Il y a deux aspects essentiels à considérer avec Stéphane Séjourné, l’ex-ami du Premier ministre fantôme Gabriel Attal : le look, et le contenu.
I hosted my colleagues, the French FM @steph_sejourne and the British Foreign secretary @DavidLammy, in Jerusalem today for an urgent visit amidst Iran’s threats to attack Israel.
I thanked them for their support of Israel and made it clear that the right way to deter Iran and… pic.twitter.com/2bDs1B8LRU
— ישראל כ”ץ Israel Katz (@Israel_katz) August 16, 2024
Le look, on le voit ici, est déplorable. On dirait qu’il s’est acheté un costard à Barbès. Et puis, physiquement, devant ses alter ego, il ne fait pas le poids. On est loin de Villepin, son nom, ses tenues chics et ses 1 m 91.
Ça compte, quand on représente une nation à l’étranger. Séjourné, honnêtement, et on va le dire sans méchanceté, on dirait qu’il sort des toilettes, débraillé, le froc mal tenu, la veste mal coupée…
Samedi 17 août 2024, il achevait au Caire une tournée moyen-orientale, qui n’a fait ni les gros ni les petits titres, c’est dire l’importance du bonhomme. Et ça, c’est pas de notre faute, mais le choix de Macron qui place des types qui sont pas des furets à des postes auparavant importants. Avant, le ministre des Affaires étrangères, c’était quelque chose : on ne va pas remonter à Cro-Magnon, mais Talleyrand, Tocqueville, Chateaubriand, Poincaré, Murville, Dumas, c’est du lourd ! Après, ça s’est cassé la gueule, faut dire la vérité, avec les Douste, Kouchner, Fabius, jusqu’à Colonna et Séjourné, la fin de tout.
Le premier jour, Stéphane se fait défoncer sur Europe 1
Donc SS (Stéphane Séjourné) se balade au Moyen-Orient et se retrouve à valider la ligne israélienne, soit le génocide. Officiellement, ce valet qui fait la navette mentale entre Tel-Aviv et l’Élysée travaille pour un cessez-le-feu à Gaza. En réalité, comme le révèle Disclose, il couvre la vente de composants militaires à Israël. À partir de là, on peut plus rien pour lui. Il a quand même une explication, le pauvre :
« Les composants notamment [qui] servent à déjouer des tirs et donc qui servent pour le dôme de fer ou des composants qui servent dans le cadre de vidéosurveillance. (…) Il n’y a pas d’armes exportées, en tout cas pour la France, d’ailleurs la France est peut-être plutôt un concurrent d’Israël sur le marché plus qu’un fournisseur. »
Lamentable. En vérité, comme le rappelle perfidement RFI, on vend aux génocidaires des « pièces de cartouches pour mitrailleurs, et des balises d’identification pour drones ». C’est moins grave que les bombes américaines qui tuent les Palestiniens par dizaines de milliers mais ça fait tache, quand même, surtout pour l’histoire et le Nuremberg qui va suivre.
Dans le registre comique, la Soudais, pourtant courageuse sur la Palestine, n’a rien à envier à Stéphane.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation