Sur les RS pour jeunes (Instagram, TikTok), c’est la panique : la vague brune va tout emporter, les LGBT vont être crucifiés en place publique et les clandestins coulés en mer par milliers. On exagère à peine.
Chez les macroniens, les larmes coulent, comme chez les socialistes le 21 avril 2002. Des scènes déchirantes, que nous avons choisi de vous montrer. Les personnes sensibles peuvent sauter ces deux extraits.
On remarque que cette jeunesse de gauche, qui ne croit plus au Père Noël, croit toujours au grand méchant loup, qu’il ait le visage d’Hitler ou des Le Pen, et c’est une bonne chose : ainsi, elle se confronte au principe de réalité, laquelle est à peu près l’exact contraire de ce qu’elle pense.
Elle a beau aboyer contre le « Front national », en reprenant la chanson des Bérurier Noir, la caravane Bardella est passée. Et le RN a fait un score fleuve chez les 18-24 ans. Conclusion : les petits bobos parisiens ne sont pas la France… Ils comprennent aujourd’hui dans la douleur qu’ils sont en minorité, et que les médias leur ont menti, tout le temps.
Le lycée Henri IV reste en tête du classement des prépas littéraires. Il faut dire que la moyenne au bac des admis sur Parcoursup est de 18,4/20. L’école de la montagne sainte-Geneviève a envoyé pas moins de 36 élèves à l’ENS Ulm, 21 à l’ENS Lyon, et 9 étudiants à HEC.
Il y a toute une jeunesse oubliée par les médias qui vote, et qui n’a pas la même préoccupation que la jeunesse dorée qui a les moyens de défendre les pauvres migrants ou les LGBT persécutés, mais pas les jeunes pauvres de la France périphérique, ou même des banlieues, même si on parle trop des banlieues et pas assez des campagnes. Cependant, ça risque de changer.
La détresse des milleniums est le résultat de décennies de propagande antinationale par les médias, qui ont ainsi brisé le moral national. Il faudra au moins deux générations pour que la France remonte dans sa propre estime. Depuis que les révolutionnaires (manipulés par les loges et les Anglais) ont tranché la tête du roi, la France marche de traviole.
Et la jeunesse, régulièrement, fait la révolution contre la France, et contre elle-même, au lieu de la faire contre l’oligarchie qui la manipule. Mais pour ça, il faut un peu de culture politique. Les jeunes qui traversent les grandes villes en grappes depuis la victoire du RN sont en révolte contre eux-mêmes, à cause du virus qu’on leur a foutu dans la tête, le virus de la haine de soi. En menant des combats qui ne sont pas les leurs, ils ne trouveront que la défaite et la frustration.
« La marge qui parle au nom d’un ensemble » (commentaire)
L’avis d’un jeune droitard
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation