Il y a une constante chez les gauchistes qu’on ne retrouve pas dans leur capacité intellectuelle, mais bien dans leur violence envers tous ceux qui n’adhèrent pas à leurs concepts sociétaux. À cette heure où les troubles sociaux ne sont pas encore la monnaie courante quotidienne, il est fort à parier que dans quelques temps où le l’ordre public et la bienséance civique ne seront plus, les belliqueux gauchistes vont se lâcher carrément. Localement, on observe bien cette tendance haineuse non dissimulée dans les bastions où ils sévissent sournoisement. Douarnenez n’a pas l’exclusivité de la virulence d’une certaine gauche comminatoire rongée par sa jalousie de bélître. L’année dernière, nous avions souligné les débordements et autres facéties de cette tranche de la population qui hante cette cité au passé politique peu glorieux.
Atteinte du syndrome d’Oblomov, cette gauche qui excelle uniquement dans l’injure, la menace et parfois l’exaction, se révèle de plus en plus hardie en actes de malveillance et de dégradation aussi sauvages qu’inutiles. Toutefois, nous le constatons au fil des mois, le ton monte et le contact physique abrupt se fait de plus en plus fréquemment. On ne peut que déplorer avec tous les élus frappés par ces comportements inciviques que les agressions directes et corporelles deviennent de plus en plus itératifs et violents.
Le sens démocratique n’est pas l’apanage d’une certaine gauche au contour bolchevique décomplexé. Pour preuve sur notre territoire, l’affaire Pierre Couëdelo à Rédéné dans le sud Finistère que la presse locale met en exergue. Dans le panel de l’animosité envers un adversaire politique tout y est sauf l’attaque physique. Pour combien de temps encore ? Tôt ou tard, le bras de plomb haineux fracassera cette ancien édile ayant eu par ailleurs des responsabilités politiques à l’antipode de la gauche héritière de 1792. Il est inacceptable qu’une personne ayant des convictions quelconques se retrouve menacée, attaquée dans son bien et se retrouve sous l’emprise de la peur d’être molestée. La menace verbale se concrétise souvent dans un moment opportun pour l’agresseur.
L’article 19 des droits de l’Homme garantit la libre expression, la libre pensée et le pouvoir de les exprimer et les diffuser sans en être inquiété par quiconque et certainement pas par des scélérats de petite envergue. Par ailleurs, il faut bien être conscient que cette gauche hargneuse d’où dégouline un fiel ignoble n’a cure des hautes valeurs humaines et des vertus sociétales. Seuls leurs dogmes comptent dans leur esprit étriqué de malandrins.
Par ce simple petit billet d’humeur, je soutiens tous les élus, quel que soit leurs idées politiques et autres rêveries sociétales, qui traversent ces turbulences dangereuses. Ce que je déplore le plus dans ces affaires d’agression politique, c’est que la presse donne peu d’écho à celles qui concernent les gens de droite et qu’elle fait tout un pataquès médiatique lorsque ce phénomène scandaleux touche un élu de gauche. Par ce comportement partisan de diffusion de l’information, c’est aussi quelque part le mépris d’une certaine frange de la société qui a choisi une personne extérieure à la nomenklatura pour les représenter. La démocratie doit impérativement reprendre ses fondements et les médias se remémorer les principes des accords de Munich les concernant.
Si d’aventure M. Pierre Couëdelo lisait cet article, je sais qu’il sera déçu que je ne m’étende guère sur son affaire personnelle. Cependant, pour me justifier, celle-ci ressemble hélas ! à des milliers d’autres similaires. Même gredin, même mode opératoire, même esprit exécrable qui ne voit des pâquerettes que le dessous des boutons floraux.
Et si l’on va au bout des choses, comment ce fait-il que ce gouvernement si prompt à dissoudre des associations d’expression traditionnelle et/ou nationale aux multiples segments, ferme les yeux sur tant d’actes antirépublicains, sur tant de démonstrations antidémocratiques, sur tant de vilenies ignominieuses ? On l’a bien compris, toutes ces petites frappes aussi idiotes qu’utiles (1) servent le système . Tous ces gestes atrabilaires émanant de cette gauche aux idées obsolètes sont bons à prendre pour que le pouvoir de l’état profond perdure dans notre pays.
DdG
1)- Elles n’ont toujours pas évolué depuis Tournadre et de ce fait, elles n’ont toujours pas compris depuis lors la manipulation des puissants. Plus récemment, elles se sont couchées comme des cagoles en chaleur pour faire réélire Élisabeth Borne, Miss 49,3, la faucheuse de social, l’estourbisseuse de retraite.
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme