Dans une interview exclusive, Ryan Montgomery, expert en cybersécurité, révèle les dessous du hacking éthique et son potentiel dans la lutte contre les réseaux criminels.
Le monde de la cybersécurité est en constante évolution, et avec lui, le rôle des hackers éthiques. Ryan Montgomery, alias Zero Day, nous plonge dans cet univers fascinant où les compétences en piratage informatique peuvent être mises au service de la justice.
Montgomery explique comment il évalue les vulnérabilités d’une entreprise, depuis l’observation de l’environnement de travail jusqu’à l’analyse des systèmes informatiques. Ces techniques, utilisées à des fins de protection, sont les mêmes que celles employées par les cybercriminels.
L’expert aborde également des sujets sensibles, comme l’affaire Jeffrey Epstein, et la possibilité de retrouver des fichiers compromettants. Il estime qu’il existe entre 10 000 et 20 000 hackers de haut niveau aux États-Unis, dont peu travaillent pour le gouvernement.
La conversation prend un tournant inattendu lorsque Montgomery évoque le potentiel des hackers dans la lutte contre la pédophilie et le trafic d’êtres humains. Selon lui, les compétences en cybersécurité pourraient être cruciales pour démanteler ces réseaux criminels.
Cette interview soulève des questions éthiques importantes sur l’utilisation des compétences en hacking. Entre protection de la vie privée et lutte contre la criminalité, où tracer la ligne ? Le débat reste ouvert, mais une chose est sûre : les hackers éthiques ont un rôle crucial à jouer dans notre société numérique.
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24 août 2024 La conversation porte sur les techniques de piratage informatique et la cybersécurité. Ryan Montgomery, un expert en sécurité, explique à Patrick Bet-David comment il évaluerait les vulnérabilités d’une entreprise en observant son environnement et ses équipements. Il décrit ensuite comment il procéderait pour pirater un réseau, en commençant par cibler un individu pour obtenir un point d’entrée. La discussion aborde ensuite le cas de Jeffrey Epstein et la possibilité de retrouver ses fichiers compromettants. Montgomery estime qu’il y a entre 10 000 et 20 000 hackers de haut niveau aux États-Unis. Il souligne que peu travaillent pour l’armée. La conversation se termine sur l’idée que des experts comme Montgomery pourraient être cruciaux pour lutter contre la pédophilie et le trafic d’êtres humains.
Source : La Voix de la Louisiane
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