Thierry Breton : oui à Lazard & Rothschild, non à la liberté d’expression

À l’occasion de la énième menace du commissaire européiste Thierry Breton sur la liberté d’expression en Europe, il n’est pas inutile de rappeler un segment du fabuleux parcours de cet oligarque français, enfin, français, si l’on veut.

« Qui est le patron de Bercy entre 2005 et 2007 au moment où les banques d’affaires Lazard et Rothschild, Lazard c’est certain, en 2005, et Rothschild, d’après notre source dans la foulée, ont été négocier avec l’administration des finances des arrangements fiscaux pour leurs associés-gérants ? Qui est le ministre de Bercy ? Thierry Breton. OK, que fait Thierry Breton en mai 2007 à la fin de cette période ? Il quitte le gouvernement, il part aux États-Unis et il est recruté par qui ? La branche américaine de Rothschild and Co. Donc là, on a quand même un problème. On a contacté Thierry Breton qui est commissaire européen, au début le chargé de communication nous a un peu snobés, puis là ils ont rappelé, ils sont un peu inquiets. Parce qu’on leur dit mais attendez : le type il est ministre des Finances, il négocie des arrangements fiscaux pour des associés-gérants des banques d’affaires, et trois mois après il est recruté à coups de grosses sommes d’argent par la même banque d’affaires… »

Jean-Baptiste Rivoire, ex-journaliste d’investigation sur Canal+, dont pas mal de sujets chauds ont été barrés par le service juridique maison, a monté son propre service d’enquête avec le soutien de 5 000 donateurs.

Aujourd’hui, donc, ce même Thierry Breton tente à nouveau de brider la liberté d’expression sur X, le réseau social d’Elon Musk. La réaction du PDG :

« La Commission européenne fait preuve de condescendance à l’égard des citoyens des pays européens, en suggérant qu’ils sont incapables d’écouter une conversation et d’en tirer leurs propres conclusions » !

Depuis la réélection de Leyen, l’européiste corrompue jusqu’à l’os dont le rôle consiste à soumettre l’UE aux multinationales américaines et aux intérêts de l’OTAN, rien d’étonnant à ce que les instances dirigeantes des 27 aient besoin de liquider l’information horizontale non filtrée entre les citoyens européens, et les médias non alignés par la même occasion.
Pour que le crime politique soit parfait, il faut éliminer tous les témoins et lanceurs d’alerte potentiels.

Le bras de fer entre Trump et les « démocrates » européens

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Source : Égalité et Réconciliation

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