(Chanson vaguement inspirée par la « Salsa du Démon » chantée au début des années 80 par le « Grand Orchestre du Splendid » (1). Cette belle chanson, hymne au jeune Président que le monde entier nous envie, aurait dû être chantée lors de la cérémonie d’inauguration des JO.
Le premier couplet est chanté par « Jupiter » en personne ; le second par « mémé Trognon » son épouse ; le troisième et dernier par les deux à la fois. Les chœurs répètent « horreur, malheur »…)
Horreur, malheur.
Oui, je suis un salaud (horreur),
J’ai même salopé les JO.(horreur, malheur)
Oui, oui, oui, je suis une ordure (horreur),
Je pue la mort et la luxure.
Je hais ce peuple, j’ai tous les vices,
Et ses déboires me sont un délice,
Je le déteste, je le maudis ;
J’suis complètement pourri.
Moi j’aime les nègres et les invertis,
Et les Gaulois sont mes ennemis.
Je les emmerde, rien ne m’arrête,
Car aujourd’hui c’est la fête,
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du Macron,
Sinistre avorton,
Salsa du Macron,
Bien pire qu’un Démon.
Horreur, malheur,
Oui, c’est moi la mère Trognon (horreur),
La duègne de cet avorton (horreur, malheur).
Oui, oui, oui, je l’ai déniaisé (horreur),
Quand j’étais sa prof au lycée.
Comme amant, c’est pas un cadeau
Pour jouer la bête à deux dos.
D’aucuns disent qu’il préfère les hommes,
Et que c’est bien fait pour ma pomme.
J’ai pourchassé ce méchant gamin,
C’est un sale gosse, un bon à rien.
Il n’aime que les minorités,
Issues de la diversité.
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du Macron,
Sinistre avorton,
Salsa du Macron,
Bien pire qu’un Démon.
Oui, nous sommes au pouvoir (horreur) ;
On pousse le peuple au désespoir.
On encourage les minorités,
Les allogènes, les LGBT.
Oui, oui, oui, le Gaulois maudit (horreur),
Très bientôt on l’aura détruit.
Cette cérémonie décadente,
Et cette apologie des « tantes »
C’est un peu notre coup de grâce,
Un bras d’honneur, une grimace
À ce pays qu’on appelle France,
À son passé, à sa culture rance.
C’est notre fête aujourd’hui ;
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du Macron,
Sinistre avorton,
Salsa du Macron,
Bien pire qu’un Démon.
C’est la, c’est la, c’est la
Salsa du Macron,
Sinistre avorton,
Salsa du Macron,
Bien pire qu’un Démon.
Cédric de Valfrancisque
1)- Sur des paroles de Xavier Gérard Thibault et Jacques Olivier Delaporte
Source : Riposte Laïque
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