L’Armageddon, c’est maintenant ! (1)
Sylvia Bourdon, 30 mai 2024
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Avant toute chose, j’invite les lecteurs à se procurer des pastilles d’iodure de potassium, disponibles gratuitement dans les pharmacies du pays. Il faut absorber le comprimé au bon moment. Lors d’une attaque ou accident nucléaire pour protéger la thyroïde. Certainement pas pour autre chose. Pour plus d’information, rendez-vous sur les moteurs de recherche. Chacun pourra alors se protéger selon son âge car l’iodure de potassium ne reste pas sans effet secondaires majeurs.
Pour connaître les possibilités d’achat ou de retrait voir ici https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-medicaments/2790545-pastille-iode-comprime-nucleaire-achat-pharmacie/
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Pour l’observatrice quotidienne et profane que je suis en géopolitique, mais passionnée, en ce jour du 30 mai 2024, il y a de quoi perdre la tête. Je sais bien qu’en géopolitique il faut éviter tous états d’âmes. Je vais donc essayer d’être aussi concise que possible.
Il y a deux jours, Tucker Carlson a offert sa meilleure interview depuis celle du Président Poutine. Cette fois, c’était plutôt un échange entre le fameux Professeur Jeffrey Sachs de la Columbia University, lequel fut aussi conseiller d’un grand nombre de chefs d’états, dont Michael Gorbatchev, Boris Eltsine, Hans-Dietrich Genscher le ministre des Affaires Étrangères sous Helmuth Kohl etc. C’est l’homme mondialement connu pour sa grande expertise en matière économique et géopolitique, auteur d’un très grand nombre de bestsellers. Sachs possède incontestablement un talent didactique exceptionnel, qui emporte avec lui l’auditeur dans une virée passionnante du monde que son pays mène au chaos. En outre, il est très sympathique et charismatique et, de son propre aveu, qui fait de lui un être humain de qualité tout simplement, un naïf.
Dans cet échange palpitant, il nous explique que la CIA, depuis sa création, ne sert qu’à déstabiliser les pays étrangers. A fomenter des coups d’états, à faire tomber les têtes qui déplaisent aux néocons. Il ne semble pas y avoir de raisons logiques particulières pour les néocons de faire tomber une tête. Et il nous cite des exemples que nous connaissons tous. Yanoukovitch le Président démocratiquement élu en Ukraine, pro-Russe, Saddam, Bachar et Kadhafi, etc. Majoritairement pour y installer des bases, pas forcément pour le pétrole et autres richesses sous-terraines. Ils sont convaincus qu’ils sont les hégémons du monde, même si chacune de leurs interventions se termine dans des bains de sangs, des pertes civiles par centaines de milliers. Ils sont indifférents à l’humanité, seule compte leur hégémonie. Ils mentent, ne respectent que très rarement leurs paroles, sont des assassins sans remords, des cyniques.
Vidéo Tucker – Jeffrey Sachs
Pour Madeleine Albright, nous nous en souvenons, qui déclarait « que la mort de 500.000 enfants en Irak, valait la peine. »
Pour Hillary, avec toute la vulgarité qui la caractérise, sautillant sur son fauteuil, sur l’assassinat ignoble de Kadhafi « Nous sommes arrivés, nous avons vu, il meurt. » suivi d’un grand éclat de rire d’une pure méchanceté.
https://www.youtube.com/watch?v=6DXDU48RHLU
Après ces guerres présentées plus haut, nous voilà en Ukraine, où la Russie est intervenue il y a deux ans maintenant, puisque les populations russophones d’Ukraine l’appelèrent à l’aide, au bout de 8 ans de souffrances subies par des bombardements à partir de 2014, par le régime banderiste, raciste de Kiev, qui exigeait que l’est de l’Ukraine abandonne toute appartenance à la Russie. Langue et culture. Autant dire que les banderistes ne répugnaient pas à un génocide de ces sous-hommes. En effet, comme les nazis, les banderistes sont convaincus que les slaves sont des « sous-hommes.»
A l’origine, nous assistons depuis 2014 à une guerre civile en territoire ukrainien. Jusqu’au 24 février 2022, où la Russie lance son « Opération spéciale » pour contraindre le régime kievien de cesser ses hostilités militaires, linguistiques et culturelles sur les populations de Lougansk et Donbass. Nous connaissons la suite. Nous y sommes encore, à cause de Boris Johnson, sous mandat américain, qui a « conseillé » à Zelensky, durant une « visite surprise », le 9 avril de la même année, d’arrêter toutes négociations qui étaient en cours avec la Russie et dont les termes étaient pourtant très favorables à l’Ukraine. La guerre aurait pu s’arrêter avant l’arrivée de Johnson. Johnson déclarait alors que « Poutine est un criminel de guerre avec lequel il ne faut pas négocier et que l’Occident Collectif n’était pas près de négocier avec lui. »
Si, en chapeau de ma chronique, j’ai cru nécessaire de révéler aux lecteurs que la possession de ces comprimés d’iodure de potassium est devenue une nécessité, c’est qu’en cette fin de mai la situation mondiale s’est tellement dégradée que nous sommes au bord du précipice d’une guerre nucléaire que les seuls médias français dissimulent aux Français. Une situation historique et pire que durant la crise de la baie des Cochons car, à cette époque, Américains et Russes ne cessèrent de se parler durant toute la guerre froide, jusqu’au demi-tour des navires russes qui se dirigeaient vers Cuba. Demi-tour dû au dialogue, à la diplomatie. Il s’en était fallu de peu.
Aujourd’hui, Washington reste muette avec un Blinken qui outrepasse ses fonctions et qui devrait être viré manu militari. Washington refuse de franchir le pas pour parler avec la Russie, quand l’administration Biden colporte des informations contradictoires, elle attend de ses « vassaux » européens de faire le sale boulot. Macron montre un zèle ignoble pour se faire mousser au détriment du peuple Français, dont il ignore l’existence même. Je l’ai nommé Président de l’Armageddon. Il est en train de vraiment le devenir. Petite parenthèse pour les Européennes, au vu de ce que nous risquons de subir à cause de lui, élection à un tour, il faut infliger la raclée monumentale au Président de l’Armageddon et à ses complices de gauche et de droite.
Le monde a une grande chance, c’est qu’un homme comme Vladimir Poutine soit aux manettes en Russie. Une personnalité calme et pondérée, contrairement à certains de ces contempteurs qui auraient déjà largué des bombes tactiques nucléaires sur Londres-Paris-Berlin. Il faut vraiment prendre cela en considération. Les détails à suivre demain 1er Juin 2024.
Source : Résistance Républicaine
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