Pendant que le Gabynet joue au dur devant une foule de normies en extase, Macron se gratte la tonsure pour savoir qui va être le prochain larbin de Matignon. Car après la parenthèse enchantée de la quinzaine olympique sataniste, il faut que quelqu’un fasse le job, et ça va être du sale, les prochains temps.
Vu que tout est possible en Macronie, le régime qui s’est affranchi de toutes les règles de la constitution et de la morale, devenant une tyrannie archiminoritaire – car il y a des tyrannies acceptables –, on a eu l’option Lucie Castets, une Castex au féminin qui a vite saoulé, et en plus Hidalgo vient de la flinguer. Ou Léon Marchand, pourquoi pas ?, au point où on en est.
La France est au fond du trou, les principaux partis ont trahi (on ne parle même plus des syndicats, au fond des poubelles de l’histoire), c’est la social-traîtrise généralisée : LFI contient les mécontents de gauche, le RN ceux de droite, les moutons sont bien gardés pour la tonte macronienne.
La politique macronienne consiste simplement à mentir aux Français
sur le désastre économique et la défrancisation en cours
Le pays est politiquement à l’arrêt, ce qui implique une situation anarchique. Par exemple, les Parisiens et les touristes vont très vite ressentir l’absence des 40 000 FDO dans la capitale, qui va reprendre ses habitudes à base de migrants, SDF et délinquants juvéniles étrangers. La parenthèse enchantée avec laquelle toute la presse se pignole, c’est deux semaines de gagnées sur le chaos, pas plus.
Heureusement, il reste le variant « Flirt », la nouvelle pandémie beaucoup plus mortelle lancée par l’OMS, l’entrée en guerre officielle contre la Russie, et le très pratique terrorisme palestinien (ou russo-tchétchène). Le pouvoir peut compter en régie sur tous ces boutons pour maintenir le troupeau dans la peur, une peur désormais permanente, et d’ailleurs on ne sait même plus où on en est de l’état d’urgence.
Presse et gouvernement, la main dans la main, mentent comme des arracheurs de dents : il ne leur reste plus que cela, car la vérité est désormais trop dure à dire aux Français, surtout à ceux qui applaudissent Gabynet en haut de l’article. On veut nous faire croire que le chômage n’a jamais été aussi bas (à 7 % contre 10 % depuis des années), alors que les radiations atteignent des niveaux records chez France Travail (de sape).
En 20 ans, rien n’a changé, tout simplement parce que le chômage est la garantie d’un profit maximal et que l’insécurité est le moyen de tenir un peuple en laisse tout en baissant les effectifs policiers, magique ! Sauf pour protéger l’oligarchie, ça va de soi. C’est pourquoi un Serge Quadruppani peut dire, c’est sa vision ultragauchiste des choses, que la police est une armée d’occupation.
Quant à l’augmentation de la masse laborieuse depuis le régime Macron, prétendument de deux millions de travailleurs, elle s’explique de manière pas très romantique : ce sont surtout des autoentrepreneurs. Leur part dans les 4,3 millions d’indépendants grossit d’année en année pour atteindre 2,4 millions en 2024. Or, seule la moitié est considérée comme économiquement active, c’est-à-dire viable…
Les statuts proposés par l’ultralibéralisme attalien sont donc la voie de garage où on fout les indésirables ou les inutiles.
Conclusion : la Macronie, qui nous rebat les oreilles avec la réindustrialisation, ne crée en réalité que des emplois de merde. Le Maire s’est fait la tchave après ses fautes graves, Gabynet fait joujou, bonne chance au prochain Premier ministre pour reprendre le bâton du mensonge et de la répression. Le pire, c’est que pour l’instant, au lendemain de la sombre cérémonie de clôture, Macron hésite entre Bertrand et Cazeneuve ! On espère que c’est de l’intox élyséenne…
Symbolique : le cirque Macron en route pour Léon
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