Le Printemps des sayanim, de Jacob Cohen

Le Printemps des sayanim, de Jacob Cohen

Comment fonctionne l’ingérence israélienne en France

L’Harmattan, 2011, 174 p., 16,5 €

vendredi 5 janvier 2024, par Lionel Labosse

Le Printemps des sayanim de Jacob Cohen (né en 1944) est un « récit » romanesque plaisant, dont l’enseignement est déterminant. Je n’avais jamais entendu ni lu (ou peut-être sans y prêter attention) le mot « sayanim », alors que ce livre date de 2011. Il a fallu la tyrannie covidiste pour m’ouvrir les yeux, que je découvre Profession gendarme, que je suive les publications du Gal Delawarde, qui utilise régulièrement le mot, puis cette entrevue majeure proposée par Éric Montana « La vie autrement » avec Tariq Ramadan, Jacob Cohen & Dominique Delawarde le 20 décembre 2023 :

La vie autrement. Avec le Pr Tariq Ramadan, Jacob Cohen & Dominique Delawarde
par Eric Montana

Je me suis donc intéressé à ce monsieur. J’ai découvert son intervention de 2014 où il soutient Dieudonné et fait une « quenelle » historique :

Jacob Cohen : « Dieudonné est le seul qui remet en question la domination sioniste en France »
par Lionel Labosse

Je me suis procuré un exemplaire papier de son livre, que j’ai dévoré en quelques jours. On trouve facilement le PDF pour ceux qui n’ont pas envie d’enrichir L’Harmattan. C’est un éditeur qui ne paie pas ses auteurs, il ne me semble pas qu’il y ait de scrupules à avoir, même si je préfère toujours pour ma part lire sur papier.

http://altersexualite.com/IMG/pdf/cohen_jacob_le_printemps_des_sayanim.pdf

Le Printemps des sayanim, Jacob Cohen, L’Harmattan, 2011.

© L’Harmattan

L’intrigue de ce « récit » est fort simple, il s’agit d’un jeune couple homme arabe musulman / femme juive, lui s’engageant de façon spontanée dans une loge maçonnique dominée par des juifs communautaristes et truffée de sayanim, elle découvrant progressivement l’entourage de son ami, sa famille et ses amis militants propalestiniens, y compris des membres de l’UJFP (Union juive française pour la paix), comme « Danièle Sibony », calque de Michèle Sibony, une des personnes que j’ai également découvertes à l’occasion du génocide en cours, dans cette entrevue. J’ai aussi découvert un autre membre de qualité de l’UJFP, Pierre Stambul, lors d’une projection du film Yallah Gaza. Ces projections sont un travail de fond qui se fait partout en France avec des associations locales formidables, depuis avant le 7 octobre, même si les sayanim tentent de les pourrir et surtout les invisibilisent. Je n’ai pas fait d’article sur son livre La Nakba ne sera jamais légitime que je recommande chaudement car il explique avec des arguments que je n’avais jamais entendus que la Palestine est une terre volée aux Palestiniens (y compris quelques juifs palestiniens auxquels on n’a pas demandé leur avis) par des juifs d’Europe, sans la moindre légitimité. Voici une entrevue de Pierre Stambul.

