<< Il y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation, l’une est par les armes, l’autre est par la dette. >> John Adams (président des États-Unis, 1797-1801)
M. Tremblay, en lissant votre article intitulé La montée du protectionnisme chez les politiciens américains, intuitivement me vient à l’esprit le contexte de la situation de la décadence économico-financière de la France. Contexte de ruine nationale et de dérive sociétale induites par des politiciens-corrompus, des bureaucrates-partisans et leurs conseillés ad hoc dans une << alliance d’antipatriotes >> jouant au << Monopoly >> avec la MONDIALISATION concernant les intérêts nationaux de la France au détriment de la classe moyenne(1).
Voici quelques faits historiques, socioéconomiques et financiero-géostratégiques ayant provoqué ce contexte de décadence nationale de la France, parmi tant d’autres nations, tombée dans le piège de la GLOBALISATION en instituant l’ARNAQUE de l’Union Européenne impulsée par la néo-aristocratie socialo-libéro-écologiste antipatriote :
A). La deuxième moitié du XXe siècle aura été fondée sur un paradoxe. Des générations d’hommes politiques ont parlé de la << construction européenne >> mais il semble s’agir d’un objectif, comme l’horizon, qui s’éloigne au fur et à mesure que l’on avance. En fait, avec les années qui passent, on assiste à la déconstruction, à la destruction des nations, sans que rien ne vienne les remplacer. Et l’on peut même se demander, hypothèse encore plus terrible, mais vraisemblable, si << faire l’Europe >> ne consiste pas en fait à détruire les nations. L’historien allemand Rudolf von Thadden l’avait dit sans prendre de gants : << pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France >>.
Il vaut la peine de s’arrêter quelques instants sur une telle formule : d’abord parce qu’elle constitue un aveu. Les artisans de la << construction européenne >> veulent l’abolition des souverainetés en Europe. Ils partent d’une analyse erronée de l’histoire du XXe siècle, selon laquelle les États-nations seraient responsables du déclenchement de la Première Guerre mondiale. Or 1914 fut d’abord un choc entre nations impériales continentales (Russie, Autriche, Allemagne) ou coloniales (France, Grande-Bretagne). En fait, l’erreur d’analyse historique camoufle une adhésion à l’idée impériale. Le chancelier allemand Bethmann-Hollweg formula, le 9 septembre 1914, le premier projet de communauté économique européenne : une union douanière, centrée sur une Allemagne victorieuse dans la guerre, allant de la Scandinavie à l’Italie et l’Ukraine à la France, préalablement privée, au profit du Reich, de ses territoires du Nord et de l’Est. Bethmann-Hollweg, aussi, pensait que pour << faire l’Europe >>, il fallait << défaire la France >>.
La compromission impériale de l’idée européenne ne s’est pas arrêtée là. L’<< Europe unie >>, fondée sur l’idée de la nocivité des nations (sauf une, le centre impérial) est une idée répandue chez les fascistes européens, durant l’entre-deux-guerres. Tandis que la Wehrmacht et la SS mettaient l’Europe à feu et à sang, le monde industriel et financier allemand posaient les bases d’une Europe économiquement intégrée, dont l’Allemagne serait le cœur. Les mêmes hommes recyclèrent leurs projets après la défaite du Reich hitlérien. Le consensus adenauerien n’est pas compréhensible si l’on ne voit pas qu’il reposa sur une rencontre entre Européens venus de la collaboration et Européens venus des milieux résistants.(2)
B). Ce constat inéluctable concernant l’actuelle décadence de la France est le résultat de l’ARNAQUE INSTITUTIONNALISÉE de la construction (sic) de l’UNION EUROPÉENNE (UE) telle que projetée par des stratèges de la Hanse néo-teutonique de la géopolitique allemande et leurs complices antipatriotes français en connivence avec leurs mercenaires médiatiques au service de ces néo-impérialistes après leurs défaites aux deux Guerres Mondiales (1914-1918 et 1940-1945). C’est-à-dire, le prix payé par les Allemands lors de ces deux défaites militaires a été le révulsif et déclenchement d’un nouveau projet de conquête sans intervention militaire sinon plutôt par des mécanismes économiques, technologiques, financiers, monétaires, géopolitiques…
En ce sens, on ne saurait trop souligner l’importance de ces caractéristiques propres aux patriotes par rapport aux antipatriotes : la France est l’exemple paradigmatique de cet antipatriotisme inoculé par la caste politique gouvernementale post-gaulliste de l’actuelle Vème République à la majorité l’ayant élue depuis la démission en 1969 du grand patriote Charles de Gaulle. En effet, sans patriotisme d’État il n’y aura pas de nationalisme économique, lesquels seront associés par leur action de conjonction à leur raison d’être indissociablement voués à la défense et promotion de ces énoncés patriotiques.
Ce point capital, de l’antipatriotisme de la caste gouvernementale en alternance, est celui qui a déconstruit la cohésion socioéconomique de la France, la mettant sur les rails de la décadence comme constatée par l’actuel contexte de dérive nationale, la menant vers le précipice postrévolutionnaire.
Quelle est la voie politique à cette décadence de la France provoquée par les gouvernements antipatriotes successifs depuis la démission du Président de Gaulle ? : l’Union Européenne (UE), puisque n’étant pas la seule nation en ruine économique, en décadence culturelle par la fragmentation sociétale dû à l’immigration incompatible, par l’endettement public abyssal (3400 milliards d’euros)…, la << Tour de Babel >> serait la << solution >> à toutes ces contraintes causées par l’antipatriotisme de la majorité des Français ayant cautionné cette trahison depuis 1969.(3).
