Entretien rendu insupportable par la reprise d’éléments de langage doxologiques convenus, dont la vacuité et la fausseté ont été démontrées par des investigations menées par le journalisme indépendant, éloigné des canaux politiques officiels.
Les représailles de l’extrême droite sioniste sur les civils de Palestine occupée (bombardements, exécutions sommaires, profanation de cadavres, affamement collectif, déportations à l’étranger) ne s’expliquent pas par une volonté de sécuriser le territoire israélien, mais démontrent, de manière flagrante, un acharnement exterminationniste de Tsahal.
Fin juillet 2024, dans la prison de Sde Teiman, camp de torture dédié aux prisonniers palestiniens (hommes, femmes, enfants), situé dans le désert du Negev desert, une meute de 9 soldats israéliens a violé une Palestinienne. Celle-ci a perdu l’usage de ses jambes. Les organisations humanitaires juives s’en sont émues, si bien que le gang de barbares en uniforme a été déféré devant un tribunal militaire.
Une meute de militants de la Knesset et de civils sionistes s’est agglutinée devant la prison, hurlant des menaces et exigeant la libération immédiate des 9 « héros ». Seuls les organes de presse US, indien, et arabe, ont relayé ce « détail ».
Conclusion : Les précautions oratoires qui habillent ce type d’entretien ne servent ni les faits ni la vérité. Elles mettent à nu le langage du terrorisé face à l’arsenal répressif du terrorisme institutionnel. Aucun intérêt.
Moralité : Il n’y a pas de volonté sécuritaire chez ces gens-là, mais bien un dessein expansionniste, corrélé à un acharnement exterminationniste. Une prière pour la Palestine.
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