L’on dit : << Le peuple ne se trompe jamais >>. Quelle ironie !
<< Quand le peuple sera intelligent, alors seulement le peuple sera souverain. >> Victor Hugo
Les mercenaires politico-judiciaires antipatriotes au service de la caste politique des imposteurs ont été et sont encore aujourd’hui le corps administratif central de la corruption de l’État envers le peuple ignorant les répercussions des lois légiférées et exécutées par cette alliance prédatrice des intérêts nationaux. Ces acteurs du mercenariat institutionnalisé se sont toujours organisés de manière mafieuse afin de prendre au piège l’immense majorité de la société(1).
En effet, quand surgit une force politique patriote opposée à cette alliance de malfaiteurs organisés contre les intérêts suprêmes de la nation, ces mercenaires politico-judiciaires recourent au dénigrement, à la manipulation et à la diffamation, comme ce fut lors des dernières élections législatives en France :
L’ancien procureur général de la Cour de Cassation, désormais retraité, dit avoir « froid dans le dos » face aux attaques contre l’État de droit et estime à ce titre « la plus grande menace qu’on ait aujourd’hui dans notre pays, c’est la menace de l’extrême droite ».
À une semaine du premier tour des élections législatives, François Molins qualifie la situation politique de « dangereuse » et « compliquée ». L’ancien magistrat développe ses impressions à propos de la période actuelle dans un entretien auprès du média Arrêt sur images publié ce lundi 24 juin.
Il sort de son silence pour confier avoir « froid dans le dos » en entendant « monter une petite musique » qui « remet de plus en plus en cause des choses qui sont inhérentes à l’État de droit », notamment du côté du gouvernement et du Rassemblement national.
« À titre personnel, je trouve que la plus grande menace qu’on ait aujourd’hui dans notre pays, c’est la menace de l’extrême droite », a ainsi estimé l’ancien procureur général de la Cour de cassation, juridiction la plus élevée de l’ordre judiciaire.
(…).
LÉGISLATIVES: FRANÇOIS MOLINS ESTIME QUE « LA PLUS GRANDE MENACE » EST CELLE « DE L’EXTRÊME DROITE »
Comme d’autres multiples cas similaires de saccages de fonds publics, l’alliance évoquée antérieurement se dotera par des lois inhérentes à leur privilèges de caste des moyens pécuniers frauduleux. Voici pour celui qui s’oppose à << l’extrême droite >> (sic) du mouvement patriote Rassemblement National(2) :
Emploi fictif
À la suite d’une action des syndicats de magistrats, le 18 janvier 2013 le Conseil d’État annule le décret du 20 octobre 2009 qui nomme François Molins avocat général près la Cour de cassation. En effet, à son arrivée au poste de directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, il s’est fait en parallèle nommer pour ordre avocat général à la cour de Cassation, ce qui lui offre un complément de salaire et des avantages pour la retraite. Le Conseil d’État considère qu’il s’agit d’un emploi fictif. C’est en 2017 que François Molins rembourse la somme de 15 720,83 euros indûment perçue35,36.
François Molins
En ce temps de la Vème République des néo-imposteurs, des antipatriotes et des opportunistes socialo-écolo-islamo-communistes il faut rappeler en exposant brièvement ce que fut la IVème République qui ne se différencie en tant que phénomène de corruption et d’imposture institutionnalisées que celle en vigueur aujourd’hui de 1958 à 2024 :
**. Résumé :
La république des mythomanes. Tombée dans un trou de mémoire, la IVe République n`est souvent connue que par sa crise finale qui déboucha sur l`avènement de la Ve. Ses débuts, dans le sillage de la Libération, constituent pourtant l`une des périodes les plus folles de l`histoire contemporaine. Comme le Directoire après la Terreur, elle vit s`édifier d`immenses fortunes sur le crime et la corruption. Des carrières fulgurantes se bâtir sur l`imposture avant de s`effondrer dans la honte. Et même d`anciens collaborateurs parvenir au sommet de la hiérarchie judiciaire… Grâce aux procès de l`épuration ! À tous les étages de la société, le travestissement est alors l`artifice le plus usité pour s`adapter aux temps nouveaux. De l`escroquerie consistant à s`inventer un passé de résistant jusqu`au cas – unique dans l`histoire parlementaire – d`un complice des nazis (Jacques Tacnet) parvenant à se faire élire député sous une fausse identité (Jacques Ducreux), en passant par l`invention de faux complots (le Plan bleu) et la dissimulation d`authentiques séditions (comme celle dite de la Pentecôte), rarement communauté ne se sera autant menti à elle-même ni chaque citoyen à son voisin avec une telle audace… Et pour tout dire, pareille impunité ! C`est cette histoire jamais racontée, reconstituée à partir d`archives oubliées ou non encore consultées (en particulier celles de Jacques Foccart) que retrace La République des imposteurs. À l`heure où la défiance revient en force dans le débat public et où l`accusation de mensonge est celle que les Français lancent le plus volontiers au visage des » princes qui [les] gouvernent » (Michel Debré), ressusciter cette période s`imposait. Au-delà de contextes institutionnels, politiques, sociologiques, foncièrement différents, elle nous dit beaucoup de ce que deviennent les hommes de l`ombre dans les moments de transition. Lesquels sont aussi nécessairement des temps de confusion.
Extrait du livre intitulé La République des imposteurs: Chronique indiscrète de la France d’après-guerre 1944-1954
À partir de ces faits, le Peuple français, comme tant d’autres, sans mémoire historique continue à être piégé par le manque d’intelligence en raison de ce déficit de mémoire historique que seuls ceux qui l’ont acquise pourront devenir souverains comme le rappelle la citation de Victor Hugo.
En ce sens, le contexte de décadence politico-judiciaire, socioéconomique, financier de l’État(3) et celui de la classe moyenne, se verront amplement déstabilisés par la spirale de ces phénomènes induits par l’incohérence politique de la majorité de l’électorat français ayant voté au 2ème tour le 7 juillet 2024(4). Le sondage cité ici-bas confirme cette incohérence :
À l’extrême droite, Marine Le Pen, dont le parti Rassemblement national (RN) a été en partie bloqué par le << front républicain >> constitué au deuxième tour par la gauche et les centristes, a eu beau jeu de dénoncer un << bourbier >>.
<< Un certain nombre de manœuvres, notamment de désistements massifs, nous ont privés de la majorité absolue. Ce n’est que partie remise >>, s’est-elle justifiée, avant d’être réélue présidente du groupe RN à l’Assemblée.
Selon un sondage mercredi, sept Français sur dix ne sont pas satisfaits de la nouvelle composition de l’Assemblée nationale(5).
Macron sort du silence et appelle les « forces républicaines » à une large coalition
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2087163/france-macron-coalition-forces-republicaines
Pourtant, l’opinion biaisée exposée dans l’article suivant laisse croire que selon l’intérêt idéologique contrôlant le Pouvoir de l’État, il ne faut pas tenir compte des intérêts nationaux. C’est-à-dire, renier ces intérêts nationaux pour embrasser les privilèges de la caste politique qui perdurent depuis la Révolution de 1830(6) :
François de Closets : «Quand les peuples se trompent»
« Si le peuple se trompe, faut-il se tromper avec lui pour mieux gouverner ? »
https://www.lopinion.fr/politique/francois-de-closets-quand-les-peuples-se-trompent
Or, quand le peuple se trompe par manque de connaissance aux affaires publiques, par le désintérêt des causses financières et par l’indifférence aux méfaits de la corruption institutionnalisée et le saccage organisé au sein de l’État, il en résultera ce qui suit :
Pour que toute nation/état/société/communauté conserve la pleine souveraineté de son indépendance dans le traitement de ses affaires, le contrôle absolu des moyens qu’elle emploie pour échanger les biens et les services doit résider au sein des organes qui représentent le peuple, et ne doit jamais être délégué à des individus ou à des groupes d’intérêts privés. Tout au long de l’histoire connue, les périodes où l’état a exercé le contrôle de l’émission monétaire ont toujours été synonymes d’ère de prospérité, de paix, d’enrichissement culturel, de plein emploi et d’inflation zéro. Par contre, lorsque les banquiers privés usurpent le contrôle de la création monétaire, les résultats inévitables sont des cycles récurrents de pauvreté et de prospérité, du chômage, une inflation endémique ainsi qu’un processus gigantesque croissant de transfert des richesses et du pouvoir entre politiciens des mains ayant le contrôle de ce système monétaire d’exploitation.
Histoire des Banques Centrales et de l’asservissement de l’humanité
L’auteur nous raconte des anecdotes stupéfiantes sur la façon dont la classe politique s’est soumise au dogme de la monnaie unique. Il dénonce l’enchevêtrement des intérêts de la banque et des politiques, et lève au passage le voile sur un scandale d’État : l’affaire France Trésor.
L’EURO, LES BANQUIERS ET LA MONDIALISATION : L’ARNAQUE DU SIÈCLE(7)
Dans ce contexte d’instabilité politique, de décadence socioéconomique et culturelle prérévolutionnaire en France, est-il difficile aujourd’hui d’imaginer de ne pas tenir compte du poids politique dans l’opinion publique des récents résultats électoraux du Rassemblement National (RN-LR-patriotes) en tant que 1ère force politique française dans l’UE et 3ème à l’Assemblée Nationale.
Jean-Louis Pérez-Martel
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*. Démocratie directe
1. La gauche sous pression en France, Macron incité à attendre en septembre
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2087576/gauche-france-macron-republicain-gouvernement
2. Le Rassemblement National (RN–LR) avec 33 parlementaires a remporté les élections européennes en France. De plus, ayant obtenu 33 % des votes au 1er tour lors des élections législatives le 30 juin dernier, il devient une force politique indispensable pour la gouvernabilité du pays ainsi que stopper sa décadence nationale :
Édouard Philippe dîne avec Marine Le Pen, rien d’anormal ?
https://www.youtube.com/watch?v=my8TDX5Y6L8
3. La Banque Centrale Européenne est l’une des plus grandes arnaques monétaires de l’histoire :
La Banque centrale européenne (BCE) est responsable de la politique monétaire de la zone euro depuis le 1er janvier 1999. Indépendante des États membres, la BCE régule la quantité de monnaie en circulation et fixe ses taux directeurs. Elle est aujourd’hui présidée par la Française Christine Lagarde.
(…).
En effet, cet expansionnisme monétaire colonisateur allemand conçu avec l’objectif d’appliquer la << comptabilité créative >> à partir de son système d’émission d’euros
La BCE a un rôle fondamental dans l’économie européenne, en cela qu’elle est responsable de la politique monétaire de la zone euro. Sa mission, définie par les traités européens, est de maintenir la stabilité des prix, à travers la définition des taux d’intérêt, dans le but de maîtriser l’inflation et de préserver la valeur de la monnaie. Elle assure également l’émission de la monnaie unique et un rôle de supervision bancaire depuis 2014.
Veuillez lire la suite afin de saisir le rôle de cette banque << privée >> sous contrôle allemand et son expansionnisme monétaire depuis sa création en 1998 :
https://www.touteleurope.eu/institutions/la-banque-centrale-europeenne-bce/
Comme l’on peut le constater en date de décembre 2022 :
<< La dette publique de la plupart des États est libellée en euro à plus de 90 %. La dette des 27 pays de l’Union européenne est retombée, au 31 décembre 2022, à plus de 13 000 G€ (milliards d’euros), soit 84 % de leur PIB total. Pour les vingt pays de la zone euro, la dette publique représente 91,6 % du PIB. >>
Dans l’information exhaustive présentée ici-bas, l’on constate la dette publique moyenne des pays européens avant de tomber définitivement en 2014 dans cette arnaque monétaire :
Crise de la dette dans la zone euro
https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_de_la_dette_dans_la_zone_euro
4. En France, bras de fer à gauche et dissensions dans le camp présidentiel
5. France : 74% des Français considèrent que le pays ‘’n’est pas gouvernable’’
6. La révolution de Juillet est la deuxième révolution française, après celle de 1789. Elle porte sur le trône un nouveau roi, Louis-Philippe Ier, à la tête d’un nouveau régime, la monarchie de Juillet, qui succède à la Seconde Restauration. Cette révolution se déroule sur trois journées, les 27, 28 et , dites « Trois Glorieuses ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_Glorieuses
7. L’auteur qui dénonce cette << arnaque du siècle >>, Nicolas Dupont-Aignan, aux dernières élections législatives du 7 juillet, n’a même pas été élu(8). Le masochisme politique de la majorité de l’électorat français ne laisse pas de doute quand les intérêts nationaux sont bafoués par cette majorité antipatriote depuis la IVème République enchainant cette autre Vème post-de Gaulle :
<< Il a de la suite dans les idées, Dupont-Aignan. Lui qui n’avait même pas 10 ans à la mort du Général de Gaulle, fait quasiment figure de gaulliste historique. Avec constance, depuis son entrée en politique, il met en avant sa conception qui, avec une cohérence indéniable, articule République, Nation, primauté du politique, interventionnisme… Les autres aussi, il est vrai, ont de la suite dans les idées. Depuis des années, ils ne veulent que l’Europe et l’euro. Parfois ils la voudraient plus sociale, mais se contentent de l’Europe libérale. L’euro accumule les échecs (voir le dernier ouvrage de Jacques Sapir, Faut-il sortir de l’euro ?, pour qui en douterait), il n’empêche : l’euro demeure, à leurs yeux, l’horizon indépassable de l’économie européenne. Il est vrai, il y en a d’autres qui, comme Dupont-Aignan, sont contre l’Europe libérale et l’euro : voyez du côté de Marine Le Pen ; sauf qu’il y a quelques années à peine, la conception économique du FN était tout autre qu’aujourd’hui, plutôt contre l’État et favorable au néolibéralisme. Si on recherche une certaine constance, comme gage de cohérence et de convictions profondes, mieux vaut se tourner vers Dupont-Aignan pour s’attaquer à la doxa de l’européisme libéral.
Dans une telle perspective, cet essai caustique, mais enthousiaste et enthousiasmant, mérite d’être lu. Certes, comme tout essai d’homme politique, l’auteur sacrifie à une certaine rhétorique du genre. Il en résulte, d’ailleurs, quelques formules bien percutantes : « l’Europe est grande et l’euro est son prophète » (p. 28) ; « Ce n’est pas la France qui doit sortir de l’euro (…), c’est l’euro qui doit sortir de la France » (p. 119). Mais la rhétorique laisse, toutefois, une place de premier plan à l’analyse. En l’occurrence, l’auteur montre avec pertinence comment depuis une trentaine d’années, l’État national s’est, lui-même, progressivement dessaisi de son pouvoir régalien en matière monétaire. Le premier temps de ce processus qui a conduit la France à se priver d’un instrument économique fondamental, c’est la loi du 2 janvier 1973 : cette loi, inspirée par Giscard, méconnue du grand public et dont ne parle jamais la gauche, interdit à l’État de créer de la monnaie pour financer sa dette et ses investissements. Le traité de Maastricht et le traité de Lisbonne, non seulement confirmeront une telle disposition, mais même la porteront au plan européen : la Banque européenne ne peut pas non plus prêter directement aux États et à leurs émanations. Entre-temps, en 2002, l’euro aura chassé les monnaies nationales et pris leur place. Ainsi, à défaut de la BCE et des Banques centrales nationales, ce sont les marchés financiers qui ont ainsi le rôle exclusif de financeurs des dettes souveraines, et ce… dans l’intérêt des marchés financiers. À cet égard, l’essai offre, dans un chapitre intitulé « L’Affaire France Trésor », une analyse au vitriol des risques de collusion entre France Trésor, organisme chargé de « gérer la dette et la trésorerie de l’État », et les milieux de la finance. Un inventaire fin des responsabilités diverses des membres de cette structure montre que le conflit d’intérêt est bien proche…
Il s’agit donc de reconquérir la souveraineté monétaire, de replacer le politique au dessus de l’économique et du financier et pour cela, de « sortir » la monnaie unique pour rétablir la monnaie nationale, éventuellement en lien avec une monnaie commune. Dupont-Aignan répond aussi à quelques objections : le retour de l’inflation, des dévaluations compétitives, les pertes pour les épargnants français, les difficultés de financement des déficits… Je ne doute pas que les partisans de l’euro trouveraient eux-mêmes à répondre à ces arguments. Justement qu’ils le fassent plutôt que de les ignorer avec mépris ou d’invoquer, comme Sarkozy il y a quelque temps, la fin de la paix en Europe si d’aventure l’aventure européenne se poursuivait sans euro… Car, dans la perspective des élections présidentielles, c’est bien d’un débat sur l’Europe et sur l’euro, ouvert et sans tabou, dont nos compatriotes ont besoin. Et, vis-à-vis d’un tel débat, l’ouvrage de Dupont-Aignan constitue une contribution qui tape juste et fort. >>
Dette publique des États de la zone euro
8. Le << syndrome de l’ingratitude >> envers Nicolas Dupont-Aignan, ce patriote qui voulait faire partie d’une majorité absolue avec le Rassemblement National, après 27 ans consacré à la défense et promotion des intérêts nationaux de la France, vient d’être battu par ladite majorité masochiste employant comme moyen antidémocratique de perversion électorale, le << désistement >> :
Législatives en Essonne : à Yerres, la défaite de Nicolas Dupont-Aignan laisse un goût amer
Le président de Debout la France a été battu ce dimanche au second tour des élections législatives dans la 8e circonscription de l’Essonne.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec