C’est vrai pour le cinéma français qui a perdu ses fondamentaux populaires, son art étant devenu bourgeois donc vidé de toute substance, mort. Chez les anglo-saxons, il demeure cette impertinence, aux États-Unis qui n’a pas d’histoire mais également en Grande Bretagne qui a une très grande histoire : je n’ai jamais vu le cinéma français capable de montrer cet ensauvagement, ce côté populaire hormis les deux trois films de Dupontel et de Poolevorde, donc de produire des films, à titre d’exemple, comme Petits Meurtres entre amis, Arnaques, crimes et botaniques, Snatch, mais également No country for old men , Une Histoire vraie, .. ou encore La Passion du Christ, Apocalypto, Zodiac, d’ « autocritque » politique comme Fight club, Cogan – Killing Them Softly, Joker, La Mule, Animal Kingdom, Comancheria…
Je n’ai rien vu de tel en France hormis Plus belle la vie, à vomir, à en crever de dégoût par tant de médiocrité.
Même sur Netflix, les séries comme Dahmer, Ozark, Breaking Bad, le film El Camino et le magnifique Better Call Saul, détruisant définitivement le mythe du self-made man, sont diffusés envers et contre toute propagande du politiquement correct.
En France, j’entends depuis 30 ans « la ligne Maginot, le responsable mais pas coupable, le barrage à la haine, la lutte contre l’antisémitisme » bref l’injonction du « Pasd’vague », le « Pasd’Amalgame » pour la gamelle des mêmes zélus médiocres afin de manipuler les castors qui veautent pour l’immobilisme, la moyenne d’âge des veautant étant de 50 ans : ce pays est psychiquement mort, crime ultime des pervers paranoïaques qui dominent.
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