C). Pour faire face à l’arnaque institutionnalisée citée précédemment et redresser la décadence de la France ainsi que celles des autres nations européennes prises dans ce piège, il n’y a qu’un moyen : le PATRIOTISME ÉCONOMIQUE(4). C’est-à-dire, instaurer le protectionnisme économico-financier afin de sauvegarder les intérêts nationaux en s’opposant au mondialisme prédateur, tel que constaté par les dumpings du néo-impérialisme chinois du régime communiste de << marxisme-capitalisme >>. En d’autres mots, en acceptant l’entrée de ce régime marxiste d’économie capitaliste dans l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) en 2001, la dynamique de la GLOBALISATION prédatrice va devenir l’assise de la doctrine économique marxiste-capitaliste de la Chine en acceptant dans son territoire la relocalisation des productions des entreprises occidentales. Par conséquent, la décadence économico-financière, technologique, sociétale… des nations subissant cet effondrement étatique ira en augmentant par la dynamique évoquée qui ne sera stoppée que par l’instauration du PATRIOTISME ÉCONOMIQUE.
D). Les enjeux pour les nations prises dans le piège de la MONDIALISATION sont multiples et récurrents dû à la trahison des élites et leurs pions vassaux de la néo-aristocratie antipatriote gouvernementale. La résurgence du populisme incarné par Donald J. Trump, celle de l’extrême droite (sic) du Rassemblement National (RN) en France et celles issues des alliances patriotiques dans les nations faisant face à leur décadence respective, ne sont que la manifestation de la détresse nationale. Dans le monde de Donald J. Trump, Marine le Pen, Viktor Orban, Javier Milei… il y a une constante inébranlable, le Patriotisme Économique qui est le seul à pouvoir redresser la décadence et l’affirmation nationale de leurs postulats respectifs.
Monsieur Tremblay, vous affirmez dans votre Conclusion du dit article, ceci :
Si les barrières unilatérales au commerce international devaient continuer à s’accroître au cours des années à venir, cela pourrait miner l’influence de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), la seule organisation fondée pour réglementer et faciliter les échanges internationaux.
Il est possible que l’OMC, en tant qu’organisation inter-étatique, suive les traces de l’ONU et devienne moins à même de prévenir les guerres commerciales. Cela pourrait avoir des conséquences économiques et politiques désastreuses pour les niveaux de vie dans plusieurs régions du monde. Poussé à l’extrême, un protectionnisme à outrance pourrait précipiter l’économie mondiale dans une dépression économique.
En effet, les guerres destructrices répétées, qu’elles soient de nature militaire ou commerciale, font en sorte de rendre l’économie mondiale moins stable et moins pacifique et, en fin de compte, moins prospère pour la grande majorité des populations.
À ces affirmations que vous faites, Monsieur Tremblay, il y a une autre réalité, celle des nations où la raison d’être de leur existence comme entité singulière parmi le concert des nations souveraines du monde est la plus importante. Sans cette raison d’être identitaire la dérive de souveraineté s’amplifie à mesure que cet état de décadence s’accroît provoquant ainsi tous ces faits précédemment énoncés.
Jean-Louis Pérez-Martel
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Note. Monsieur Tremblay, concernant la Grande Dépression de 1929-1939 aux États-Unis évoquée dans votre article cité, il y a une autre histoire accablante, celle commencée par le krach boursier de 1929 décrite dans le bestseller des auteurs Gordon Thomas et Max Morgan-Witts intitulé Dans les coulisses du krach de 1929, dont << De cet événement tout semble avoir été dit et redit : comportements criminels des spéculateurs, économies dévastées, gouvernements dépassés… >>. C’est cela, entre autres facteurs économico-financiers, que le Patriotisme Économique appliqué de manière réaliste et de sens commun veut éviter afin de ne pas tomber, une fois de plus, dans le piège de la Mondialisation des prédateurs organisés en connivence avec la néo-aristocratie gouvernante traître.
1. La France va-t-elle exploser ? Comment se protéger ?
https://www.youtube.com/watch?v=4osoXzhehPE
2. Paragraphes transcrits de la Préface intitulée NOUS NE SOMMES PAS DU PARTI CAROLINGIEN du livre LA DÉCOMPOSITION DES NATIONS EUROPÉENNES, de l’union euro-atlantique à l’État mondial. Géopolitique cachée de la ‘’constitution’’ européenne
3. Pour davantage d’information concernant le contexte actuel de décadence économico-financière et de ruine sociétale de la France, veuillez consulter :
POURQUOI LA FRANCE EST PASSÉ DE LA 4ÈME PUISSANCE ÉCONOMIQUE AU MONDE À LA 7ÈME
Comment le Pouvoir antipatriote d’Emmanuel Macron s’est constitué avec la complicité des clans islamo-socialo-écolo-libertariens, des spoliateurs de fonds publics et des traîtres transfuges de LR*
Avec le Nouveau Front Populaire** au Pouvoir, l’économie française se classerait en 2028 au 9ème rang et le nombre des pauvres passerait de 9 millions à 12 millions
4. Jordan Bardella Face à BFM – L’interview en intégralité
https://www.youtube.com/watch?v=2_wUoQjfAi4
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec
