selon la définition de Pasteur. Il ne contient ni d’antigènes issus du virus, ni de virus atténué mais un ARN, comme pour les injections contre le covid. Il s’agit donc en réalité d’un médicament à ARN[12].

Des chercheurs de l’University Hospital Bristol et de la West NHS Foundation Trust prétendent sans sourciller que la maladie serait « une menace mondiale pour la santé publique, et il est urgent de  faire davantage de vaccins pour prévenir de futures épidémies ». Alors que, comme nous l’avons vu, elle ne menace réellement que certains africains et une infime minorité d’occidentaux qui peuvent l’éviter en adoptant un mode de vie plus prudent.

Moderna et ses chercheurs espèrent ainsi obtenir le même soutien institutionnel à leur recherche que celui observé pour le Covid-19. Ils recherchent les cobayes humains indispensables à leur essai. Mais il n’est pas certains que les homosexuels mâles qui s’intéressent à la maladie acceptent de prendre le risque que font courir les médicaments à ARN pour au mieux éviter des pustules qu’ils ont appris à reconnaître. Les myocardites et les complications neurologiques des injections à ARN contre le covid  sont tellement plus dangereuses que le Mpox.

D’abord ne pas nuire constitue le premier devoir du médecin. En Grande-Bretagne, proposer en 2024 une technique à risque pour éviter une maladie bénigne déroge à ce principe intangible que tout médecin a juré de respecter.

Mais il s’agit de chercheurs et d’industriels pour lesquels les motivations ne sont pas médicales mais prioritairement financières…

[1] https://www.profession-gendarme.com/pourquoi-loms-fait-du-mpox-une-urgence-mondiale-cherchez-largent/

[2] https://news.un.org/fr/story/2022/07/1124642

[3] https://sfmayor.org/article/san-francisco-declare-local-public-health-emergency-monkeypox

[4] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/

[5] https://nypost.com/2022/05/23/who-expert-david-heymann-says-monkeypox-outbreak-came-from-sex-at-european-raves/

[6] https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-7762%2824%2900187-X

[7] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2215201

[8]  https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2.html

[9] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar;54(6):832-40. doi: 10.1093/cid/cir952. Epub 2012 Jan 30. PMID: 22291103. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/

[10] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15;36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID: 12627361. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/

[11] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2023/variole-du-singe-mpox-point-de-situation-en-france-au-27-avril-2023

[12] Cela témoigne de la volonté de généraliser les injections à ARN injustement dénommées vaccins et contre lesquelles le Pr Péronne met en garde à nouveau. 1984 sur X : « Le Pr Péronne alerte sur l’Agenda mondialiste !! COVID vaccins Variole du singe vaccins Le gouvernement illégitime prépare la mise en place d’une obligation généralisée des injections ARNm.!! Un soulèvement est indispensable..nous sommes tous en danger !!! https://t.co/md9VSqysY2 » / X

25 août 2024

Etiquettes :essais cliniques, injections ARN, Mpox, pseudovaccin, toxicité injections ARN, UK, variole du singe

Source : Docteur Nicole Delépine

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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