Revenons à nos moutons. L’auteur pratique une sorte de « name dropping » ludique en affublant les différents sayanim qu’il évoque, mais aussi les autres personnages, de noms transparents. Philippe Val devient « Philippe Gale », et vous avez des « Bruce Grossaint », « William Goldnavet », etc. Le numéro 1 est l’inénarrable « MST » alias « Michel-Samuel Taïeb », que vous identifierez facilement. Asselineau a consacré à cette nullité nuisible une longue émission « Le scandale des B.H.L à répétition », mais il a omis l’information principale. Or quand on sait que « MST » présida la commission d’avances sur recettes du cinéma français dans les années 1990, nommé par Jack Lang, dont ses navets bénéficieront d’ailleurs toujours des largesses, on ne peut que comprendre le tropisme dudit cinéma pour traiter encore et toujours de l’antisémitisme. C’est Shoah à tous les étages, et les sujets qui fâchent au sous-sol. Or ce n’est pas qu’une question de goût. Par le biais de ce personnage, c’est l’État d’Israël qui décide des films qui peuvent se tourner en France. Cela s’appelle une ingérence étrangère, mais une ingérence qui n’est pas étudiée lors de la commission d’enquête parlementaire récente, qui ne traita que des méchantes ingérences russes du méchant Poutine.
Je vous propose deux extraits fondamentaux à propos de cet individu profondément nocif qui continue à sévir au quotidien 13 ans après la publication de ce livre, toujours programmé par ses complices sayanim des médias malgré le désaveu constant du public. J’ajouterai un 3e extrait conclusif sur cette étude de cas. On a tous compris à peu près comment fonctionne la « communauté juive organisée », mais savoir que cela a un nom et comment cela fonctionne permet un « gain de fonction » dans notre argumentation. Par exemple, dans L’Anti-conspirationnisme mis à nu à travers l’imposture Rudy Reichstadt, Francois Belliot qualifie, sans que l’intéressé ait jamais porté plainte, Rudy Reichstadt d’« agent israélien ». Jusqu’à présent, j’avais bien compris que cette information était capitale, et je l’ai relayée autant que peut le faire quelqu’un qui n’est pas une star du complotisme, juste un modeste auteur d’articles de fond.
Mais le fait de connaître le mot « sayan » et le fonctionnement de ces « agents israéliens », à ne pas confondre avec le Mossad, nous fait parvenir à un niveau de compréhension plus global, au point que je m’étonne que le mot soit si peu utilisé. S’agissant du blanc-bec sous-diplômé Rudy, il faut espérer qu’un juge (qui ne serait pas un sayan) se penche sur la raison pour laquelle David de Rothschild et l’État d’Israël ont mandaté l’agent Rudy pour qu’il diabolise le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine au profit de Pfizer et donc d’Albert Bourla, lequel était classé 4e juif le plus influent du monde au palmarès 2021 du Jerusalem Post. Évidemment pour qu’une enquête ait lieu sur ce sujet brûlant, il faut faire passer la jeep de la vérité dans le champ de mines des sayanim de la justice et de la politique… En attendant, j’ai l’impression que sans cette notion de « sayan », beaucoup de temps se perd en bavardage dans les médias alternatifs et les milieux dits de « résistance ». Il est vrai que le sayan Bercoff veille à ce que la vérité explose au sujet de son ami Rudy…
Les commentaires et le dégueulis verbal antisémite qui suintent des réseaux sociaux croule sous les insultes, alors que des explications claires et sans invectives contre-productives sur le fonctionnement de ce lobby particulier seraient bien plus utiles. C’est ce que font inlassablement des Thierry Meyssan et des Xavier Poussard, et même Alain Soral, qui se laisse parfois aller et qui pour cela est harcelé par les sayanim à titre d’exemple pour terroriser les internautes qui publient sous leur nom. Je reste persuadé que, de même que de nombreux « attentats » ou « viols » antisémites s’avèrent au bout de quelques jours l’œuvre de mythomanes, de nombreux posts antisémites d’internautes compulsifs, toujours d’autant plus courageux que contrairement à Soral ils sont anonymes, doivent être le fait d’agents israéliens qui ont pour mission de décrédibiliser les sites sur lesquels ils défèquent leurs vomissures avec le courage et la virulence des fiottes ou des agents anonymes. Un modeste site comme Profession gendarme par exemple, à partir du moment où il est dans l’œil du viseur de Rudy Reichstadt, ne peut pas faire l’autruche et ignorer que Rudy Reichstadt a le même employeur que macron, David de Rothschild. Si Profession gendarme a l’insigne honneur d’une fiche sur Conspiracy Watch, cela veut dire forcément que les publications et les commentaires sont enregistrés. Le jour venu, la police débarquera chez Ronald à 6 h du matin, saisira tous ses ordinateurs, et commencera à le questionner en lui mettant sous le nez les innombrables commentaires (ou articles) « antisémites » qu’il aura laissé passer. Et là il n’y aura plus personne de courageux pour défendre Ronald…
Extrait 1. Voici une réception à l’ambassade d’Israël, qui supervise le réseau des sayanim :
« – MST a des relations spéciales avec le Mossad. C’est le Mossad qui a assuré sa protection au Pakistan, lorsqu’il a fait son enquête sur le journaliste américain assassiné. Sinon il ne serait pas allé. C’est trop dangereux. Aucun autre service secret n’aurait été capable de le protéger.
Gilles le regarda un moment bouche bée, puis détourna le regard vers les photographies. Il ne lui semblait pas convenable de montrer ses sentiments. Quel monde étrange ! Il avait déjà bénéficié de quelques confidences — ces petits secrets croustillants, mais anodins, qui vous introduisent dans le cercle des initiés. Mais la révélation sur MST était d’une autre nature. Pour la première fois, il saisissait la complexité des connexions occultes, et les illusions dans lesquelles vit le commun des mortels. Il détenait une bombe, mais paradoxalement, elle soulignait son rôle insignifiant dans cette immense partie d’échecs. Ainsi que les nouvelles responsabilités auxquelles il n’avait jamais été confronté. Comment mener le double jeu sans se trahir, ni trahir la confiance de son ami ? C’est que MST, en plus de la méfiance qu’il provoquait, faisait l’objet de plaisanteries douteuses. On moquait ses chemises blanches échancrées, ses manières de dandy, son intellectualisme abscons. En cercle restreint — et il en eut honte — on le traitait même de « pédé ». Il ne le pourrait plus. MST était désormais une idole intouchable. Mais comment le défendre sans susciter la suspicion de ses amis ? » (p. 27).

