24 juil. 2024 POURQUOI Mgr Jorge Mario Bergolio N’EST PAS LE PAPE EN 4 POINTS :
POINT 1 – CONSTITUTION APOSTOLIQUE « UNIVERSI DOMINICI GREGIS » (REDACTION par SAINT JEAN-PAUL II ET CARDINAL RATZINGER) 77. Je déclare que les dispositions concernant tout ce qui précède l’élection du Pontife Romain et son déroulement doivent être observées de manière intégrale, même si la vacance du Siège apostolique devait se produire par renonciation du Souverain Pontife, selon la norme du canon 332, § 2 du C.I.C. et du canon 44, § 2 du C.C.E.O.
POINT 2 – CANON 332.2 DU CODE DE DROIT CANONIQUE (LA LOI DE L’EGLISE) : NÉCESSITÉ DE RENONCER AU « MUNUS » §2. Si contingat, ut Romanus Pontifex muneri suo renuntiet, ad validitatem requiritur, ut renuntiatio libere fiat et rite manifestetur, non vero, ut a quopiam acceptetur.
POINT 3 – DECLARATIO (SOIT-DISANT « ABDICATION » DE BENOÎT XVI : CE QU’A DÉCLARÉ EFFECTIVEMENT LE PAPE BENOÎT) « administrandum agnoscere debeam. Quapropter bene conscius ponderis huius actus plena libertate declaro me ministerio Episcopi Romae, Successoris Sancti Petri, mihi per manus Cardinalium die 19 aprilis MMV commisso renuntiare ita ut a die 28 februarii »
POINT 4 – CONSTITUTION UNIVERSI DOMINICI GREGIS 76. Si l’élection était faite d’une manière différente de ce qui est prescrit dans la présente Constitution ou que les conditions fixées ici n’aient pas été observées, l’élection est par le fait même nulle et non avenue, sans qu’il y ait besoin d’aucune déclaration à ce sujet, et, donc, elle ne donne aucun droit à la personne élue.
En Vérité, le Pape Benoît n’a pas renoncé au « Munus » : à l’investiture divine, au fait « d’être » le Pape, mais seulement au « Ministerium », au pouvoir de « faire » le pape. Conséquence : le dernier pape canoniquement élu fut Benoît XVI, et le siège de Pierre est aujourd’hui usurpé, par l’élection au terme d’un conclave illégalement convoqué (véritable coup d’état) d’un anti-pape : Jorge Mario Bergoglio.
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