URGENCE ABSOLUE : L’HORREUR CACHÉE DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE | Me DANGLEHANT | GPTV. (2 vidéos)

URGENCE ABSOLUE : L’HORREUR CACHÉE DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE | Me DANGLEHANT | GPTV.  (2 vidéos)
URGENCE ABSOLUE : L’HORREUR CACHÉE DE L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE | Me DANGLEHANT | GPTV.  (2 vidéos) GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Diffusée en direct le 9 août 2024 #gptv#france#protection L’aide sociale à l’enfance (ASE) en France est un pilier essentiel du système de protection des enfants, mais ce dispositif, censé protéger les plus vulnérables, est aujourd’hui au cœur d’une controverse majeure.

Derrière les objectifs affichés de sécurité et de bien-être se cache une réalité bien plus sombre, marquée par des accusations de placements abusifs, de maltraitances, et de graves dysfonctionnements. Le silence autour de ces questions, que ce soit dans les médias ou les débats politiques, ne fait qu’amplifier l’inquiétude. Maître Danglehant vient témoigner à travers son expérience professionnelle dans ce milieu.

La complexité du système de placement d’enfants en France soulève de nombreuses interrogations. Pourquoi tant d’enfants sont-ils retirés de leurs familles, parfois sans raisons apparentes, et placés dans des structures où ils sont supposés être en sécurité, mais où ils peuvent devenir les victimes de violences ou de négligences ? La rémunération liée au placement des enfants soulève des questions sur les motivations réelles des décisions prises.

Des témoignages accablants émergent, mettant en lumière la complicité inquiétante de certains éducateurs de l’ASE, accusés d’être impliqués dans des abus graves, y compris des violences sexuelles. Pourquoi la justice, qui devrait protéger les victimes, semble-t-elle parfois fermer les yeux sur ces abus, condamnant davantage les parents démunis que les véritables responsables ?

Le rôle des médias dans cette affaire est également problématique. Le silence qui entoure ces sujets dans l’espace public est assourdissant. Pourquoi ces questions ne sont-elles pas davantage abordées ? Y a-t-il des pressions pour éviter de dévoiler l’ampleur de ces scandales ? Les accusations de pédocriminalité et de réseaux pédocriminels liés aux placements abusifs d’enfants font écho à des inquiétudes croissantes, alimentées par des affaires judiciaires et des témoignages de victimes.

Des associations comme SOS, fondée par Jean-Marc Borello, sont au cœur de ces controverses. Malgré leurs objectifs louables, elles sont accusées de ne pas parvenir à garantir la sécurité des enfants qui leur sont confiés. La complicité présumée entre ces associations et les instances judiciaires pose un problème éthique majeur, mettant en lumière une justice qui semble parfois privilégier la protection de certaines institutions au détriment des enfants et des familles.

Face à ces révélations, il est urgent de repenser le système de protection de l’enfance en France, de renforcer les contrôles, d’assurer une véritable transparence, et de garantir que la justice se mette réellement au service des plus vulnérables. La protection des enfants ne doit jamais être compromise par des intérêts financiers ou institutionnels, et il est du devoir de la société de briser le silence autour de ces horreurs cachées.

Source : Youtube

SCANDALE IGNOBLE : L’ÉTAT PROFOND FRANÇAIS VOLE LES ENFANTS DES DISSIDENTS DU SYSTÈME ?! | GPTV

Diffusée en direct le 12 août 2024 #enfance#ASE#dissidence Le phénomène des placements abusifs d’enfants par l’État, notamment au sein de l’ASE, et les départements en France est un sujet qui demeure largement méconnu du grand public. Pourtant, des reportages inquiétants, comme celui de France 3, révèlent que près de la moitié des enfants placés en institution ne devraient pas l’être, ces placements étant souvent effectués sur des bases illégales et arbitraires. Le cas d’Hélène Lombard, dont le fils a été retiré après qu’elle a alerté des États étrangers sur les dangers qu’elle perçoit dans l’Union Européenne, illustre de manière poignante cette réalité préoccupante.

Ces pratiques abusives laissent penser que l’État pourrait utiliser le placement d’enfants comme un outil de répression contre ceux qui osent défier le statu quo. Les témoignages et les enquêtes indépendantes mettent en lumière un système dans lequel les départements, soutenus par l’État, exercent un contrôle quasi total sur le destin des enfants, parfois en dépit du respect des droits fondamentaux des familles. Cette situation alarmante s’apparente de plus en plus à une chasse aux sorcières déguisée en protection de l’enfance.

Au-delà des abus institutionnels, un problème encore plus sombre se profile : la possibilité que certains enfants placés par les services de l’État soient en réalité livrés à des réseaux pédocriminels. Des investigations et des preuves recueillies par des militants comme Hélène Lombard suggèrent l’existence d’une organisation systémique derrière ces crimes. Les institutions, au lieu de protéger les enfants, pourraient être complices de leur exploitation, illustrant ainsi comment l’État, en lien avec des entités comme l’Union Européenne, pourrait trahir les citoyens qu’il est censé protéger.

On fait le point sur la situation en direct sur GPTV avec Mike Borowski.

Source : Youtube

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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