Appel à témoignages : un collectif s’engage pour l’abrogation de l’obligation vaccinale des enfants et le respect du consentement libre et éclairé

Appel à témoignages : un collectif s’engage pour l’abrogation de l’obligation vaccinale des enfants et le respect du consentement libre et éclairé

Le collectif Parents & Citoyens France s’engage pour informer sur les problèmes  dus aux vaccins depuis juin 2023, et pour l’abrogation de l’obligation vaccinale des enfants depuis janvier 2024. Pour ses membres, il est inadmissible que le gouvernement prévoie d’ajouter une nouvelle vaccination contre quatre méningocoques à la longue liste des onze vaccins déjà imposés aux nourrissons. Le collectif lance un appel à témoignages auprès des familles afin qu’elles puissent partager leur expérience.

Nexus : Quand votre collectif a-t-il été créé, par qui et pourquoi ?

Collectif Parents & Citoyens France : C’est l’aboutissement d’un long engagement depuis le Convoi de la Liberté qui nous a conduits jusqu’à Bruxelles. Le collectif a vu le jour début juin 2023, rassemblant des parents, des grands-parents et de simples citoyens désireux d’analyser la situation depuis la crise Covid et de protéger, préserver les enfants.

Il nous parut évident d’informer les parents des collégiens de 5e sur les effets indésirables provoqués par le Gardasil 9, supposé protéger du cancer du col de l’utérus. Le gouvernement avait commencé une campagne publicitaire, en milieu scolaire avec une certaine discrétion sur le caractère non obligatoire de l’injection et omettant les possibles effets indésirables.

Incontestablement, tout ce qui importe à nos dirigeants se limite à la couverture vaccinale (les rapports de l’ANSM l’attestent). Ainsi, la preuve réelle de l’efficacité des vaccins ne semble pas compter. Quant aux effets indésirables, ils deviennent tout à fait dérisoires et « très rares », au point de ne pas les mentionner.

– Les textes législatifs, proposés par le gouvernement, de la loi pour « renforcer la lutte contre les dérives sectaires », remettant en cause la liberté d’expression, diffusés en décembre aux citoyens, et courriers envoyés aux sénateurs et députés.

– Le Beyfortus : janvier 2024, lettre ouverte aux 6 700 sages-femmes libérales et aux 200 doulas.

Quelles actions avez-vous menées depuis votre création ?

Campagnes d’information sur :

– Le Gardasil 9 : depuis juillet 2023, distribution de flyers, début septembre courrier envoyé à l’ANSM, puis lettre ouverte aux administrations, à plusieurs Conseils de l’Ordre, aux élus… et aux 6 950 collèges.

–  L’obligation des 11 vaccins pédiatriques : mars 2024, 70 cosignataires (médecins, scientifiques, associations et collectifs) pour la lettre ouverte. Partage de flyers sur les réseaux. Flyer pour appel à témoignages depuis fin mars.

Cette obligation devait être provisoire, pourtant, au 1er janvier 2025, par simple décret du Conseil d’État, 4 souches de méningocoques vont être ajoutées à cette « déjà trop longue » liste.

Quels résultats avez-vous obtenus ? 

Pour le Gardasil, au lieu des 30 % de collégiens injectés prévus, il y en a eu à peine 10 % (publié par Le Monde), mais évidemment, c’est toujours trop, car en plus, lors de cette première dose de vaccination, il y a eu un accident dramatique : un jeune garçon est décédé à Saint-Herblain. Il serait tombé de sa chaise 1/4 d’heure après l’injection, et il a été déclaré que la cause de sa mort était un traumatisme crânien. Quels risques ce garçon aurait-il eus de mourir d’un cancer HPV induit ? La seule réaction du gouvernement fut de donner la consigne aux vaccinateurs d’asseoir ou d’allonger les enfants directement au sol pendant 1/4 heure après l’injection. Trouvez-vous cela normal ?

L’ANSM, le 6/9/2023, avait alerté les professionnels de santé du risque de choc anaphylactique. Sous prétexte d’apporter une « amélioration à la santé », on met nos enfants à même le carrelage.

Pour le Beyfortus, nous avons gagné la confiance de 2 groupes de sages-femmes qui nous ont soutenus : Sages-Femmes Clés et Voix de Sages-Femmes, et quelques doulas de France.

Suite à l’appel à témoignages concernant les 11 vaccins obligatoires, de jeunes parents inquiets, des parents dont les enfants ont subi des effets indésirables, des parents subissant des pressions de leur médecin et de certaines administrations (PMI, ASE) se réunissent et trouvent réconfort et conseils.

Quelles sont vos actions en cours ?

– Demande d’abrogation de l’obligation vaccinale des 11 vaccins pédiatriques.

– Obtention pour chaque parent du libre choix vaccinal.

– Création d’un canal Telegram privé afin d’accueillir en toute sécurité les parents concernés. Ils peuvent y trouver plusieurs rubriques : livres, vidéos, textes de loi, news, espace de discussion, questions aux admin., des solutions légales, témoignages…

– Appel à témoignages toujours en cours et diffusion sur plusieurs médias.

Pourquoi les menez-vous ?

Pour informer : pourquoi les bébés devraient-ils recevoir dans leurs muscles autant de substances dont les effets ne sont pas anodins ?

Le Dr Hélène Banoun (pharmacienne biologiste et ex-chercheuse à l’Inserm) s’était alarmée sur le classement en produits vénéneux de 9 des 11 vaccins, et comme elle nous avait soutenus, conseillés et aidés pour la campagne Beyfortus, nous avons continué ensemble sur cette nouvelle action.

Le Dr Laurence Kayser (gynécologue) nous a permis, grâce à ses connaissances médicales, de rédiger la lettre ouverte et les flyers concernant le Gardasil 9. Cela a fait boule de neige auprès d’autres médecins qui nous ont rejoints dans nos actions :

– Dr Alexandra Henrion-Caude (généticienne, ancienne directrice de recherche à l’Inserm),

– Dr Nicole Delépine (pédiatre, oncologue et ex-chef de service de l’unité de cancérologie pédiatrique à l’APHP de Garches),

– Dr Gérard Delépine (chirurgien, oncologue, statisticien et initiateur en France de la chirurgie évitant l’amputation aux malades atteints de cancer des membres),

– Dr Martine Gardénal (médecin homéopathie, médecin du sport et médecin olympique),

– Dr Philippe de Chazourne (médecin omnipraticien),

– Dr Denis Agret (médecin urgentiste de santé publique)…

De quels types de témoignages avez-vous besoin ? Qu’allez-vous en faire et où allez-vous les diffuser ?

Sur les conseils d’un jeune papa, nous avons lancé sur les réseaux un appel à témoignages.

– Vous subissez des pressions du corps médical et administratif

– Votre enfant doit rentrer en collectivités

– Votre enfant souffre d’effets indésirables

– Votre enfant est décédé suite à une ou plusieurs injections.

Le but est de diffuser les témoignages écrits et oraux, afin d’informer les parents des effets indésirables.

De nombreuses personnes ont relayé nos flyers et appel à témoignages diffusés dans notre groupe Telegram, sur Fb, Twitter, Solidarita, Profession Gendarme et par mails à nombre d’associations et collectifs…

Certains réseaux tels que Onest, Nouveau Monde ont relayé dès le départ nos actions.

Qu’est-ce qui vous révolte dans le fait de vacciner les enfants de manière obligatoire ?

Toute obligation vaccinale est en profonde contradiction avec les droits fondamentaux. Cela contraint les médecins à bafouer leur code de déontologie et leur serment.

Certaines maladies ont disparu dans les principaux pays occidentaux, très probablement en raison des mesures d’hygiène publique (poliomyélite > gestion de l’eau), d’autres étaient et sont bénignes pour l’immense majorité des enfants (rougeole, oreillons, rubéole).

De plus, nombre de vaccins parmi les 11 n’ont pas d’intérêt collectif, en ce sens qu’ils ne protègent, au mieux, que les personnes vaccinées ; comment justifier leur obligation (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche…) ?

Même le Conseil d’État avait reconnu en 2018 que l’obligation du vaccin contre l’hépatite B ne se justifiait pas chez les bébés, hormis quelques cas exceptionnels.

Décider de vacciner ou non un enfant relève de la responsabilité des parents accompagnés de leur médecin, ce n’est pas une décision que l’on prend à la légère, quelle que soit cette décision ; n’oublions pas que les conséquences délétères de celle-ci seront toujours supportées par ces parents qui sont actuellement bien démunis et isolés quand une vaccination provoque des effets indésirables graves.

La loi de 2018 avait été annoncée comme provisoire ; jusqu’à quand ?

Selon vous, de quelle nature les effets secondaires des vaccins administrés aux enfants sont-ils ? Avez-vous des exemples de victimes ? 

Les effets indésirables peuvent être de toute nature (neurologiques, cardiovasculaires, allergiques, gastro-intestinaux…), il suffit de se reporter aux notices complètes de chaque vaccin sur le site de l’EMA.

Comme l’écrivait Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, dans la revue ADSP n° 71 de 2011 et dans son article « Comment faire de la pédagogie autour du vaccin ? » : « Il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance […] La liste des effets secondaires énumérés dans le résumé des caractéristiques (RCP) des vaccins donne le vertige. »

Le même Daniel Floret défendait d’ailleurs l’idée qu’il était tout à fait opportun de lever les obligations vaccinales DTP en vigueur à l’époque. Il n’y a pas de justifications solides pour avoir changé à ce point la politique de vaccination, ni sur le plan épidémiologique ni sur le plan scientifique.

Depuis que nous avons lancé cet appel à témoignages fin mars, nous avons reçu plus de 150 témoignages, dont certains cas de décès consécutifs aux vaccins, de nombreux cas de handicaps plus ou moins lourds, sans compter tous les parents qui témoignent que la santé de leur enfant s’est dégradée depuis les vaccinations de façon aléatoire.

Ces effets secondaires sont-ils rares ?

Encore une fois, si l’on se reporte aux notices des fabricants et aux sous-signalements catastrophiques de la pharmacovigilance, au regard du nombre impressionnant de témoignages que nous recueillons, nous pensons que ces effets indésirables sont bien plus nombreux que les autorités sanitaires ne l’affirment.

Les connaît-on sur le long terme ?

Étant donné la façon dont sont construits les essais cliniques avant mise sur le marché (pas d’utilisation de véritables placebos, durée de surveillance des sujets vaccinés n’excédant pas quelques semaines, aucune étude de pharmacocinétique, de carcinogenèse, de tératogenèse, de mutagenèse n’est exigée), il y a fort à craindre qu’il y ait des effets délétères sur le long terme puisque les vaccins sont supposés agir pendant des années. Il est à noter que toutes ces études sur la sécurité sont exigées pour tous les médicaments, les vaccins non…
Sont-ils suffisamment reconnus ? 

Nous vous renvoyons aux affirmations de Daniel Floret cité plus haut (1 à 10 % des EI seuls remontent à la pharmacovigilance), certaines études mentionnent des chiffres encore plus bas pour les vaccins (entre 0,5 et 3,5 %). En France, l’Oniam indemnise sur fonds publics les victimes d’effets indésirables des médicaments et des vaccins à condition que ces derniers soient obligatoires ; ainsi, les familles dont un enfant souffrirait d’un effet indésirable suite aux vaccins HPV, par exemple, se verraient essuyer un refus de l’Oniam, même si le ministre de la Santé et le président de la République ont joué les VRP des labos avant la campagne de vaccinations.

De plus, les médecins traitants ou les pédiatres affirment avec beaucoup d’aplomb aux victimes que les symptômes constatés sont toujours des « coïncidences » ; si personne ne signale ce que l’on constate à la pharmacovigilance, personne ne peut savoir si ces symptômes sont ou non liés à la vaccination précédente et certainement pas le médecin tout seul dans son cabinet.

Ils ont d’ailleurs une obligation déontologique de tout signaler.

Êtes-vous contre les vaccins de manière générale ou pour la liberté vaccinale ? 

Nous sommes pour une application rigoureuse de la loi Kouchner et le respect du consentement libre et éclairé du patient, la décision doit toujours revenir au patient. En ce sens, toute obligation est à combattre.

Pouvez-vous préciser ce qui vous dérange ? L’âge auquel on les administre ? Leur forme (plusieurs vaccins en une injection, par exemple) ? Leurs composants ? Le nombre d’injections en aussi peu de temps ? Autre ?

Juste le fait qu’on les impose, nous n’entendons pas imposer à qui que ce soit les choix que nous pourrions faire, nous ne voulons pas interdire les vaccins ; en revanche, nous souhaitons que chacun ait accès à une information la plus exhaustive qui soit au préalable ; si le consentement n’est pas éclairé, par définition, il n’est pas libre.

Est-ce qu’il existe, selon vous, des vaccins utiles et d’autres non ?

Nous ne sommes pas compétents pour juger de cette question, c’est précisément de la relation de confiance et de confidentialité réciproque avec son médecin que chaque parent/patient doit évaluer au cas par cas la pertinence de tel ou tel vaccin, pour tel ou tel patient, en telle ou telle circonstance.

Aux parents qui préfèrent le risque vaccinal qu’ils estiment minime ou inexistant aux maladies pouvant être attrapées par leur(s) enfant(s), vous auriez envie de dire quoi ?

Nous leur conseillons de lire soigneusement les notices et RCP complètes de chaque vaccin sur le site de l’EMA en prenant des notes, une calculatrice et de lire les données de chaque maladie qu’ils craignent ; toutefois, s’ils persistent dans leur choix, nous le respectons pleinement.

Un vaccin n’est jamais une urgence. En revanche, une fois fait, on ne peut plus le retirer.

Que pensez-vous du fait qu’un enfant non vacciné n’est pas autorisé à aller à l’école ? Que finalement, la vaccination prime sur l’instruction ?

Cela prouve que les droits fondamentaux des enfants et des personnes sont bafoués par des lois illégitimes. Si un vaccin est efficace pour protéger une personne, nul besoin d’imposer ce vaccin à d’autres.

Qu’arrive-t-il à des parents qui ne veulent pas faire les 11 vaccins à leur(s) enfant(s) ? 

Si les visites médicales obligatoires (il y en a 20 entre 0 et 16 ans) ont été faites, les parents avant toute collectivité peuvent retarder ou espacer ces injections sans trop de risques, s’ils restent diplomates. Certains sont poursuivis plus sévèrement, notamment s’ils se sont sentis acculés et qu’ils ont fait de faux certificats ; cela reste un délit et les tribunaux se montrent sévères. Nous ne conseillons pas les solutions illégales, qui ne permettent pas de combattre efficacement la loi. Il reste la solution légale de quitter la France, en se renseignant bien sur la législation du pays de destination.

L’instruction en famille serait-elle possible pour une telle famille ou la loi à ce sujet a-t-elle changé dernièrement ?

Les conditions de l’instruction en famille se sont fortement durcies en 2021, désormais, les parents ne peuvent pas choisir ce mode d’instruction par choix de non-vaccination.
Peut-on dire pour résumer : pas de vaccin, pas d’école. Pas de vaccin, pas d’instruction en famille. Et donc vaccin ou placement des enfants ?

C’est assez réducteur, mais ce n’est pas loin de la vérité.

Des parents se sont-ils fait enlever la garde de leur(s) enfant(s) pour refus de vaccination ?

Oui, souvent les services sociaux cherchent des motifs supplémentaires pour justifier de placements (abusifs ?), d’où le conseil de respecter scrupuleusement les visites médicales obligatoires.

Ne trouvez-vous pas surréaliste qu’on oblige des parents à peine vaccinés à faire vacciner leur(s) enfant(s), si les maladies contre lesquelles on veut les protéger étaient si dangereuses que cela ?

Les parents n’ont pas d’obligation à se faire vacciner eux-mêmes (excepté pour certaines professions), la dangerosité des maladies est variable et ne prouve rien quant à l’efficacité et à l’innocuité des vaccins en rapport. Nous rappelons que la vaccination des femmes enceintes ou allaitantes a été contre-indiquée pendant des dizaines d’années. Il n’y a pas que cela qui soit surréaliste.

Pouvez-vous nous rappeler comment les onze vaccins obligatoires ont été décidés par notre gouvernement et quand ? Trouvez-vous cela « normal », respectueux des Français ?

En 2015, Sandrine Hurel avait été mandatée par Marisol Touraine, ministre de la Santé, pour faire des propositions pour améliorer la politique de vaccination en France. Celle-ci suggéra de faire une consultation citoyenne qui a eu lieu en 2016 sous l’égide du professeur Alain Fischer ; cette consultation a été faite avec deux jurys, un jury de citoyens et l’autre de professionnels de santé.

Ces 2 jurys se sont prononcés pour la levée de toutes les obligations et la poursuite des études concernant les adjuvants aluminiques ; sur ce, Alain Fischer a annoncé le 30/11/2016 qu’il recommandait de rendre obligatoires provisoirement les 11 vaccins du calendrier vaccinal. Les élections présidentielles de 2017 ont été immédiatement suivies de la première annonce du gouvernement Macron comme quoi les 11 vaccins seraient obligatoires au 1er janvier 2018. Chose faite à travers le cavalier législatif, en glissant cette obligation dans le PLFSS 2018.

Cette façon de faire est profondément antidémocratique, puisque le cavalier législatif est un procédé utilisé pour noyer un texte dans une loi ; le texte a été voté in fine par un peu plus de 90 députés (sur 577) un vendredi entre minuit et une heure du matin. Naturellement, la plupart des députés de province quittent Paris le vendredi matin pour assumer leur permanence parlementaire dans leur circonscription ; quel meilleur moyen de faire passer un texte le vendredi soir en conviant les députés de la majorité présidentielle ? « La démocratie dans le domaine de la santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les politiques », comme le disait si justement Thomas Dietrich dans sa lettre fracassante de démission de son poste de secrétaire général à la tête de la Conférence nationale de santé.

Comment les prochains vaccins obligatoires sont-ils mis en place ?

Autant que nous le sachions, les vaccins méningocoques A, W135, Y et B seront rendus obligatoires par un simple décret du Conseil d’État, ce qui est encore moins démocratique que ne l’était la loi de 2018.

Peut-on empêcher qu’ils adviennent, selon vous ?

Nous le souhaitons vivement, et nous nous mettons en action pour justement tout faire pour contrer ce projet délétère pour les enfants de ce pays.

D’après vous, ces vaccins obligatoires ont-ils pour unique but de protéger la population contre les maladies ?

Cela ne correspond absolument pas à ce que nous pensons à ce sujet.

Couverture vaccinale Prevenar et méningocoque C : une ligne Maginot.

Voici le dernier paragraphe d’un extrait du résumé en ligne d’une communication présentée par le Pr Christian Perronne (ancien président du CSHPF et du CTV) le 30 novembre 2007 aux journées de veille sanitaire organisées par l’InVS : « Pour certains microbes à sérogroupes multiples et en l’absence de couverture sur l’ensemble des souches, le déplacement de souches microbiennes dans la population, dont l’impact épidémiologique pourrait, dans certains cas, faire perdre le bénéfice de la vaccination (pneumocoques, méningocoques). »

Son propos s’applique donc aux vaccins Prevenar et méningocoque C que le ministère a rendus obligatoires pour les enfants, mais pas l’Italie qui n’a voulu ni de l’un ni de l’autre, à juste raison. Cela devrait vous interpeller !

Ce que craignait le Pr Perronne en 2007, pour les méningocoques par exemple, pour lesquels il existe des vaccins pour 5 souches (celles que le gouvernement veulent rendre obligatoires pour 2025), c’est que par pression de sélection, ces 5 souches soient nettement moins présentes, mais qu’en revanche, d’autres souches de méningocoques pour lesquelles nous n’avons aucun vaccin émergent et dominent. On avait vu un tel phénomène se produire pour les pneumocoques (Prevenar 7 et Prevenar 13), d’ailleurs, le calendrier vaccinal 2024 qui vient d’être publié mentionne des petits nouveaux dans les vaccins à pneumocoques, qui seront bientôt sur le marché français à 15 souches (au lieu de 13) puis 20 souches, etc…. Il existe plus de 20 souches de méningocoques et plus de 120 souches de pneumocoques ; à l’image du Covid, on peut jouer longtemps à cache-cache avec différentes souches de pathogènes qui mutent ou, par pression de sélection, font émerger des souches qui étaient jusque-là quasi silencieuses. Les conséquences de tels choix ne seraient-elles pas pires que les pathogènes que l’on cherche à contenir ?

Des enfants vaccinés attrapent-ils quand même des maladies, comme pour le Covid ? Lesquelles par exemple ?

Oui : coqueluche, pneumocoques, méningocoques, VRS (même avec Beyfortus qui n’est pas un vaccin, mais un traitement à anticorps monoclonal, non obligatoire), rougeole, oreillons, etc.

Voulez-vous ajouter quelque chose ?

La science, la médecine et la sécurité de nos enfants sont bafouées au profit d’une « religion vaccinale » et aux énormes profits de Big Pharma. Les droits des familles et des parents sont piétinés au nom d’une mauvaise science.

Chaque citoyen peut agir pour lutter contre des lois illégitimes et c’est le plus noble et le plus sacré de nos devoirs.

Comment les parents peuvent-ils vous contacter ?

– Sur le groupe Telegram : Parents & Citoyens France t.me/idf75
– De façon plus confidentielle, par mail, en indiquant en objet : « Réponse à l’appel à témoignages » sur pa*********************@gm***.com

Nous réfléchissons à l’idée de créer un site Web, pour cela nous avons besoin de volontaires pour l’alimenter en articles utiles et concis.

Martine Léonard, de Parents & Citoyens France, et Sophie Guillot

Contact : pa*********************@gm***.com


A droite Dr Martine Gardénal et à gauche Martine Léonard


Propos recueillis par Estelle Brattesani

⇒ Pour aller plus loin et soutenir l’info indépendante et SANS PUB, lisez notre dossier dans notre magazine papier :

– « Bronchiolite du nourrisson : la nouvelle arnaque de Big Pharma ? » dans le numéro 150 de Nexus (janv.-févr. 2024)

⇒ Découvrez également, EN ACCÈS LIBRE, dans notre numéro 121 (mars-avril 2019), notre article « Vaccins, un plan mondial », en cliquant sur l’image ci-dessous :


Source : Nexus

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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