Devrait-on limiter certains droits et libertés à ceux qui sont inaptes à les exercer?

Devrait-on limiter certains droits et libertés à ceux qui sont inaptes à les exercer?

Criminels, malades mentaux, toxicomanes, itinérants, autochtones

Au nom de la sécurité publique

Compte tenu de tout le marasme social actuel, le temps est peut-être venu de reconsidérer à qui on peut accorder l’ensemble des droits et libertés contenus dans les chartes, constitutions et codes de loi. Certains citoyens nécessitent certaines limitations en raison de leur incapacité à fonctionner normalement en société sans causer de trouble à la paix publique à répétition.

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Le laisser-aller que l’on connaît, la permissivité empreinte de mollesse, la tolérance passive, l’apathie des autorités, le manque de volonté énergique que l’on observe ne fait qu’engendrer l’accroissement des problèmes.

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Il existe plusieurs catégories de gens qui se montrent inaptes à exercer droits et libertés de manière lucide et responsable (malades mentaux psychotiques, déficients profonds, démence sénile, polytoxicomanes en manque, itinérants agressifs, autochtones désoeuvrés, criminels endurcis, chauffards ivres récidivistes, délinquants sexuels). Et c’est sans parler du surnombre de migrants rôdeurs sans statut officiel potentiellement dangereux qui errent dans nos rues.

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Il existe déjà de la réglementation visant à encadrer certaines de ces catégories, comme la mise sous tutelle ou la Curatelle publique, lorsqu’une évaluation psychologique détermine qu’une personne n’est plus apte à prendre de décisions éclairées la concernant ou à gérer son quotidien. D’autres gens par exemple n’ont pas le droit de vote, de conduire une auto ou d’approcher des personnes précises (ordonnance de protection civile suite à de la violence conjugale).

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Face à tous les droits et libertés qui nous sont accordés, s’il y en a un comportement qui ne pourra jamais être admis, c’est bien celui de troubler l’ordre public. Et c’est là que doivent entrer en jeu des mesures de restriction pour la gestion des cas récurrents.

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Il est possible d’élaborer diverses mesures visant à contenir les excès de certains fauteurs de trouble qui font peur à voir, et qui causent des ennuis sur une base régulière et nuisent au bon fonctionnement de la vie en société, et qui pour cette raison, auraient besoin d’être mieux encadrés.

Voyons quelques mesures efficaces pour régler tous ces problèmes.

1.    Par exemple, le droit d’association devrait être retiré aux gangs de rue, aux membres du crime organisé comme la mafia ou les Hell’s Angels. Chaque individu une fois fiché ne pourra fréquenter sur une base régulière leur groupe d’appartenance, se réunir avec eux, ni établir le moindre contact.

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2.    Les malades mentaux diagnostiqués psychotiques (perte de contact avec la réalité) qui courent les rues, incluant ceux qui finissent par tuer leurs parents et leur famille proche devraient être privés de liberté et internés à l’asile d’aliénés par mesure préventive, suite à une évaluation psychologique. Il ne faut pas attendre qu’ils aient commis l’irréparable pour agir.

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3.    Les polytoxicomanes devraient être tout simplement retirés de la circulation, enfermés avec de la drogue à volonté en hospice fermé, pour qu’on ne retrouve plus de seringues et de substances dans les parcs d’enfants, pour qu’on n’ait plus à la vue des épaves humaines aux comportements dérangés, des zombies fentanylisés aux actes imprévisibles qui ne savent plus ce qu’ils font, incluant ceux qui élisent domicile dans les souterrains du métro et agressent les gens sans prévenir. (Note: la Colombie-britannique vient de mettre fin à son programme de décriminalisation de drogues dures qui n’a fait qu’empirer la situation en multipliant les lieux de consommation publics, tout à l’opposé de l’effet escompté. Il faut retirer les drogués de la circulation, un point c’est tout).

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4.    Agglutinés dans le secteur Milton-parc du Plateau Mont-Royal à Montréal, des paquets d’autochtones et d’inuits désoeuvrés traînent et végètent saoûls ou drogués, étendus de tout leur long par terre; ce sont des comportements tout simplement inacceptables en société, ils dérangent et font peur à tout le voisinage. On ne peut tolérer qu’une situation aussi déplorable puisse se prolonger indéfiniment. Ce mode de vie qui est le leur n’est pas le nôtre. Il suffit alors de changer l’application des lois pour obliger ceux-ci à rester confinés sur leur réserve et à consommer sur place. Si cela implique devoir restreindre certaines libertés de mouvement, c’est que cela devient nécessaire pour faire respecter l’ordre public. Qu’on applique ou établisse des règlements municipaux interdisant l’errance, le vagabondage et la mendiance. Et qu’on coffre immédiatement les contrevenants.

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5.    On a vu ici ce qu’on peut faire pour venir en aide aux itinérants perturbés, et faire en sorte qu’ils ne nuisent pas aux honnêtes citoyens ni aux commerces (quartiers gai et chinois de Montréal détériorés et évités par la population) par leur présence dérangeante. Un meilleur encadrement de leurs allées et venues les protégera.

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Si on veut véritablement régler toutes ces situations problématiques si épineuses qui perdurent, il faut se donner des moyens efficaces pour en venir à bout, même si cela signifie devoir bousculer les façons de faire du passé qui ne donnent rien, même si cela signifie devoir restreindre certaines libertés, et cela, même au prix de choquer les vertueuses ligues de défense qui perdent de vue les règles de base du bien-vivre ensemble. Pour obtenir des résultats concrets, il devient alors nécessaire de modifier les règlements et les codes établis qui empêchent de solutionner ces problèmes de façon pragmatique et expéditive. Si on ne le fait pas, rien ne s’arrangera jamais.

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Le fait de considérer que certains individus sont inaptes à la vie en société, ou qu’ils ont démérité de l’application de certains droits et libertés de base par leurs actes répétés, devient alors une piste de solution à explorer. Il faut voir les choses en face. Rien ne nous oblige à les supporter et à vivre dans la menace constante du danger, du désordre civique et du chaos social. Même que c’est tout le contraire de la notion élémentaire du bien-vivre ensemble, qui commence par un sentiment de sécurité partagé, qui fait qu’on n’a pas à craindre pour nos enfants, nos proches, ou de sortir seul le soir.

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Accorder trop de droits et libertés à ceux qui sont incapables de les gérer ou qui ne les méritent pas est une regrettable erreur qui provoque la crise actuelle, à tel point que les autorités paralysées se déclarent impuissantes à agir, alors que c’est pourtant ce que les citoyens attendent d’elles. Donnons-nous les moyens de le faire, au risque de déplaire à quelques bien-pensants porteurs de lunettes roses. Visons l’efficacité, visons les résultats concrets.

Pour vivre dans un Québec sécuritaire pour tous.

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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