Une FindesTemps-bouffe

Une FindesTemps-bouffe

Une FindesTemps-bouffe

• Quelques remarques de  pompes & circonstances sur la phénoménale entrée en marche des JO de Paris comme spectaculaire mise en scène de la Fin des Temps. • Malheureusement, les auteurs & producteurs de cette belle fresque animée de 7 kilomètres de long témoignent d’une étonnante médiocrité qui ne les met pas à la hauteur de l’événement. • Sur sa fin de carrière, le diable en rate beaucoup. • Avec un texte de l’écrivain “guénonien” Pierre-Emile Blairon sur une perception d’un « spectacle de la fin des temps ».

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Nous parlons ici des JO, illustrés d’assez belle et classique façon par un texte de l’écrivain Pierre-Émile Blairon, pied-noir, proche du courant de la Tradition primordiale (Guénon et les autres), proche de Guillaume Faye, etc. On voit la perspective, qui le conduit à interpréter, avec exemple à l’appui, la cérémonie d’ouverture des Jeux comme

« …le spectacle de la fin des temps, et celui de la honte pour la France » […}

« Le clou (sic) de ce spectacle préparé pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 fut la chevauchée du cavalier de l'Apocalypse monté sur un cheval de fer (le fer, métal symbolique du dernier âge de notre cycle, le Kali-Yuga), galopant dans les eaux souillées du Styx, le fleuve des Enfers, la Seine en l'occurrence. »

C’est une vision que vous avez souvent rencontrée, ou perçue sans aucun doute, ces dernières 48 heures, – nous aussi, sans en avoir l’air, – et qui se justifie d’un point de vue symbolique qui est si important aujourd’hui. Cette ouverture des Jeux fut chaotique, sacrilège et sataniste, en même temps totalement dérisoire et vaine, – l’œuvre du diable (voyez Douguine, qui étouffe d’une rage vengeresse) ? Sans aucun doute, mais d’une autre façon que le tragique pur des Anciens, celle d’un diable qui perd les pédales, vous savez comme nous rappelons souvent en citant justement (Blairon appréciera) Guénon, un diable épouvantable mais également déguisé en  tragédie-bouffe :

« L’on dit même que le diable, quand il veut, est fort bon théologien ; il est vrai, pourtant, qu’il ne peut s’empêcher de laisser échapper toujours quelque [bêtise], qui est comme sa signature… »

… On peut s’avancer à considérer que, cette fois, la bêtise diabolique, s’exprimant sous la forme d’un satanisme grossier et gratuitement provocateur, montre une ampleur considérable. Le diable est de plus en plus nerveux, de moins en moins maître de lui, recrutant ses opérateurs un peu à tort et à travers, sans prendre les précautions nécessaires à une opération d’une telle envergure.

Ce qui nous pousse à dire cela, c’est le spectacle très médiatique que nous ont donnés le surlendemain du défilé les deux créateurs, au cours d’une interview sur BFM-TV. Il s’agit de Thomas Joly, principal accusé, et de sa communicante principale et directrice styliste Daphné Bürki. On donne ici d’un seul jet le texte rendant compte de l’interview (sur ‘Spoutnik-Français’)

« “J'ai voulu être très théâtral, on est dans une représentation artistique”, a relativisé ce 28 juillet Thomas Jolly, invité sur BFM TV avec Daphné Bürki, directrice stylisme de la cérémonie d'ouverture, tandis que le journaliste les interviewant commentait tout sourire : “Il y avait un condensé de dingueries dans cette cérémonie”.

» “Je crois que c'était assez clair, il y a Dionysos qui arrive sur cette table. Il est là pourquoi ? Parce qu'il est dieu de la fête, du vin, et père de Sequana, déesse reliée au fleuve”, a voulu expliquer le directeur artistique de la cérémonie d'ouverture des JO, alors que les réactions scandalisées se sont multipliées en France et dans le monde depuis 26 heures. “L'idée était plutôt de faire une grande fête païenne reliée aux dieux de l'Olympe… Olympe… l'Olympisme”, a-t-il poursuivi.

» Évoquant la scène à la conciergerie, avec une Marie-Antoinette décapitée et tenant sa tête dans ses bras avant une explosion de tissus rouges sang, Jolly a assuré qu'il n'y avait pas de “glorification de cet instrument de mort qu'était la guillotine”.