Extrait 2. « MST » est sollicité dans le but de torpiller une association pro-palestinienne. Il met en branle tous ses réseaux :
« – Allô ! Bruce ?
 Oh, salut ! Quelle bonne surprise !
 Comment vas-tu ?
 Pas mal. Et toi ? Ça fait un moment.
 Les occupations. Mais on va se voir bientôt. À propos, ta nouvelle émission marche de mieux en mieux. Félicitations.
 Elle t’est ouverte. Quand tu veux. Tu auras droit à une émission spéciale. Comme d’hab.
 Pourquoi pas ? On verra.
 Enfin, tu es toujours le bienvenu à Canal.
 Merci. Je sais que je peux compter sur ton amitié. Au fait, ça te dirait de passer les fêtes de Noël dans mon riad ? À moins que tu ne préfères ma maison de Tanger.
 Fantastique ! J’en parlerai à ma femme. Tu y seras ?
 Seulement à Marrakech, pour le nouvel an. N’oublie pas la fête du 3, si on ne se croise pas d’ici-là.
 Et comment ! Je ne la raterai pour rien au monde.
 Bruce ! J’ai un petit souci, comment dire, d’ordre médiatique. Je voudrais ton avis, et éventuellement ton aide.
 Je suis à ta disposition. En toute discrétion.
 Voilà. Il n’y a pas longtemps, une association a vu le jour. Plus proche du groupuscule. On connaît les membres et leurs fonctions. Genre idéalistes ingénus. Des pro-palestiniens. Après tout, nous vivons dans une démocratie. Chacun est libre de ses opinions. L’association est dirigée par une avocate, une convertie à l’islam à la suite de son mariage. Entre parenthèses, les néophytes sont les plus fanatiques, comme s’ils avaient un passé à se faire pardonner. Bref, ils se sont mis en tête d’appeler leur association SOS Palestine, à l’instar de SOS Tibet, ou même de SOS Racisme. Tu vois un peu l’impact que cela pourrait avoir ? Il suffirait d’une exposition médiatique, même de quelques secondes.
 Parfaitement.
 D’autant que le nom donne une vision apocalyptique de la situation, comme si la Palestine était à feu et à sang. SOS, c’est le signal de détresse. Alors que, justement, tous les espoirs sont permis aujourd’hui. Nous travaillons d’arrache-pied à la paix, pour une solution juste et raisonnable. Et je peux te confier, Bruce, que malgré les apparences, on n’est pas loin de cette solution. Ce n’est vraiment pas le moment de jeter de l’huile sur le feu. Il faut au contraire rapprocher les gens, créer un climat de confiance. Tu saisis ?
 Bien sûr ! Et je partage entièrement ton point de vue.
 Je savais que tu comprendrais. Seulement, la Préfecture n’a pu que s’incliner, et enregistrer l’association. Dès qu’on m’en a informé, j’ai alerté Bertrand Delanoix. Ses services ont reçu une délégation de l’association. Ils ont promis une subvention substantielle, et la possibilité d’un local. On leur a proposé un autre nom, « Paix en Palestine » par exemple, c’est très beau comme intitulé. Il y a l’idéal de paix. Mais je me demande si ces gens-là veulent réellement la paix. Plutôt des fouteurs de merde. Elles n’ont rien voulu savoir. Je dis elles, parce que le noyau dur est constitué de six ou sept femmes. Le seul homme est le gérant d’un café libanais. Mais d’après nos renseignements, il ne joue qu’un rôle marginal. Son café organise des soirées orientales le week-end, et quelques réunions militantes.
 C’est bien embêtant tout ça. En quoi puis-je t’être utile ?
 Je réfléchis à une campagne de basse intensité, comme on dit d’un conflit. Pas question d’en parler dans ma rubrique du Point. Ce serait leur faire de la pub. Je garde ça comme arme ultime. Le temps de réunir d’autres infos, pour éventuellement la faire interdire. Ça m’étonnerait qu’ils n’aient aucun lien avec une organisation extrémiste. Ce qui serait bien, au stade actuel, c’est de préparer le terrain, en lançant la polémique dans deux ou trois rubriques, par des personnes sans parti pris, dans un média branché, ouvert sur la diversité, peu suspect d’ostracisme. C’est ainsi que j’ai pensé à Canal.
 Tu as bien fait, Michel-Samuel.
 D’autant plus que, il y a un autre aspect qui m’inspire quelques craintes pour l’avenir. Une des responsables de l’association, la plus déterminée paraît-il, porte le voile. Le vrai voile islamique. Celui qui fait ressembler à une momie. Figure-toi qu’elle est avocate. Tu peux imaginer l’influence insidieuse sur son entourage. C’est dramatique. On régresse au lieu d’aller de l’avant.
 J’ai une première idée. Tu te souviens de Marie Calmant ?
 Bien sûr ! Elle chroniquait avec toi dans La Matinale. Elle est venue déjeuner chez moi, avec toute l’équipe, après l’émission spéciale sur mon voyage en Amérique. Elle est adorable, cultivée, féministe, et sans concession.
 Elle est toujours dans La Matinale. D’abord elle ferait n’importe quoi pour toi. Pour elle, tu es le génie personnifié. Si si, je t’assure. Et puis, elle ne supporte pas les femmes voilées. C’est physique. Ça lui donne de l’urticaire.
 Avec elle, le message passera très bien.
 Si tu m’envoies quelques documents aujourd’hui, ça pourrait se faire dans les prochains jours.
 D’accord. Pendant qu’on y est, dis-lui de réserver sa soirée du 3 décembre. Je lui enverrai une invitation en bonne et due forme.
 Elle sera aux anges. Et au fait, je pense à un autre truc. Il y a un humoriste rebeu qui m’est redevable d’un passage. Je vais le réinviter, à condition qu’il glisse quelques bouffonneries sur ton association. Il tient trop à passer à la télé.
 Ah, mon cher Bruce ! J’ai bien fait de t’appeler en premier. Au plaisir de te revoir. Et n’oublie pas Noël au Maroc.
Ils raccrochèrent. Bruce Grossaint appela immédiatement son épouse. « Chérie ! Ça te dirait de passer les vacances de Noël à Marrakech ou à Tanger, dans une maison de rêve, tous frais payés ? Non, je ne peux rien te dire. C’est une surprise. » Pendant que Michel-Samuel Taïeb contactait Uri Sulitzer. « Le plan de campagne est en marche. Fais enregistrer les émissions en clair de Canal Plus à partir de demain. » (pp. 98-99).

Extrait 3. Florence fait part de ses impressions par lettre à son amie Khadija :
« Autant je peux comprendre les enjeux de pouvoir au sein d’une obédience comme le Grand Orient, autant les moyens utilisés contre une petite association me laissent sans voix. Mobiliser le gratin médiatique, sans compter les interventions occultes. Je ne soupçonnais pas la menace terrifiante que faisait peser SOS Palestine sur le lobby « judéosioniste » (expression favorite de Youssef). Voilà des gens qui contrôlent la plupart des grands médias, disposent de relais dans les plus hautes sphères de l’État, sans compter une puissance financière considérable, et qui ne peuvent tolérer l’existence d’un groupuscule rebelle. Je me demande : Est-ce l’expression d’une impunité absolue, ou les premiers signes d’un désarroi devant le réveil des consciences ? On a beau dire, la cause sioniste est de moins en moins défendable. Qu’en penses-tu ? » (p. 165).

Machine israéliste de manipulation de l’opinion en France

Je m’arrêterai là pour les citations, car on comprend l’intention de l’auteur d’expliquer par une étude de cas comment fonctionne la machine israéliste de manipulation de l’opinion en France. Et cela continue sans la moindre anicroche, jusqu’à aujourd’hui, et ce fürhoncle à chemises blanches continue son travail de sape avec la complicité de toutes les putes que compte la politique, la presse et les « artistes ». Voyez la « Soirée de mobilisation du 3 juin 2024 au Théâtre Antoine », un véritable festival de l’inversion accusatoire.
Lire ce livre c’est s’immuniser à jamais contre ces infâmes opérations d’ingénierie sociale. Il raconte un match de foot prétendument pour la paix entre jeunes Palestiniens et Israéliens, et comment ce sont en fait les sayanim qui instrumentalisent cela en faveur de la politique d’Israël. On apprend comment les loges maçonniques sont devenues un instrument de manipulation au profit d’Israël en jouant sur une similarité entre les symboliques juives et maçonniques.
On apprend comment les sayanim mettent dans leur poche quelques Arabes bien choisis, par la corruption passive « en toute amitié » ; bref, c’est un portrait charge de véritables pourritures qui ont fait de la « communauté » juive française une mafia. C’est le grand honneur d’un « juif de la rue » de dénoncer ces manigances. Je me sens proche de l’auteur car j’ai établi dans un article récent un parallèle entre les « communautés » juive et « LGBTmachintrucchose » qui semblent les deux couilles d’une même bite qu’on essaie de nous enfiler quelque part. Il me semble de salubrité publique de faire connaître ce livre pour augmenter tout simplement la proportion de citoyens au fait de ces manigances et capables de les expliquer en les nommant de façon objective.
Quand je repense aux artistes juifs qui ont ébloui ma jeunesse, sans doute avant que cette mafia des « sayanim » soit inventée, je ne peux que constater la faillite humaine irrémédiable dans laquelle ces « sayanim » ont entraîné leurs semblables. Nous savions à peine que des Polanski, Billy Wilder, Samuel Fuller pour le cinéma (3 de mes réalisateurs préférés), des Barbara, Jean Ferrat, Mireille, étaient juifs. Ils ne nous cassaient pas les couilles avec leur ethnie, pas plus que Charles Trenet ne brandissait un drapeau LGBTmachintrucchose. Les végétariens dans ma jeunesse ne bouffaient pas de viande, certes, mais ne bouffaient pas les couilles des mangeurs de viande avec des discours extrémistes. Reste à savoir si la brutalisation de tous les mouvements sociétaux, des LGBtruc aux végans en passant par les animalistes, les fans de l’avortement, etc., n’est pas une autre roue du même char visant à diviser les populations occidentales pour mieux régner. L’omniprésence de George Soros dans le financement de tous ces groupes a de quoi éveiller l’attention. Les artistes juifs du passé ont sans doute plus fait contre l’antisémitisme juste par leur exemplarité que tous ces escrocs manipulateurs dont je sais désormais grâce à ce livre qu’ils sont des agents de l’étranger, ni plus ni moins.
L’espoir réside dans l’isolement de la France. En effet, si d’autres pays, même au sein de l’UE, ont reconnu l’état palestinien, c’est pour une raison très simple : la France constitue la 3e communauté juive du monde après Israël et les États-Unis. On ne peut pas se balader à Tel Aviv sans entendre parler français. Les 4 ou 500 000 juifs français constituent un vivier suffisant pour y prélever un pourcentage significatif d’agents d’Israël et donc de traîtres à la France, qui devraient être déchus de la nationalité française au même titre que les djihadistes. À commencer par la question clé de la double nationalité des parlementaires. Il devrait être impossible d’avoir une double nationalité et d’être parlementaire français, quelle que soit cette nationalité. Cette mesure résoudrait déjà la moitié du problème.

Je suis très flatté car l’auteur a apprécié cet article et l’a diffusé sur ses réseaux.

Lionel Labosse


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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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