» Et celui-ci d’accuser ses critiques d’être haineux : “Si on utilise notre travail pour régénérer de la division, de la haine et qu'elle continue à progresser, alors que je crois qu'on a fait un peu de paix (…), alors ce serait très dommage”. »

» “Vous ne trouverez jamais chez moi une quelconque volonté de moquerie, de dénigrer qui que ce soit. J'ai voulu faire une cérémonie qui répare, qui réconcilie. Aussi qui réaffirme les valeurs de notre République ”, a encore soutenu Thomas Jolly. » 

Les réactions des lecteurs-commentateurs diverses, sont souvent (très-souvent) moqueuses et pleines de dérision, c’est-à-dire largement négatives. On peut suivre aussi le compte mystérieux de “Sardine Rousseau (parodie)”, dont on ignore (pour notre compte, dans tous les cas) s’il s’agit de la vraie (Sandrine Rousseau) ou d’un double ; et elle démarre, elle qui fut bruyamment admirative dans une première plume pour la très-longue cérémonie de 7 kilomètres de long, par une condamnation brutale :

« Rétropédalage digne des plus grands politiciens »

Dans tous les cas, ce jugement bref et sec, qu’il vienne ou non de la personne ou de son double, résume bien le sentiment qu’on éprouve à entendre les deux employés principaux du diable pris la main dans le sac.

Ils retrouvent aussitôt le chemin du bonheur démocratique, des droits-de-tous et de l’égalité-équitable-pour-chacun par rapport à tout le monde, d’une belle petite pensée bien repassée et pliée, avec en bandouillère “les valeurs de la République”, – mais la sympa, celle qui n’active pas trop la guillotine pour raccourcir les souveraines. Plus rien, vraiment plus rien de spécifique à leur reprocher tant plus rien ne vaut ; par ailleurs découragés devant ce tombereau d’arguments grossiers et sans consistance qu’ils déversent devant le journaliste habitué à ramasser les ordures (c’est son métier). Certains sont absolument croquilognesque et abracadabrantesque, comme celui que déroule Bürki pour en rajouter sur le choix de Marie-Antoinette, la tête sous le bras et inondée de rouge-sang même pas devenu bleu pour l’occasion (ils ont raté un beau coup de couleur) :

« … On a suivi le cours du fleuve et le sens de l’histoire… On passe devant la Conciergerie… On se dit qu’on va évoquer la Révolution Française, et puis voilà, tout d’un coup cela devient un spectacle, avec du sourire aussi, et puis l’air de rien Marie-Antoinette est devenue une icône-pop… Donc euh, elle fait partie de la pop-culture aussi… »

Bien, Marie-Antoinette “idole-pop”, et même sans la tête, passez muscade… On pense alors qu’il est inutile d’essayer de s’expliquer, qu’il n’y a qu’à laisser faire le journaliste BFM-TV de service, toujours courtois avec les œuvres gouvernementales et macaronistes. On comprend alors qu’il y a, dans cette étrange époque, des planètes différentes où se développent et se débattent des espèces humaines qui ne peuvent plus communiquer entre elles, et qui n’y tiennent pas d’ailleurs, et que le diable lui-même, – nous insistons et nous nous répétons, – n’a pas très bien compris l’enjeu et prend à son compte de bien piètres recrues.

La plaidoirie pour le paganisme, avec Dionysos en vedette américaine de couleur bleue, est également juteuse et plaira particulièrement aux spécialistes de la chose qui débattent effectivement d’une critique du monothéisme, – mais comme d’un vrai sujet et non pas comme des charlatans des salons parisiens qui, avec la plus grande précision, ignorent tout des mots qu’ils prononcent..

Macron, Grand’Maître des Pieds-Nickelés

Cela nous conduit à observer que cette pseudo-polémique, qu’on penserait pouvoir classer sous la rubrique ‘Much Ado About Notrhing’, est devenue malgré elle et en dépit de sa bassesse d’inspiration et de sa pauvreté de non-être, l’occasion d’un véritable débat sur les perspectives de la GrandeCrise. Ainsi, le texte de Blairon sur « le spectacke de la fin des temps » a toute sa raison d’être. Ce qui importe, ce ne sont pas les acteurs qui sont en général de pauvres hères, des membres actifs et épuisés des élites-Zombies (qui ne sont pas celles que classifie Emmanuel Todd dans sa ‘Défaite de l’Occident’, mais qui serait plutôt équivalents à ce qu’il nommerait les “élites-zéro”), mais bien la force symbolique de l’événement tel qu’il fut perçu.

La perception, – notre perception, tout est là. Nous l’avons perçu comme un événement d’apocalypse dans une époque écrasée par le système de la communication, blessée, pantelante et agonisante. Dès lors, il s’agit réellement d’un événement d’apocalypse et le commentaire de Blairon est parfaitement justifié. On retrouve les schémas cycliques popularisés par Guénon, mais également l’adhésion à diverses perceptions des événements terrestres dont on peut discuter de l’orientation. La description de l’expérience Covid comme une préparation à l’asservissement de l’espèce qui ne nous convainc pas en tant qu’opération longuement préparée et hautement maîtrisée n’est pas assurée à 100% mais fait partie de la catégorie « Si non è vero, è ben trovato ». Les perspectives de dictature sont du même ordre de l’incertitude pour notre point de vue, dans la mesure où notre situation dépend tellement de nos connexions avec la situation russe (Ukraine) et la situation américaine (“bordel D.C.”) principalement, là aussi deux sous-crises apocalyptiques du ‘Kali-Yaga’  en marche, – avec la remarque souvent faite par nous de la similitude géométrique des destins catastrophique français et américanistes, bouclant l’ellipse de l’importance capitale de l’intervention française initiale permettant aux ‘insurgents’ américains de l’emporter.

Tout cela n’est que l’écume de la prospective quant aux événements eux-mêmes tels qu’ils sont décrits. Il reste que les JO 2024 ont éveillé en nous, d’une façon extraordinairement précise et prémonitoire, la venue de l’issue finale des temps catastrophiques. Ils ont largement renforcé le sentiment qui ne cesse de s’affirmer que cette constante surenchère de la surpuissance du Système, outil du “déchaînement de la Matière”, nourrit implacablement son irrésistible besoin  d’autodestruction.

La Fin des Temps est immensément tragique, et en même temps exemplaire des maladresses humaines auxquelles le diable confie bien trop aisément et imprudemment la mission suprême de l’anéantissement. Quant à Macron, il joue là-dessus le rôle du Grand’Maître des Pieds-Nickelés, – bouffe mêlé au tragique, équivalence des capacités aux niveaux respectifs, règne de la médiocrité humaine dans ses plus basses eaux. “Glou glou glou” tout de même…

Le texte de Blairon est publié par ‘Euro-Synergies.hautefiort.com’.

dedefensa.org

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Le spectacle  de la fin des temps

L'Âge de fer

Comme à l'accoutumée, le Prince de ce monde, Satan, dont beaucoup ne perçoivent pas la réalité, et ses suppôts (qui, eux, s'en réclament ouvertement), ne cachent rien de leurs intentions ténébreuses, mais les humains, confortablement installés dans leur déni, n'en veulent rien savoir.

Le clou (sic) de ce spectacle préparé pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 fut la chevauchée du cavalier de l'Apocalypse monté sur un cheval de fer (le fer, métal symbolique du dernier âge de notre cycle, le Kali-Yuga), galopant dans les eaux souillées du Styx, le fleuve des Enfers, la Seine en l'occurrence.

Dans le Nouveau testament, ce cavalier est accompagné de trois de ses semblables qui ont pour mission de représenter, en guise d'avertissement au monde, le début de la fin des temps, "la bête de l'événement", dont parlait Macron sur le ton du secret avec son petit sourire narquois.

« Et je regardai, et je vis paraître un cheval de couleur pâle ; et celui qui était monté dessus se nommait la Mort, et l’Enfer le suivait ; et le pouvoir leur fut donné sur la quatrième partie de la terre, pour faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. » (Apocalypse 6, 1-8)

Quelques épisodes de ce spectacle abject

La chanteuse (?) Gna gna Kacamura a pris 700.000 euros pour transformer la garde républicaine en danseuses transgenres.

Céline Dion, qui était à l'article de la mort, s'est réveillée brusquement sur son lit d'agonie quand elle a entendu le chiffre de 2 millions d'euros pour pousser une chansonnette ; du coup, elle a troqué ce lit de misère pour celui, plus accueillant, du Royal-Monceau, un palace 5 étoiles parisien. Cette brusque guérison tient du miracle !

La scène de la Cène a travesti, c'est le cas de le dire, en ignominie malsaine et vulgaire un symbole de la religion chrétienne : c'est un blasphème.

Lors du lever de drapeau et de l’hymne des Jeux olympiques, on nous montre une représentation à peine adoucie – une tête de bœuf – du dieu carthaginois Moloch-Baal considéré comme un démon dans la Bible, sans doute à cause des sacrifices qu’il réclamait.

Les barbares de la pseudo-Révolution "française" (en réalité, quelques racailles avinées manipulées par les bourgeois d’alors : exactement comme aujourd’hui) ont à nouveau triomphé en décapitant une fois de plus la reine Marie-Antoinette ; ce faisant, c'est la France à qui ils ont coupé la tête sous les yeux de milliards de téléspectateurs faisant comprendre au monde entier que les Français qui approuvaient ces agissements n'avaient rien à envier à leurs homologues islamistes.

Tout au long de ces J.O., le Système mondialo-sataniste, représenté en France par le gouvernement et la majorité des politiciens en place, s'est acharné jusque dans les moindres détails à humilier chaque parcelle de notre sol, chaque pierre de notre patrimoine ; mais aussi à couvrir de honte chaque Français qui a réussi à rester digne, lucide et fier de ses racines immémoriales et de son pays ; ces dissidents ont eu beaucoup de courage en s'ingéniant, au prix de mille difficultés, à passer à travers l'énorme machine de propagande mise en place depuis des dizaines d'années mais qui a révélé toute sa nocivité et sa puissance avec l'apparition des contraintes pseudo-sanitaires en 2020.

Prochaine étape : la dictature

Paris, à l'occasion de ces "Jeux", a été quadrillé, contrôlé et barricadé par des milliers de barrières et de forces de police venues du monde entier qui nous donnent un petit aperçu du destin tragique de la France et des Français dans les prochaines années. Ce fut, encore une fois, un test de résistance des populations à la soumission.

Cette édition des J.O. à Paris a révélé à quel point la France était la cible de cette secte pédo-sataniste et à quel point notre pays, autrefois le phare du monde – et pour cette raison même – avait été rendu vulnérable par ses dirigeants eux-mêmes qui ont tout fait pour le détruire (1).

Il est vraisemblable que la prochaine étape consistera à mettre en place le régime totalitaire mondial dont rêvent les Schwab, Soros, Gates et autres ploutocrates et transhumanistes, pour réduire les populations à l’état d’esclaves ou de robots (ou les réduire tout court), avec l'aide de leurs laquais locaux partout dans le monde, surtout en Europe, (von der La Hyène) et surtout en France (Macron), la France étant devenu le talon d'Achille, mais aussi la première et la dernière citadelle à défendre, autour de laquelle doivent se regrouper les résistants, en tête Français et Européens, ceux qui ont conservé un statut d'humain digne de ce nom, au milieu de cette marée de zombies hédonistes qui ne rêvent que de s'abîmer dans des fêtes sordides et des jeux malsains.

Résistance !

Seul, un petit groupe réussira à se tenir debout au milieu des ruines, comme l'ont fait en d'autres temps, les Spartiates des Thermopyles, les Francs, les Burgondes et les Aquitains de Charles Martel à la bataille de Poitiers, les légionnaires de Camerone ou les paras de Dien-Bien-Phu; juste pour l'honneur ? Non, pour préparer le nouveau monde quand celui-ci, dans lequel nous survivons, rendra son dernier soupir.

Pierre-Emile Blairon

Note

 (1) Voir mon article : La France, laboratoire de la secte mondialiste du 3 octobre 2023.

Source: Lire l'article complet de Dedefensa.org

À propos de l'auteur Dedefensa.org

« La crisologie de notre temps » • Nous estimons que la situation de la politique générale et des relations internationales, autant que celle des psychologies et des esprits, est devenue entièrement crisique. • La “crise” est aujourd’hui substance et essence même du monde, et c’est elle qui doit constituer l’objet de notre attention constante, de notre analyse et de notre intuition. • Dans l’esprit de la chose, elle doit figurer avec le nom du site, comme devise pour donner tout son sens à ce nom.

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